BRUXELLES, 5 déc 2010 (AFP) - La Belgique a déconseillé dimanche à ses
ressortissants de se rendre en Côte d'Ivoire, sauf nécessité impérieuse, en
raison des troubles susceptibles d'éclater dans ce pays à cause de l'imbroglio
politique issu de l'élection présidentielle.
Sur son site internet, le ministère belge des Affaires étrangères met en
garde contre "un risque accru d'insécurité" en Côte d'Ivoire et conseille de
"reporter tous les voyages non-essentiels pendant cette période" de désordres
potentiels.
La Côte d'Ivoire est en proie à une nouvelle crise, avec deux présidents,
le sortant Laurent Gbagbo et l'ex-Premier ministre Alassane Ouattara qui ont
tour à tour prêté serment samedi, chacun se proclamant vainqueur du scrutin du
28 novembre.
"La situation reste tendue et des troubles violents sont possibles. Ce
risque est probablement plus élevé après la proclamation des résultats", "même
à Abidjan", estime le ministère.
A ceux qui décideraient "quand même" de se rendre en Côte d'Ivoire, le
ministère les appelle à "être conscients que la situation sécuritaire peut se
détériorer à tout moment et suggère d'"éviter" les "manifestations" et
"attroupements".
Le ministère belge souligne que la "violence" liée à la "criminalité
organisée" est pour l'instant "plus fréquente que celle de nature politique".
"Hors Abidjan et surtout dans les parties Ouest et Nord de la Côte d'Ivoire,
tout déplacement de jour comme de nuit est déconseillé", assure-t-il.
ressortissants de se rendre en Côte d'Ivoire, sauf nécessité impérieuse, en
raison des troubles susceptibles d'éclater dans ce pays à cause de l'imbroglio
politique issu de l'élection présidentielle.
Sur son site internet, le ministère belge des Affaires étrangères met en
garde contre "un risque accru d'insécurité" en Côte d'Ivoire et conseille de
"reporter tous les voyages non-essentiels pendant cette période" de désordres
potentiels.
La Côte d'Ivoire est en proie à une nouvelle crise, avec deux présidents,
le sortant Laurent Gbagbo et l'ex-Premier ministre Alassane Ouattara qui ont
tour à tour prêté serment samedi, chacun se proclamant vainqueur du scrutin du
28 novembre.
"La situation reste tendue et des troubles violents sont possibles. Ce
risque est probablement plus élevé après la proclamation des résultats", "même
à Abidjan", estime le ministère.
A ceux qui décideraient "quand même" de se rendre en Côte d'Ivoire, le
ministère les appelle à "être conscients que la situation sécuritaire peut se
détériorer à tout moment et suggère d'"éviter" les "manifestations" et
"attroupements".
Le ministère belge souligne que la "violence" liée à la "criminalité
organisée" est pour l'instant "plus fréquente que celle de nature politique".
"Hors Abidjan et surtout dans les parties Ouest et Nord de la Côte d'Ivoire,
tout déplacement de jour comme de nuit est déconseillé", assure-t-il.