Laurent GBAGBO refuse de céder le pouvoir à Alassane OUATTARA, pourtant proclamé vainqueur par la Commission Electorale Indépendante (CEI) et reconnu par le représentant spécial du Secrétaire Général des Nations-Unies. Laurent GBAGBO s’arc-boute sur des allégations selon lesquelles on a empêché le vote à ses électeurs dans les zones Centre et Nord. Voilà l’origine de la crise post- électorale dans laquelle le pays s’est embourbé ! Là – dessus, nombreux sont ceux qui soutiennent que ou GBAGBO ne veut pas se soumettre à la vérité des urnes, ou on lui a caché cette vérité.
Au nom de la vérité, « Le MANDAT » a interrogé des habitants et ressortissants qui connaissent bien les réalités électorales dans les zones Centre et Nord hier vendredi 18 février. Leurs réactions se résument en ceci : « Laurent GBAGBO est un fieffé menteur ; un trompeur sans scrupule, qui a toujours usé d’intrigues pour parvenir à ses fins, qui se résument en la satisfaction de son égoïsme. S’agissant de vote proprement dit, nos interlocuteurs disent qu’il s’est déroulé dans le calme et qu’il n’y a eu nulle part, des empêchements de vote, contrairement à ce qu’on a constaté dans les zones forestières, où ceux qu’on soupçonnait d’être pro-Ouattara ont été battus chassés, blessés et même tués.
Quand Laurent GBAGBO ne veut savoir la vérité !
« Il n’y a pas plus sourd que celui qui refuse d’entendre », dit l’adage. Ceci nous conduit à cette citation de Laurent Gbagbo : « Quand vous arrivez dans un village, et que tout le monde dit que ceci est blanc, et que vous dites qu’il est plutôt noir, c’est que vous avez un problème. »
D’où vient-il alors que le même GBAGBO conteste les résultats du second tour de l’élection présidentielle du 28 Novembre 2010 ? Résultats proclamés par la Commission Electorale Indépendante (CEI), et reconnus par tous les observateurs et certifiés par le Représentant Spécial du Secrétaire Général de l’ONU ?
Alors, une question à Laurent GBAGBO : Quand les organisateurs de ce scrutin, les observateurs et le monde entier, jugent « propre et crédible » cette élection et que le vainqueur est votre adversaire, Alassane Ouattara, avec un taux de 54,10% et que vous, vous dites le contraire et que vous vous attribuez la victoire (seul coutre tous), n’est ce pas que vous avez un problème ?
Conclusion : Si Laurent GBAGBO refuse la victoire de son adversaire et qu’il se cramponne au pouvoir, c’est qu’il ne veut pas savoir la vérité. Dans ce cas, il commet un braquage électoral, une violation de la souveraineté du peuple ivoirien qui voit son choix ainsi rejeté.
Si on, a caché la vérité à GBAGBO
Une autre interrogation : Est-ce que les affidés de GBAGBO ont manqué de courage et ont tout simplement caché la vérité des urnes à leur maître ?
Dans ce cas, ces suiveurs de GBAGBO, hypocrites et escrocs, ont dû vivre des instants de remords et de tourments, que Romain Rollant décrit, dans son roman « Jean- Christophe en ces termes : « ô douleur de ne pouvoir dire la vérité, quand on lit dans les yeux de celui qui vous la demande, qu’il ne veut pas savoir la vérité !.. » Voilà le drame que vivent Laurent GBAGBO, ses acolytes et ses suiveurs hypocrites et escrocs, depuis la fin du second tour de l’élection présidentielle en Côte d’ Ivoire. La grande vigilance de la CEI, des partis composant le RHDP et qui soutenaient Alassane Ouattara, ainsi que la présence massive et dissuasive d’observateurs, ont eu raison des velléités de tricheries massives du camp GBAGBO.
Voici pourquoi Laurent GBAGBO ne pouvait pas compter sur l’électorat Baoulé
Affirmer avant les élections présidentielles 2010, que les Baoulé voteraient massivement Laurent GBAGBO, au point de contribuer à sa victoire, était en réalité, une prétention frisant la pure démagogie, une grave aberration ! Pour les Baoulé, de telles allégations de GBAGBO et ses suiveurs hypocrites, étaient une insulte à leur intelligence à leur dignité, à leur civilisation et à leur histoire. Le peuple Baoulé n’est pas amnésique pour ne pas avoir à l’esprit, toutes les méchancetés et violences parfois meurtrières, que Laurent GBAGBO fait exercer ou qu’on exerce en son nom, sur les Baoulé, dans les zones acquises à sa cause. Souvenons-nous du « boycotte actif » de 1995 et d’autres faits. Avec le vote-sanction dans toutes les communautés Baoulé, à travers le pays, on peut dire que ce peuple n’est pas amnésique aux yeux des Baoulé, Laurent GBAGBO ne réunit pas les qualités qui font un bon chef. Parce que, chez les Baoulé, le vrai et le bon chef, est celui-là, qui est doté d’un sens aigu du discernement et du raisonnement logique, qui agit avec grande sagesse en toute occasion.
Pourquoi Laurent GBAGBO ne devra jamais compter sur l’électorat Baoulé
Chez les Baoulé, le passé compte parfois plus que le Présent et la mémoire des Baoulé est une véritable bibliothèque. Elle est toujours visitée et consultée. Les Baoulé n’aiment pas la honte, l’humiliation et ce qui déshonore. Ainsi, si un des leurs est frappé de déshonneur et d’opprobre, il est banni et rejeté à jamais !
