Le Conseil constitutionnel a donné hier les résultats définitifs du second tour de la présidentielle. Aussitôt, les populations ont manifesté leur joie dans les rues. Liesse populaire, hier, dans plusieurs villes de Côte d’Ivoire après la proclamation définitive des résultats du second tour de la présidentielle.
De milliers d’Ivoiriens sont sortis dans les rues pour exprimer leur joie après le verdict final prononcé par le Conseil constitutionnel. Le régulateur des Institutions de Côte d’Ivoire a, en effet, rendu sa décision suite à la requête en annulation formulée par le candidat Laurent Gbagbo pour de nombreuses irrégularités dans certains départements.
Cette décision annule les résultats du scrutin dans certains départements pour de nombreuses irrégularités. A Yopougon, quartier au nord d’Abidjan, où le candidat de la majorité présidentielle a réalisé les meilleurs de ses corps dans la capitale économique, tant au premier qu’au second tour de la présidentielle, les populations sont massivement descendues dans les rues pour saluer la décision du conseil constitutionnel. ‘’Je suis fière de mon pays qui vient encore là de confirmer sa souveraineté et le fonctionnement de ses institutions. La France aidée par l’ONUCI, a tenté un coup de force pour installer son poulain malgré les nombreuses fraudes dans les zones rebelles », commente Alain Amoikon.
« Ce scrutin que nous avons tous vu, où les électeurs ne se sont pas mobilisés comme au premier tour, comment le taux de participation peut être de 81%. Le taux du Conseil constitutionnel est plus réaliste », ajoute Hervé Diabley. Même atmosphère à Treichville, Koumassi, et Port-Bouët. Certains manifestants sont venus dans les rues avec leurs bouteilles de champagne pour fêter. « La communauté internationale se moquent de nos morts. Elle ferme les yeux sur les cas graves de fraude. Elle a voulu que le processus suivent électoral suive son cour. Le conseil constitutionnel est une étape de ce processus, pourquoi ne devrons-nous pas respecter sa décision ? En tout cas, nous nous sommes heureux », indique Konan Parfait, habitant de Koumasssi. Selon les correspondants de Notre Voie à Gagnoa dans le centre-ouest, à Divo dans le sud-ouest, à Aboisso dans le sud-est et à Abengourou dans l’est, les populations ont exprimé leur satisfaction pour la rectification faite par le Conseil constitutionnel. « C’est indicible la joie des populations ici à Divo. Les rues sont noires de monde. Les manifestants se disent libérés », commente Ibo Cheick Oumar, correspondant de Notre Voie à Divo, joint par téléphone.
De simples citoyens ont appelé aussi à la rédaction de notre voie pour exprimer leur satisfaction. « Nous sommes heureux ici. La voie Divo-Lakota est obstruée. Les populations de nos villages ont pris d’assaut cette route. Elles demandent aux passagers de descendre juste quelques minutes le temps de fêter avec eux pendant deux à trois minutes », rapporte Charles Dago de Niémélilié à 10 km de Lakota. Même à Bouaké, le fief de la rébellion qui a manifesté son soutien au candidat Ouattara, des témoins ont rapporté des scènes de joie dans le quartier Ahougnassou majoritairement peuplé d’autochtones Baoulé. Quelques heures après la décision du Conseil constitutionnel, Y.J. Choi, représentant spécial du secrétaire général de l’ONU en Côte d’Ivoire a fait une déclaration dans laquelle il affirme que ‘’pour moi, le président élu, c’est Alassane Ouatara’’. Aussitôt, des partisans de Ouattara sont sortis dans certains quartiers et ville de l’intérieur pour bruler des pneus sur la voix publique. Jeudi, le président de la CEI avait déclaré vainqueur Alassane Ouattara alors que le Conseil constitutionnel venait de déclarer que cette institution n’était plus habilité à donner les résultats vu que le délai de trois jours à lui imparti était dépassé. Les résultats ont été clandestinement annocé dans un hôtel d’Abidjan devenu le quartier général de la rébellion dans cette ville et où M . Ouattara a lui-même installé son quartier général pour la campagne présidentielle. Plusieurs observateurs en Côte d’Ivoire ont indiqué que M. Bakayoko a été contraint par Guillaume Soro chef de la rébellion devenu premier ministre après l’accord politique de Ouagadou en mars 2007 et par les forces onusiennes en Cote d’Ivoire n Siméon Gnako
De milliers d’Ivoiriens sont sortis dans les rues pour exprimer leur joie après le verdict final prononcé par le Conseil constitutionnel. Le régulateur des Institutions de Côte d’Ivoire a, en effet, rendu sa décision suite à la requête en annulation formulée par le candidat Laurent Gbagbo pour de nombreuses irrégularités dans certains départements.
