Nicolas Sarkozy a salué mercredi lors du Conseil des ministres la décision "courageuse, historique" de la Cédéao, l`organisation régionale ouest-africaine, qui a demandé au président sortant ivoirien Laurent Gbagbo de "rendre le pouvoir", a rapporté le porte-parole du gouvernement.
Le chef de l`Etat "s`est félicité, a salué à sa juste valeur la décision de
la Cédéao concernant (...) la validation de l`élection de M. (Alassane)
Ouattara", a déclaré François Baroin en rendant compte des travaux du Conseil.
"C`est une décision courageuse, historique et susceptible de faire évoluer
les lignes", a poursuivi M. Baroin, précisant que Nicolas Sarkozy suivait
"évidemment" et "de très près" la situation ivoirienne et devait évoquer ce
dossier dans la journée lors d`un entretien téléphonique avec son homologue
russe Dmitri Medvedev.
Réunie mardi dans la capitale nigériane Abuja, la Communauté économique des
Etats de l`Afrique de l`Ouest (Cédéao) a demandé à M. Gbagbo de "rendre le
pouvoir sans délai" en se soumettant aux résultats de la présidentielle
certifiés par l`Onu et qui concluent à la victoire de son rival Alassane
Ouattara.
L`Union africaine (UA) a enfoncé le clou mercredi par la voix de son
président en exercice, le Malawite Bingu wa Mutharika, qui a estimé que le
chef de l`Etat ivoirien sortant devait se retirer pour "respecter la volonté
du peuple" et éviter un "bain de sang".
Le chef de l`Etat "s`est félicité, a salué à sa juste valeur la décision de
la Cédéao concernant (...) la validation de l`élection de M. (Alassane)
Ouattara", a déclaré François Baroin en rendant compte des travaux du Conseil.
"C`est une décision courageuse, historique et susceptible de faire évoluer
les lignes", a poursuivi M. Baroin, précisant que Nicolas Sarkozy suivait
"évidemment" et "de très près" la situation ivoirienne et devait évoquer ce
dossier dans la journée lors d`un entretien téléphonique avec son homologue
russe Dmitri Medvedev.
Réunie mardi dans la capitale nigériane Abuja, la Communauté économique des
Etats de l`Afrique de l`Ouest (Cédéao) a demandé à M. Gbagbo de "rendre le
pouvoir sans délai" en se soumettant aux résultats de la présidentielle
certifiés par l`Onu et qui concluent à la victoire de son rival Alassane
Ouattara.
L`Union africaine (UA) a enfoncé le clou mercredi par la voix de son
président en exercice, le Malawite Bingu wa Mutharika, qui a estimé que le
chef de l`Etat ivoirien sortant devait se retirer pour "respecter la volonté
du peuple" et éviter un "bain de sang".