2010, une année électorale qui a suscité beaucoup d’espoirs chez le peuple ivoirien, mais aussi des angoisses au vu des conséquences de la tentative de confiscation du pouvoir par le président sortant, Laurent Gbagbo. Au bout du compte, un leader politique se sera distingué par ses actes, ses méthodes et ses discours de paix. Son nom : Alassane Dramane Ouattara.
Il a brillé de mille feux au cours de cette année qui s’achève. Il avait un défi important à relever en 2010. Alassane Ouattara, c’est de lui qu’il s’agit, a tenu toutes les promesses qui se précisaient à lui. Pour cette année, les observateurs aussi bien nationaux qu’internationaux sont unanimes pour dire qu’Alassane Ouattara, le nouveau président de la République, est, sans conteste, l’homme de l’année en Côte d’Ivoire. Au plan politique, il a focalisé toutes les énergies sur sa personne et a montré au cours de l’élection présidentielle, remportée avec brio, qu’il est l’homme de la situation pour notre pays. En effet, au terme de plusieurs années de tentative d’exclusion, de marginalisation, d’arbitraire et même de mise à mort politique et physique, l’ancien DGA du FMI, par un sacre éclatant au second tour de la présidentielle, a démontré à la face de la nation et du monde, la vacuité de toute cette haine artificielle que la refondation et son chef voulaient susciter contre sa personnalité. En accédant à la Magistrature suprême, ADO assène cette vérité indiscutable à ses adversaires et pourfendeurs : la voix du peuple n’a rien à voir avec les proclamations et lieux communs d’une certaine classe politique en manque de programme et d’idéal pour les populations. Véritablement, cette année sonne la montée au pinacle d’un homme d’envergure qui n’a pas manqué le rendez- vous historique avec son peuple. ADO est auréolé du titre d’homme de l’année dans notre pays pour son attachement quasi congénital avec la culture de la paix. Tout le long de cette année, dans la droite ligne d’une longue tradition d’amoureux de la paix, Ouattara, devant une adversité sans commune mesure, a développé et véhiculé le champ lexical de l’amour, avec ses démembrements de dialogue, d’entente, de réconciliation des filles et fils de la Côte d’Ivoire déchirés par une longue crise, dont l’épicentre aura été la survenue de la guerre en septembre 2002. Alors que son principal challenger, Laurent Gbagbo, entretenait le discours de la haine et de la désunion, Ouattara ouvrait les vannes de la renaissance ivoirienne, avec comme ancrage, l’union et la cohésion sociale. Dans les 19 régions de la Côte d’Ivoire, il a distillé ce nouveau langage de la politique, en rupture totale avec les sentiers battus exploités à des fins égoïstes par le candidat malheureux, Laurent Gbagbo. On a vu comment il a détendu l’atmosphère lors de son débat télévisé avec Gbagbo, montrant que la politique n’est qu’un moyen pour se mettre au service de ses concitoyens. Le nouveau Président de la République est auréolé du titre d’homme de l’année, pour son sens élevé du patriotisme. C’est une lapalissade que d’affirmer que Ouattara est un patriote vrai. Bien qu’opposant avant la présidentielle de novembre 2010, le leader des républicains a toujours mis en avant son amour pour son pays et ses concitoyens. Il a joué de ses relations pour convaincre les décideurs d’accorder l’initiative PPTE à la Côte d’Ivoire. Un statut qui lui rapporterait plus de 500 milliards par an. Il faut être un opposant-patriote pour opérer pareille initiative. A présent, au plus fort de la tentative de confiscation du pouvoir par Gbagbo, Ouattara tout en usant de fermeté, gère au mieux, les intérêts de son pays. Autant le dire sans ambages. Durant cette année 2010, Alassane Ouattara aura brillé fortement et a occupé le devant de la scène, entrant sans contrainte dans le quotidien des Ivoiriens, partageant leurs douleurs et angoisses, pour mieux ouvrir le temps de l’espoir. Pour toutes ces raisons, le titre de « l’homme de l’année 2010 » lui va à merveille et il en porte les habits avec harmonie et élégance.
