Depuis lors et plus concrètement depuis 1990, Laurent Gbagbo, assoiffé de pouvoir, entretient une logique de déstabilisation de la Côte d' Ivoire. Il combat le Président Houphouët, père fondateur de la Côte d'Ivoire l'humiliant, le huant en chœur " Houphouët voleur " aux yeux du monde entier par des gamins écoliers, élèves et étudiants partout dans les rues d'Abidjan et de l'intérieur du pays. Ces enfants formés par Laurent Gbagbo pour agir plus tard sont dirigés par un certain Blé Goudé, le griot de la rue, qui n'a fait des études que pour ça ; il n'a aucune activité quand tout est calme dans ce beau pays.
En 1995, Monsieur Gbagbo lance le mot d'ordre du boycott actif qui a occasionné de nombreux morts et sans abris dans l'Ouest du pays ; les allogènes fuyant leurs plantations.
En 1999, coup d'Etat jugé salutaire par Laurent Gbagbo pour y avoir participé ; c'est lui qui d'ailleurs dans les préparatifs de ce coup a fait véhiculer les messages de haine, de xénophobie, de népotisme contre le Président Henri Konan Bédié. Pour ne pas verser le sang de ses compatriotes, HKB s'en est allé tranquillement.
En 2000, Gbagbo mélange le général Guéi dans la farine ; comme deux braqueurs, ils ne se sont pas entendus dans le partage de leur butin après avoir utilisé TIA KONE pour éliminer tous les candidats potentiels valables ; la première bêtise d'un Monsieur à qui j'octroie le premier trophée de la déstabilisation. Les Ivoiriens, malgré tout, ne voulant plus de militaire à la tête du pays, vont élire Laurent Gbagbo, le caméléon de MAMA ; l'erreur qu'il ne fallait pas commettre. Constatant la confiscation du pouvoir par le général Guéi, tous les Ivoiriens, tous partis confondus, vont faire valoir la vérité des urnes. Gbagbo est installé au pouvoir. Une élection jugée de calamiteuse parce que dans le fond tous les candidats valables avait été éliminés de façon artificielle ; Gbagbo étant minoritaire dans ce pays.
En 2002, une rébellion va naitre.Que fallait-il faire ? Deux solutions étaient envisageables : Négocier avec les insurgés pour savoir de quoi il s'agit comme Houphouët l'avait fait en 1990 avec les mêmes militaires. C'est cela la logique des hommes de paix et non la logique des peureux comme on nous fait croire. Gbagbo, n'ayant pas cette sagesse décide de se battre contre une rébellion qu'il ne maîtrise ni la tête, ni la queue. Voilà encore une fois le malheur de la côte d'Ivoire et de sa déstabilisation, Gbagbo brandissant le deuxième trophée. Le pays est coupé en deux ; celui qui se sent menacé au sud se retrouve au Nord et devient rebelle de même pour celui qui se sent menacé au nord qui devient loyaliste au sud. Ainsi chacun se cherche.
Depuis lors, la communauté internationale intervient pour une multitude de négociations en vain, puisqu'un caméléon reste toujours un caméléon : blanc matin, noir le soir avec des signatures irresponsables. Nous voici huit années après. Sous la pression de cette même communauté internationale, nous arrivons aux élections tant attendues et financées par toutes les institutions financières internationales. Ces élections seront donc supervisées et certifiées par l'ONU représentée par Monsieur CHOI pour éviter la fraude. Les résultats étant donc très clairs au vu de tous les partis, donnant victoire à Alassane Ouattara, Monsieur Gbagbo tente de confisquer le pouvoir par tous moyens ; ses représentants à la CEI empêchent la proclamation des résultats en déchirant les PV devant les caméras du monde entier et sous la protection de l'armée acquise à la cause de Monsieur Gbagbo. Monsieur Bakayoko, président de la CEI, trouve refuge au Golf hôtel pour faire connaitre la vraie vérité des urnes qui sera ensuite certifié par Monsieur CHOI. Au passage, le robot de GBAGBO, planté au Conseil constitutionnel par ce dernier, préparait fortement sa tricherie avec comme seule idée, donner Gbagbo vainqueur par tous moyens. Il va donc établir tranquillement un calcul dont le résultat est : Gbagbo 51%. Pour arriver à ce résultat, une seule possibilité s'impose, à savoir, éliminer purement et simplement des départements où l'adversaire gagne fortement. C'est trop flagrant, Monsieur le criminel Paul Yao N'dré ! Pour des billets de banque, vous endeuillez encore une fois la Côte d'Ivoire. C'est pourquoi, je déclare quoi que cela me coûte que les ennemis de ce beau pays, qui est la Côte d'Ivoire d'Houphouët-Boigny sont nommés GBAGBO LAURENT , TIA KONE et PAUL YAO-N'DRE .Houphouët-Boigny de qui Gbagbo se réclame aujourd'hui (cf. tee shirts de campagne de Gbagbo), Je coule les larmes chaque fois que j'aperçois cette image.
