Sans récuser le fait d’être sur l liste des sanctions, de nombreux proches de Laurent Gbagbo ne sont pas d’accord, avec les allégations d’incitations publiques à la haine. «Autant j’accepte de ne pas voyager, qu’on gèle des biens que je n’ai pas, autant j’assume de ne pas aimer Ouattara et de n’avoir pas voté le RHDP je refuse cependant d’accepter qu’on dise que j’ai incité à la haine», a confié hier à l’IA une personne visé par les sanctions. Ses avocats sont à pied d’œuvre.
Coulisses Publié le lundi 17 janvier 2011 | L’intelligent d’Abidjan