Bakary Nimaga
Il a brillé de mille feux au cours de cette année qui s’achève. Il avait un défi important à relever en 2010. Alassane Ouattara, c’est de lui qu’il s’agit, a tenu toutes les promesses qui se précisaient à lui. Pour cette année, les observateurs aussi bien nationaux qu’internationaux sont unanimes pour dire qu’Alassane Ouattara, le nouveau président de la République, est, sans conteste, l’homme de l’année en Côte d’Ivoire. Au plan politique, il a focalisé toutes les énergies sur sa personne et a montré au cours de l’élection présidentielle, remportée avec brio, qu’il est l’homme de la situation pour notre pays. En effet, au terme de plusieurs années de tentative d’exclusion, de marginalisation, d’arbitraire et même de mise à mort politique et physique, l’ancien DGA du FMI, par un sacre éclatant au second tour de la présidentielle, a démontré à la face de la nation et du monde, la vacuité de toute cette haine artificielle que la refondation et son chef voulaient susciter contre sa personnalité. En accédant à la Magistrature suprême, ADO assène cette vérité indiscutable à ses adversaires et pourfendeurs : la voix du peuple n’a rien à voir avec les proclamations et lieux communs d’une certaine classe politique en manque de programme et d’idéal pour les populations. Véritablement, cette année sonne la montée au pinacle d’un homme d’envergure qui n’a pas manqué le rendez- vous historique avec son peuple. ADO est auréolé du titre d’homme de l’année dans notre pays pour son attachement quasi congénital avec la culture de la paix. Tout le long de cette année, dans la droite ligne d’une longue tradition d’amoureux de la paix, Ouattara, devant une adversité sans commune mesure, a développé et véhiculé le champ lexical de l’amour, avec ses démembrements de dialogue, d’entente, de réconciliation des filles et fils de la Côte d’Ivoire déchirés par une longue crise, dont l’épicentre aura été la survenue de la guerre en septembre 2002. Alors que son principal challenger, Laurent Gbagbo, entretenait le discours de la haine et de la désunion, Ouattara ouvrait les vannes de la renaissance ivoirienne, avec comme ancrage, l’union et la cohésion sociale. Dans les 19 régions de la Côte d’Ivoire, il a distillé ce nouveau langage de la politique, en rupture totale avec les sentiers battus exploités à des fins égoïstes par le candidat malheureux, Laurent Gbagbo. On a vu comment il a détendu l’atmosphère lors de son débat télévisé avec Gbagbo, montrant que la politique n’est qu’un moyen pour se mettre au service de ses concitoyens. Le nouveau Président de la République est auréolé du titre d’homme de l’année, pour son sens élevé du patriotisme. C’est une lapalissade que d’affirmer que Ouattara est un patriote vrai. Bien qu’opposant avant la présidentielle de novembre 2010, le leader des républicains a toujours mis en avant son amour pour son pays et ses concitoyens. Il a joué de ses relations pour convaincre les décideurs d’accorder l’initiative PPTE à la Côte d’Ivoire. Un statut qui lui rapporterait plus de 500 milliards par an. Il faut être un opposant-patriote pour opérer pareille initiative. A présent, au plus fort de la tentative de confiscation du pouvoir par Gbagbo, Ouattara tout en usant de fermeté, gère au mieux, les intérêts de son pays. Autant le dire sans ambages. Durant cette année 2010, Alassane Ouattara aura brillé fortement et a occupé le devant de la scène, entrant sans contrainte dans le quotidien des Ivoiriens, partageant leurs douleurs et angoisses, pour mieux ouvrir le temps de l’espoir. Pour toutes ces raisons, le titre de « l’homme de l’année 2010 » lui va à merveille et il en porte les habits avec harmonie et élégance.
Bakary Nimaga
