Monsieur le président,
Dans cette autre période difficile que traverse notre pays, permettez de vous adresser ce message. A vous le digne fils de ce pays, vous qui êtes 100% pour la Cote d’Ivoire (c’est vous qui l’avez dit), vous qui avez mené combat pour la liberté d’expression dans ce pays, vous qui de tout temps avez réclamé l’émancipation politique et économique de ce pays, vous qui êtes aujourd’hui confronté à une crise post- électorale à vous monsieur le président, j’aimerais m’adresser.
En effet vous êtes aujourd’hui opposé à l’envoyé de « l’étranger », ce « Mossi » dit-on, cet étranger qui à su convaincre les Ivoiriens qui selon la CIE lui ont accordé leur confiance en s’exprimant à 54.10 %. Vox populi, vox dei (la Voix du peuple, c’est la voix de Dieu). C’est pourquoi monsieur le président je vous adresse ce cri de cœur, en vous suppliant d’être habité par la sagesse non pas de Salomon mais plutôt, de la prostituée qui à refusé de faire mutiler son fils (1rois 3 vs 16-28). Monsieur le président, souvenez vous de l’histoire de la Reine Pokou qui a du sacrifier la chair de sa chair pour sauver son peuple, pensez à tous ces jeunes diplômés sans emploi qui attendaient la fin de la crise pour espérer avoir un boulot, pensez à ces opérateurs économiques qui sont à deux doigts de fermer, pensez à votre pays. Vous n’agissez vraiment pas mon le président en digne fils de cette terre d’Eburnie. Brandir le spectre de la guerre civile est indigne du « PATRIOTE » que vous dites être. Soyez sage monsieur le président quittez le pouvoir pendant qu’il est encore temps et le peuple souverain de Cote d’Ivoire vous en sera gré.
Jean François Kacou
Expert- consultant en économie de l’aménagement du territoire et du développement local
Diplômé de l’institut de formation à la haute expertise et de recherche du BNETD
jeankacou@gmail.com
Dans cette autre période difficile que traverse notre pays, permettez de vous adresser ce message. A vous le digne fils de ce pays, vous qui êtes 100% pour la Cote d’Ivoire (c’est vous qui l’avez dit), vous qui avez mené combat pour la liberté d’expression dans ce pays, vous qui de tout temps avez réclamé l’émancipation politique et économique de ce pays, vous qui êtes aujourd’hui confronté à une crise post- électorale à vous monsieur le président, j’aimerais m’adresser.
En effet vous êtes aujourd’hui opposé à l’envoyé de « l’étranger », ce « Mossi » dit-on, cet étranger qui à su convaincre les Ivoiriens qui selon la CIE lui ont accordé leur confiance en s’exprimant à 54.10 %. Vox populi, vox dei (la Voix du peuple, c’est la voix de Dieu). C’est pourquoi monsieur le président je vous adresse ce cri de cœur, en vous suppliant d’être habité par la sagesse non pas de Salomon mais plutôt, de la prostituée qui à refusé de faire mutiler son fils (1rois 3 vs 16-28). Monsieur le président, souvenez vous de l’histoire de la Reine Pokou qui a du sacrifier la chair de sa chair pour sauver son peuple, pensez à tous ces jeunes diplômés sans emploi qui attendaient la fin de la crise pour espérer avoir un boulot, pensez à ces opérateurs économiques qui sont à deux doigts de fermer, pensez à votre pays. Vous n’agissez vraiment pas mon le président en digne fils de cette terre d’Eburnie. Brandir le spectre de la guerre civile est indigne du « PATRIOTE » que vous dites être. Soyez sage monsieur le président quittez le pouvoir pendant qu’il est encore temps et le peuple souverain de Cote d’Ivoire vous en sera gré.
Jean François Kacou
Expert- consultant en économie de l’aménagement du territoire et du développement local
Diplômé de l’institut de formation à la haute expertise et de recherche du BNETD
jeankacou@gmail.com