PARIS- La France condamne jeudi les violences contre les Casques bleus à Abidjan, qui a fait trois blessés la veille.
"La France condamne les entraves à l'accomplissement du mandat de l'ONUCI (Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire, ndlr). Elle appelle en particulier toutes les parties à respecter la liberté de circulation de l'ONUCI, garantie par le mandat que lui a confié le Conseil de sécurité dans sa résolution 1962", a indiqué le ministère français des Affaires étrangères dans une déclaration publiée jeudi.
Trois Casques bleus ont été blessés dans une embuscade perpétrée mardi à Abidjan, par les forces de l'ordre fidèles au président sortant Laurent Gbagbo.
"La France condamne également les appels à la haine contre l'ONUCI relayés par certains médias ivoiriens, en particulier la radio-télévision ivoirienne", ajoute la déclaration.
"La France rappelle que les personnes qui menacent le processus de paix, font obstacle au travail de l'ONUCI et des autres acteurs internationaux ou commettent de graves violations des droits de l'Homme et du droit international humanitaire tombent sous le coup des mesures, y compris des sanctions ciblées, prévues par la résolution 1946 (2010) du Conseil de sécurité des Nations unies", a souligné le Quai d'Orsay.
"La France condamne les entraves à l'accomplissement du mandat de l'ONUCI (Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire, ndlr). Elle appelle en particulier toutes les parties à respecter la liberté de circulation de l'ONUCI, garantie par le mandat que lui a confié le Conseil de sécurité dans sa résolution 1962", a indiqué le ministère français des Affaires étrangères dans une déclaration publiée jeudi.
Trois Casques bleus ont été blessés dans une embuscade perpétrée mardi à Abidjan, par les forces de l'ordre fidèles au président sortant Laurent Gbagbo.
"La France condamne également les appels à la haine contre l'ONUCI relayés par certains médias ivoiriens, en particulier la radio-télévision ivoirienne", ajoute la déclaration.
"La France rappelle que les personnes qui menacent le processus de paix, font obstacle au travail de l'ONUCI et des autres acteurs internationaux ou commettent de graves violations des droits de l'Homme et du droit international humanitaire tombent sous le coup des mesures, y compris des sanctions ciblées, prévues par la résolution 1946 (2010) du Conseil de sécurité des Nations unies", a souligné le Quai d'Orsay.