Cette décision annule les résultats du scrutin dans certains départements pour de nombreuses irrégularités. A Yopougon, quartier au nord d’Abidjan, où le candidat de la majorité présidentielle a réalisé les meilleurs de ses corps dans la capitale économique, tant au premier qu’au second tour de la présidentielle, les populations sont massivement descendues dans les rues pour saluer la décision du conseil constitutionnel. ‘’Je suis fière de mon pays qui vient encore là de confirmer sa souveraineté et le fonctionnement de ses institutions. La France aidée par l’ONUCI, a tenté un coup de force pour installer son poulain malgré les nombreuses fraudes dans les zones rebelles », commente Alain Amoikon.
« Ce scrutin que nous avons tous vu, où les électeurs ne se sont pas mobilisés comme au premier tour, comment le taux de participation peut être de 81%. Le taux du Conseil constitutionnel est plus réaliste », ajoute Hervé Diabley. Même atmosphère à Treichville, Koumassi, et Port-Bouët. Certains manifestants sont venus dans les rues avec leurs bouteilles de champagne pour fêter. « La communauté internationale se moquent de nos morts. Elle ferme les yeux sur les cas graves de fraude. Elle a voulu que le processus suivent électoral suive son cour. Le conseil constitutionnel est une étape de ce processus, pourquoi ne devrons-nous pas respecter sa décision ? En tout cas, nous nous sommes heureux », indique Konan Parfait, habitant de Koumasssi. Selon les correspondants de Notre Voie à Gagnoa dans le centre-ouest, à Divo dans le sud-ouest, à Aboisso dans le sud-est et à Abengourou dans l’est, les populations ont exprimé leur satisfaction pour la rectification faite par le Conseil constitutionnel. « C’est indicible la joie des populations ici à Divo. Les rues sont noires de monde. Les manifestants se disent libérés », commente Ibo Cheick Oumar, correspondant de Notre Voie à Divo, joint par téléphone.
De simples citoyens ont appelé aussi à la rédaction de notre voie pour exprimer leur satisfaction. « Nous sommes heureux ici. La voie Divo-Lakota est obstruée. Les populations de nos villages ont pris d’assaut cette route. Elles demandent aux passagers de descendre juste quelques minutes le temps de fêter avec eux pendant deux à trois minutes », rapporte Charles Dago de Niémélilié à 10 km de Lakota. Même à Bouaké, le fief de la rébellion qui a manifesté son soutien au candidat Ouattara, des témoins ont rapporté des scènes de joie dans le quartier Ahougnassou majoritairement peuplé d’autochtones Baoulé. Quelques heures après la décision du Conseil constitutionnel, Y.J. Choi, représentant spécial du secrétaire général de l’ONU en Côte d’Ivoire a fait une déclaration dans laquelle il affirme que ‘’pour moi, le président élu, c’est Alassane Ouatara’’. Aussitôt, des partisans de Ouattara sont sortis dans certains quartiers et ville de l’intérieur pour bruler des pneus sur la voix publique. Jeudi, le président de la CEI avait déclaré vainqueur Alassane Ouattara alors que le Conseil constitutionnel venait de déclarer que cette institution n’était plus habilité à donner les résultats vu que le délai de trois jours à lui imparti était dépassé. Les résultats ont été clandestinement annocé dans un hôtel d’Abidjan devenu le quartier général de la rébellion dans cette ville et où M . Ouattara a lui-même installé son quartier général pour la campagne présidentielle. Plusieurs observateurs en Côte d’Ivoire ont indiqué que M. Bakayoko a été contraint par Guillaume Soro chef de la rébellion devenu premier ministre après l’accord politique de Ouagadou en mars 2007 et par les forces onusiennes en Cote d’Ivoire n Siméon Gnako