De même, quand un des leurs est injustement honni et humilié sur la place publique, toute la communauté se sent concernée et en porte le deuil. Et les Baoulé disent que c’est ce que Laurent GBAGBO a fait à feu Félix Houphouët- Boigny et à Henri Konan Bédié. Il ne mérite donc pas d’être leur chef.
K.A
Au nom de la vérité, « Le MANDAT » a interrogé des habitants et ressortissants qui connaissent bien les réalités électorales dans les zones Centre et Nord hier vendredi 18 février. Leurs réactions se résument en ceci : « Laurent GBAGBO est un fieffé menteur ; un trompeur sans scrupule, qui a toujours usé d’intrigues pour parvenir à ses fins, qui se résument en la satisfaction de son égoïsme. S’agissant de vote proprement dit, nos interlocuteurs disent qu’il s’est déroulé dans le calme et qu’il n’y a eu nulle part, des empêchements de vote, contrairement à ce qu’on a constaté dans les zones forestières, où ceux qu’on soupçonnait d’être pro-Ouattara ont été battus chassés, blessés et même tués.
Quand Laurent GBAGBO ne veut savoir la vérité !
« Il n’y a pas plus sourd que celui qui refuse d’entendre », dit l’adage. Ceci nous conduit à cette citation de Laurent Gbagbo : « Quand vous arrivez dans un village, et que tout le monde dit que ceci est blanc, et que vous dites qu’il est plutôt noir, c’est que vous avez un problème. »
D’où vient-il alors que le même GBAGBO conteste les résultats du second tour de l’élection présidentielle du 28 Novembre 2010 ? Résultats proclamés par la Commission Electorale Indépendante (CEI), et reconnus par tous les observateurs et certifiés par le Représentant Spécial du Secrétaire Général de l’ONU ?
Alors, une question à Laurent GBAGBO : Quand les organisateurs de ce scrutin, les observateurs et le monde entier, jugent « propre et crédible » cette élection et que le vainqueur est votre adversaire, Alassane Ouattara, avec un taux de 54,10% et que vous, vous dites le contraire et que vous vous attribuez la victoire (seul coutre tous), n’est ce pas que vous avez un problème ?
Conclusion : Si Laurent GBAGBO refuse la victoire de son adversaire et qu’il se cramponne au pouvoir, c’est qu’il ne veut pas savoir la vérité. Dans ce cas, il commet un braquage électoral, une violation de la souveraineté du peuple ivoirien qui voit son choix ainsi rejeté.
Si on, a caché la vérité à GBAGBO
Une autre interrogation : Est-ce que les affidés de GBAGBO ont manqué de courage et ont tout simplement caché la vérité des urnes à leur maître ?
Dans ce cas, ces suiveurs de GBAGBO, hypocrites et escrocs, ont dû vivre des instants de remords et de tourments, que Romain Rollant décrit, dans son roman « Jean- Christophe en ces termes : « ô douleur de ne pouvoir dire la vérité, quand on lit dans les yeux de celui qui vous la demande, qu’il ne veut pas savoir la vérité !.. » Voilà le drame que vivent Laurent GBAGBO, ses acolytes et ses suiveurs hypocrites et escrocs, depuis la fin du second tour de l’élection présidentielle en Côte d’ Ivoire. La grande vigilance de la CEI, des partis composant le RHDP et qui soutenaient Alassane Ouattara, ainsi que la présence massive et dissuasive d’observateurs, ont eu raison des velléités de tricheries massives du camp GBAGBO.
Voici pourquoi Laurent GBAGBO ne pouvait pas compter sur l’électorat Baoulé
Affirmer avant les élections présidentielles 2010, que les Baoulé voteraient massivement Laurent GBAGBO, au point de contribuer à sa victoire, était en réalité, une prétention frisant la pure démagogie, une grave aberration ! Pour les Baoulé, de telles allégations de GBAGBO et ses suiveurs hypocrites, étaient une insulte à leur intelligence à leur dignité, à leur civilisation et à leur histoire. Le peuple Baoulé n’est pas amnésique pour ne pas avoir à l’esprit, toutes les méchancetés et violences parfois meurtrières, que Laurent GBAGBO fait exercer ou qu’on exerce en son nom, sur les Baoulé, dans les zones acquises à sa cause. Souvenons-nous du « boycotte actif » de 1995 et d’autres faits. Avec le vote-sanction dans toutes les communautés Baoulé, à travers le pays, on peut dire que ce peuple n’est pas amnésique aux yeux des Baoulé, Laurent GBAGBO ne réunit pas les qualités qui font un bon chef. Parce que, chez les Baoulé, le vrai et le bon chef, est celui-là, qui est doté d’un sens aigu du discernement et du raisonnement logique, qui agit avec grande sagesse en toute occasion.
Pourquoi Laurent GBAGBO ne devra jamais compter sur l’électorat Baoulé
Chez les Baoulé, le passé compte parfois plus que le Présent et la mémoire des Baoulé est une véritable bibliothèque. Elle est toujours visitée et consultée. Les Baoulé n’aiment pas la honte, l’humiliation et ce qui déshonore. Ainsi, si un des leurs est frappé de déshonneur et d’opprobre, il est banni et rejeté à jamais !
De même, quand un des leurs est injustement honni et humilié sur la place publique, toute la communauté se sent concernée et en porte le deuil. Et les Baoulé disent que c’est ce que Laurent GBAGBO a fait à feu Félix Houphouët- Boigny et à Henri Konan Bédié. Il ne mérite donc pas d’être leur chef.
K.A