L`Union européenne, par la voix du président
de la Commission José Manuel Barroso, a réaffirmé samedi son soutien Alassane
Ouattara, qu`elle considère comme le "vainqueur légitime" de l`élection
présidentielle en Côte d`Ivoire, face à son rival Laurent Gbagbo.
"Je m`associe aux messages de félicitations de la communauté internationale
à M. Alassane Ouattara et je le salue comme légitime vainqueur de ces
élections démocratiques", a déclaré M. Barroso dans un communiqué.
"Je suis profondément préoccupé par la tournure des événements en Côte
d`Ivoire", a-t-il ajouté.
"J`appelle toutes les forces politiques à respecter les résultats
électoraux, à faire preuve de responsabilité et à s`abstenir de tout acte de
violence", a encore dit M. Barroso, dans une claire allusion à Laurent Gbagbo
qui a été investi samedi président de la République, dans un climat de
violences à Abidjan.
L`UE accentue ainsi la pression sur ce dernier. Déjà la veille le chef de
la diplomatie de l`Union européenne, Catherine Ashton, emboîtant le pas à
l`ONU, avait reconnu la victoire d`Alassane Ouattara à la présidentielle en
Côte d`Ivoire et lancé un avertissement aux partisans de son adversaire
Laurent Gbagbo.
La Côte d`Ivoire s`est enfoncée samedi dans la crise, Laurent Gbagbo ayant
prêté serment au palais présidentiel à Abidjan, alors que son rival Alassane
Ouattara est reconnu "président élu" par les grandes puissances.
M. Gbagbo a été proclamé vendredi vainqueur du scrutin par le Conseil
constitutionnel avec 51,45% des suffrages au second tour de la présidentielle
du 28 novembre.
Mais face à lui, Alassane Ouattara s`est présenté comme le "président élu"
de la Côte d`Ivoire, s`appuyant sur les résultats provisoires de la Commission
électorale indépendante (CEI), qui le créditaient de 54,1% des suffrages.
de la Commission José Manuel Barroso, a réaffirmé samedi son soutien Alassane
Ouattara, qu`elle considère comme le "vainqueur légitime" de l`élection
présidentielle en Côte d`Ivoire, face à son rival Laurent Gbagbo.
"Je m`associe aux messages de félicitations de la communauté internationale
à M. Alassane Ouattara et je le salue comme légitime vainqueur de ces
élections démocratiques", a déclaré M. Barroso dans un communiqué.
"Je suis profondément préoccupé par la tournure des événements en Côte
d`Ivoire", a-t-il ajouté.
"J`appelle toutes les forces politiques à respecter les résultats
électoraux, à faire preuve de responsabilité et à s`abstenir de tout acte de
violence", a encore dit M. Barroso, dans une claire allusion à Laurent Gbagbo
qui a été investi samedi président de la République, dans un climat de
violences à Abidjan.
L`UE accentue ainsi la pression sur ce dernier. Déjà la veille le chef de
la diplomatie de l`Union européenne, Catherine Ashton, emboîtant le pas à
l`ONU, avait reconnu la victoire d`Alassane Ouattara à la présidentielle en
Côte d`Ivoire et lancé un avertissement aux partisans de son adversaire
Laurent Gbagbo.
La Côte d`Ivoire s`est enfoncée samedi dans la crise, Laurent Gbagbo ayant
prêté serment au palais présidentiel à Abidjan, alors que son rival Alassane
Ouattara est reconnu "président élu" par les grandes puissances.
M. Gbagbo a été proclamé vendredi vainqueur du scrutin par le Conseil
constitutionnel avec 51,45% des suffrages au second tour de la présidentielle
du 28 novembre.
Mais face à lui, Alassane Ouattara s`est présenté comme le "président élu"
de la Côte d`Ivoire, s`appuyant sur les résultats provisoires de la Commission
électorale indépendante (CEI), qui le créditaient de 54,1% des suffrages.