Quelle honte, quelle bêtise ! Pour des intérêts personnels, un trio qui prétend aimer la Côte d'Ivoire, un trio satanique est en train de la détruire. C'est ma part de vérité !
Lakoun T
En 1995, Monsieur Gbagbo lance le mot d'ordre du boycott actif qui a occasionné de nombreux morts et sans abris dans l'Ouest du pays ; les allogènes fuyant leurs plantations.
En 1999, coup d'Etat jugé salutaire par Laurent Gbagbo pour y avoir participé ; c'est lui qui d'ailleurs dans les préparatifs de ce coup a fait véhiculer les messages de haine, de xénophobie, de népotisme contre le Président Henri Konan Bédié. Pour ne pas verser le sang de ses compatriotes, HKB s'en est allé tranquillement.
En 2000, Gbagbo mélange le général Guéi dans la farine ; comme deux braqueurs, ils ne se sont pas entendus dans le partage de leur butin après avoir utilisé TIA KONE pour éliminer tous les candidats potentiels valables ; la première bêtise d'un Monsieur à qui j'octroie le premier trophée de la déstabilisation. Les Ivoiriens, malgré tout, ne voulant plus de militaire à la tête du pays, vont élire Laurent Gbagbo, le caméléon de MAMA ; l'erreur qu'il ne fallait pas commettre. Constatant la confiscation du pouvoir par le général Guéi, tous les Ivoiriens, tous partis confondus, vont faire valoir la vérité des urnes. Gbagbo est installé au pouvoir. Une élection jugée de calamiteuse parce que dans le fond tous les candidats valables avait été éliminés de façon artificielle ; Gbagbo étant minoritaire dans ce pays.
En 2002, une rébellion va naitre.Que fallait-il faire ? Deux solutions étaient envisageables : Négocier avec les insurgés pour savoir de quoi il s'agit comme Houphouët l'avait fait en 1990 avec les mêmes militaires. C'est cela la logique des hommes de paix et non la logique des peureux comme on nous fait croire. Gbagbo, n'ayant pas cette sagesse décide de se battre contre une rébellion qu'il ne maîtrise ni la tête, ni la queue. Voilà encore une fois le malheur de la côte d'Ivoire et de sa déstabilisation, Gbagbo brandissant le deuxième trophée. Le pays est coupé en deux ; celui qui se sent menacé au sud se retrouve au Nord et devient rebelle de même pour celui qui se sent menacé au nord qui devient loyaliste au sud. Ainsi chacun se cherche.
Depuis lors, la communauté internationale intervient pour une multitude de négociations en vain, puisqu'un caméléon reste toujours un caméléon : blanc matin, noir le soir avec des signatures irresponsables. Nous voici huit années après. Sous la pression de cette même communauté internationale, nous arrivons aux élections tant attendues et financées par toutes les institutions financières internationales. Ces élections seront donc supervisées et certifiées par l'ONU représentée par Monsieur CHOI pour éviter la fraude. Les résultats étant donc très clairs au vu de tous les partis, donnant victoire à Alassane Ouattara, Monsieur Gbagbo tente de confisquer le pouvoir par tous moyens ; ses représentants à la CEI empêchent la proclamation des résultats en déchirant les PV devant les caméras du monde entier et sous la protection de l'armée acquise à la cause de Monsieur Gbagbo. Monsieur Bakayoko, président de la CEI, trouve refuge au Golf hôtel pour faire connaitre la vraie vérité des urnes qui sera ensuite certifié par Monsieur CHOI. Au passage, le robot de GBAGBO, planté au Conseil constitutionnel par ce dernier, préparait fortement sa tricherie avec comme seule idée, donner Gbagbo vainqueur par tous moyens. Il va donc établir tranquillement un calcul dont le résultat est : Gbagbo 51%. Pour arriver à ce résultat, une seule possibilité s'impose, à savoir, éliminer purement et simplement des départements où l'adversaire gagne fortement. C'est trop flagrant, Monsieur le criminel Paul Yao N'dré ! Pour des billets de banque, vous endeuillez encore une fois la Côte d'Ivoire. C'est pourquoi, je déclare quoi que cela me coûte que les ennemis de ce beau pays, qui est la Côte d'Ivoire d'Houphouët-Boigny sont nommés GBAGBO LAURENT , TIA KONE et PAUL YAO-N'DRE .Houphouët-Boigny de qui Gbagbo se réclame aujourd'hui (cf. tee shirts de campagne de Gbagbo), Je coule les larmes chaque fois que j'aperçois cette image.
Quelle honte, quelle bêtise ! Pour des intérêts personnels, un trio qui prétend aimer la Côte d'Ivoire, un trio satanique est en train de la détruire. C'est ma part de vérité !
Lakoun T