Le patron du Rdr, Alassane Ouattara continue de montrer sa face hideuse au monde. Famélique, il quémande, c’est le cas de le dire, des vivres. Lui et ses sbires, n’ayant plus rien à se mettre sous la dent, sollicitent, avec la complicité de son tristement allié, l’Onuci en l’occurrence, un ravitaillement en pitance à l’Hôtel du Golf où ils se sont intentionnellement emprisonnés. C’est ainsi que dans l’après-midi du lundi 10 janvier dernier, les Fds, toujours vigilantes fort heureusement, ont intercepté plusieurs véhicules et camions qui leur convoyaient des vivres de toutes sortes. Et pourtant, c’est bien lui Alassane Dramane Ouattara, le sanguinaire et malheureux candidat au scrutin présidentiel qui, à deux reprises, a appelé à l’opération ville morte. Et à la désobéissance civile. Le faisant, il tenait à priver les populations ivoiriennes de mets. Et partant, leur demander de se soulever contre le Président Laurent Gbagbo. Pour faire plaisir à Sarkozy et Obama qui trouveraient ainsi du grain à moudre dans leur farouche détermination à destituer le Woody de Mama. Pas plus tard que lundi dernier, l’un de ses valets et lèche-bottes, en la personne de Youssouf Sylla, le maire de la commune d’Adjamé, a, à sa demande, invité les commerçantes et commerçants de fermer boutique. De ne pas se rendre à leurs lieux de travail. Fort heureusement, le brave et souverain peuple ivoirien qui a librement opté pour le Président Laurent Gbagbo, ne les suit pas dans leurs danses macabres visant à le fragiliser. Bien au contraire, c’est quand, Alassane Ouattara, de sa tanière qu’il ne supporte plus, lance ses sornettes que les fonctionnaires et autres agents de l’Etat, les commerçantes … sortent le plus. Pour le désavouer. Pour lui dire que le seul Ivoirien susceptible à leur donner des ordres, c’est bien le Président Laurent Gbagbo. C’est d’ailleurs parce que les transporteurs ne l’ont pas suivi, qu’ils ont pu lui transporter, de l’intérieur du pays, des régimes de bananes, des tubercules d’ignames, des quartiers de viande, de la volaille (pintades et poulets)… que les soldats de Choï ont tenté de lui envoyer pour satisfaire à sa faim. Alassane est tout simplement inconséquent et de mauvaise foi. Il ne finira pas d’étonner les Ivoiriens.
Véronique Adjoumany
Véronique Adjoumany