Tracer des sillons d’orientation des populations de Katiola, Dabakala et Niakara sur le bon chemin après la crise que traverse le pays depuis quelques années. Prendre des initiatives pour ramener la paix dans ces localités précitées. Voilà l’intérêt de la réunion des Tagbana et Djimini tenue, hier, au Conseil économique et social, au Plateau, sous la présidence du ministre délégué au Budget, Koné Katina Justin, qui avait à ses côtés, l’ancien ministre Dibonan Koné et le Pr. Waota.
Selon lui, «ce qui se passe en Côte d’Ivoire n’est ni une affaire de Gbagbo Laurent, d’Alassane Ouattara, ni du nord contre le sud ou une affaire religieuse». Il avance ceci : «La question qui se pose est une question existentielle pour nous. En effet, nous sommes dans un processus qui a commencé en 1999».
Le ministre Koné Katina a rappelé que le Président Henri Konan Bédié a été renversé en 1999 pour avoir dit devant le Sénat américain que «la Côte d’Ivoire n’est la carré de personne». Pour lui, aujourd’hui, le pays est dans un processus de rupture d’un ordre ancien. Il se dit aussi choqué de savoir que des puissances veulent lui imposer un candidat ou un Président. Selon ses dires, «le problème de la Côte d’Ivoire, c’est l’Onuci et Choi». Il voulait ainsi expliquer qu’une élection est une procédure. Il y a la forme et le fond. Au-delà de trois jours, a-t-il précisé, «la Commission électorale indépendante (Cei) n’est plus compétente pour proclamer les résultats».
En initiant cette rencontre, le ministre Koné Katina veut inviter ses frères et sœurs vivant à Abidjan à se rendre dans leurs différentes localités pour rétablir la vérité. Qui est que le vainqueur de l’élection présidentielle 2010 est Laurent Gbagbo. Il leur demande également de faire en sorte que les valeurs cardinales des populations Tagbana et Djimini qui ont disparu du fait de la crise reviennent.
Dans les échanges, certains ont insisté sur l’impérieuse nécessité d’amplifier ce genre de rencontres tant à Abidjan qu’à l’intérieur du pays. D’autres, par contre, ont émis le souhait de voir le désarmement devenir une réalité dans leur région pour le bonheur des populations.
EMMANUEL KOUASSI
Selon lui, «ce qui se passe en Côte d’Ivoire n’est ni une affaire de Gbagbo Laurent, d’Alassane Ouattara, ni du nord contre le sud ou une affaire religieuse». Il avance ceci : «La question qui se pose est une question existentielle pour nous. En effet, nous sommes dans un processus qui a commencé en 1999».
Le ministre Koné Katina a rappelé que le Président Henri Konan Bédié a été renversé en 1999 pour avoir dit devant le Sénat américain que «la Côte d’Ivoire n’est la carré de personne». Pour lui, aujourd’hui, le pays est dans un processus de rupture d’un ordre ancien. Il se dit aussi choqué de savoir que des puissances veulent lui imposer un candidat ou un Président. Selon ses dires, «le problème de la Côte d’Ivoire, c’est l’Onuci et Choi». Il voulait ainsi expliquer qu’une élection est une procédure. Il y a la forme et le fond. Au-delà de trois jours, a-t-il précisé, «la Commission électorale indépendante (Cei) n’est plus compétente pour proclamer les résultats».
En initiant cette rencontre, le ministre Koné Katina veut inviter ses frères et sœurs vivant à Abidjan à se rendre dans leurs différentes localités pour rétablir la vérité. Qui est que le vainqueur de l’élection présidentielle 2010 est Laurent Gbagbo. Il leur demande également de faire en sorte que les valeurs cardinales des populations Tagbana et Djimini qui ont disparu du fait de la crise reviennent.
Dans les échanges, certains ont insisté sur l’impérieuse nécessité d’amplifier ce genre de rencontres tant à Abidjan qu’à l’intérieur du pays. D’autres, par contre, ont émis le souhait de voir le désarmement devenir une réalité dans leur région pour le bonheur des populations.
EMMANUEL KOUASSI