La Rencontre africaine pour la défense des droits
de l'homme (Raddho), ONG basée à Dakar, a appelé vendredi l'armée et le
Conseil constitutionnel ivoiriens à "refuser de suivre" Laurent Gbagbo dans
l'"aventure qui va réinstaller guerre et tensions inter-ethniques" en Côte
d'Ivoire.
L'ONG appelle "l'armée de même que le Conseil constitutionnel à refuser de
suivre le président sortant, Laurent Gbagbo et son clan dans une aventure
anachronique, insensée et sans issue qui va réinstaller la guerre et les
tensions inter-ethniques en Côte d'Ivoire", indique la Raddho dans un
communiqué transmis à l'AFP.
Elle "invite l'Internationale socialiste (IS), notamment les partis
africains membres de cette organisation à intervenir auprès" de M. Gbagbo et
de son parti le Front populaire ivoirien (FPI), membre de l'IS, "pour qu'ils
arrêtent l'exécution du coup d'Etat électoral en cours".
Pour la Raddho, la situation en Côte d'Ivoire est "une parfaite
illustration du paradoxe de la double contrainte: pile je gagne, face tu
perds".
Le Conseil constitutionnel ivoirien a invalidé vendredi les résultats
provisoires du second tour de l'élection présidentielle ivoirienne du 28
novembre, annoncés jeudi et donnant Alassane Dramane Ouattara vainqueur du
scrutin, et déclaré Laurent Gbagbo président élu avec plus de 51% des voix.
de l'homme (Raddho), ONG basée à Dakar, a appelé vendredi l'armée et le
Conseil constitutionnel ivoiriens à "refuser de suivre" Laurent Gbagbo dans
l'"aventure qui va réinstaller guerre et tensions inter-ethniques" en Côte
d'Ivoire.
L'ONG appelle "l'armée de même que le Conseil constitutionnel à refuser de
suivre le président sortant, Laurent Gbagbo et son clan dans une aventure
anachronique, insensée et sans issue qui va réinstaller la guerre et les
tensions inter-ethniques en Côte d'Ivoire", indique la Raddho dans un
communiqué transmis à l'AFP.
Elle "invite l'Internationale socialiste (IS), notamment les partis
africains membres de cette organisation à intervenir auprès" de M. Gbagbo et
de son parti le Front populaire ivoirien (FPI), membre de l'IS, "pour qu'ils
arrêtent l'exécution du coup d'Etat électoral en cours".
Pour la Raddho, la situation en Côte d'Ivoire est "une parfaite
illustration du paradoxe de la double contrainte: pile je gagne, face tu
perds".
Le Conseil constitutionnel ivoirien a invalidé vendredi les résultats
provisoires du second tour de l'élection présidentielle ivoirienne du 28
novembre, annoncés jeudi et donnant Alassane Dramane Ouattara vainqueur du
scrutin, et déclaré Laurent Gbagbo président élu avec plus de 51% des voix.
