Le préfet du département de Grand-Bassam, Bernard Douabou Gninia, poursuit ses rencontres avec les populations afin de consolider la paix dans le département. Il a échangé, hier, avec les chefs traditionnels et les chefs de communautés, à qui il a demandé de rester vigilants en cette période post-électorale très sensible. « Aujourd'hui, il y a beaucoup de rumeurs qui fusent dans la ville et certaines sont vérifiées. Vous chefs de communautés, vous devez aider l'administration. Si les gens vous livrent des armes, des machettes, de grâce informer sans tarder l'administration parce que les balles ne trient pas. Dénoncer ces personnes si vous voulez vivre tranquillement dans la ville », a sensibilisé le préfet. A l'en croire, Grand-Bassam est la seule ville de la région du Sud-Comoé qui a enregistré des troubles pendant la marche du Rhdp. Bernard Douabou Gninia a donc invité les deux communautés autochtones que sont les N'Zima et les Abourés à préserver la paix dans la localité.
Le préfet a souligné que l'ancienne capitale politique n'a pas été épargnée par les troubles qui ont émaillé la période post-électorale. Il a rappelé les récents affrontements entre forces de défense et de sécurité (Fds) et les militants du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp) au cours de la marche organisée par ce groupe politique. Ce choc a eu pour conséquence : incendie du domicile du commissaire, de son véhicule de commandement, de la voiture de la Rti et une perte en vie humaine ainsi que plusieurs blessés. Pour éviter de telles situations, le préfet a demandé aux chefs traditionnels et aux chefs de communautés d'être attentifs et de ne pas hésiter à dénoncer à l'administration, tout acte visant à troubler la paix dans la ville.
Emmanuelle Kanga à Grand-Bassam
Le préfet a souligné que l'ancienne capitale politique n'a pas été épargnée par les troubles qui ont émaillé la période post-électorale. Il a rappelé les récents affrontements entre forces de défense et de sécurité (Fds) et les militants du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp) au cours de la marche organisée par ce groupe politique. Ce choc a eu pour conséquence : incendie du domicile du commissaire, de son véhicule de commandement, de la voiture de la Rti et une perte en vie humaine ainsi que plusieurs blessés. Pour éviter de telles situations, le préfet a demandé aux chefs traditionnels et aux chefs de communautés d'être attentifs et de ne pas hésiter à dénoncer à l'administration, tout acte visant à troubler la paix dans la ville.
Emmanuelle Kanga à Grand-Bassam
