Le 28 novembre 2010 fera date dans l'histoire de notre jeune démocratie. En effet, ce jour-là, les Ivoiriennes et les Ivoiriens se sont mobilisés de façon exceptionnelle pour exercer leur droit de vote, à l'occasion du second tour des élections Présidentielles. Ce fut le triomphe de la démocratie.
Leur choix est sans équivoque: ils ont choisi Alassane OUATTARA comme Président de la République de Côte d'Ivoire. Ce choix, consacré par les urnes, lui assure l'unique légitimité qui doit primer, c'est-à-dire, celle conférée par le suffrage universel.
Pour le SYNESCI (Syndicat National des Enseignants du Second degré de Côte d'Ivoire), syndicat d'avant-garde, creuset de la libre expression et de la démocratie, depuis sa création en 1970, la vérité des urnes du 28 novembre 2010, n'est pas négociable. L'apprentissage de la démocratie est certes délicat, mais il faut s'y faire, car l'acceptation de la démocratie évite les aventures et consacre définitivement la volonté de vivre ensemble des Ivoiriennes et Ivoiriens.
De façon démocratique, le peuple s'est exprimé. Et comme les candidats au second tour s'étaient engagés au respect de la vérité des urnes, le SYNESCI saisit l'instant présent, pour demander que cette volonté du peuple ne soit aucunement détournée par des procédures antidémocratiques et illégales.
Le SYNESCI invite donc le Président sortant, Son Excellence Monsieur Laurent GBAGBO, à céder au Président élu, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, le Palais présidentiel, la Résidence Privée de fonction et les médias d'État, entre autres attributs du pouvoir d'Etat, afin que le pays retrouve rapidement la paix et la stabilité tant recherchées par les Ivoiriens, à travers différents accords notamment, l'Accord Politique de Ouagadougou que les candidats eux-mêmes ont initié.
Par ailleurs, le SYNESCI appelle ses militants et sympathisants à ne point reprendre les cours à cause de l'insécurité généralisée. II les invite au calme, à la sérénité et surtout à ne pas céder aux provocations.
En tout état de cause, le BEN SYNESCI leur demande de rester à son écoute.
Le Bureau Exécutif National
le Secrétaire Général/PO
Le secrétaire Général Adjoint
Saka TRAORÉ
Leur choix est sans équivoque: ils ont choisi Alassane OUATTARA comme Président de la République de Côte d'Ivoire. Ce choix, consacré par les urnes, lui assure l'unique légitimité qui doit primer, c'est-à-dire, celle conférée par le suffrage universel.
Pour le SYNESCI (Syndicat National des Enseignants du Second degré de Côte d'Ivoire), syndicat d'avant-garde, creuset de la libre expression et de la démocratie, depuis sa création en 1970, la vérité des urnes du 28 novembre 2010, n'est pas négociable. L'apprentissage de la démocratie est certes délicat, mais il faut s'y faire, car l'acceptation de la démocratie évite les aventures et consacre définitivement la volonté de vivre ensemble des Ivoiriennes et Ivoiriens.
De façon démocratique, le peuple s'est exprimé. Et comme les candidats au second tour s'étaient engagés au respect de la vérité des urnes, le SYNESCI saisit l'instant présent, pour demander que cette volonté du peuple ne soit aucunement détournée par des procédures antidémocratiques et illégales.
Le SYNESCI invite donc le Président sortant, Son Excellence Monsieur Laurent GBAGBO, à céder au Président élu, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, le Palais présidentiel, la Résidence Privée de fonction et les médias d'État, entre autres attributs du pouvoir d'Etat, afin que le pays retrouve rapidement la paix et la stabilité tant recherchées par les Ivoiriens, à travers différents accords notamment, l'Accord Politique de Ouagadougou que les candidats eux-mêmes ont initié.
Par ailleurs, le SYNESCI appelle ses militants et sympathisants à ne point reprendre les cours à cause de l'insécurité généralisée. II les invite au calme, à la sérénité et surtout à ne pas céder aux provocations.
En tout état de cause, le BEN SYNESCI leur demande de rester à son écoute.
Le Bureau Exécutif National
le Secrétaire Général/PO
Le secrétaire Général Adjoint
Saka TRAORÉ