Plus de 50 partis politiques, organisations et mouvements de soutien au président Laurent Gbagbo, se sont retrouvés le samedi 15 janvier 2011 à la salle Anoumabo du palais de la culture de Treichville, répondant ainsi à l’appel de Mme Simone Gbagbo, secrétaire général du Congrès national de la résistance pour la démocratie (CNRD). L’épouse du président Laurent Gbagbo en a profité pour cracher ses vérités à la France et à Alassane Ouattara, président du RDR.
Mme Simone Gbagbo a trouvé l’astuce idéale pour qualifier le président Français, Nicolas Sarkozy et le Dr Alassane Ouattara, président du Rassemblement des républicains, dans la crise que traverse en ce moment la Côte d’Ivoire. « Je vais les identifier avec un nom bien clair : Sarkozy sera le diable, et Ouattara sera le chef bandit. Le temps des débats sur les élections entre Gbagbo et le chef bandit est passé. Notre président Laurent Gbagbo est vigoureusement installé au pouvoir et il travaille», a estimé le député d’Abobo. Selon elle, l’année jubilaire en Côte d’Ivoire sera une réussite, car Dieu lui-même est au contrôle dans tout ce qui se passe actuellement. «Le diable est persévérant dans la défaite. C`est parce que le diable est persévérant que notre pays est dans la tourmente. Aujourd`hui encore, ce diable persiste», a-t-elle constaté, ajoutant que la Côte d’Ivoire va recouvrer son indépendance et sa liberté totale. « Nous allons retrouver notre indépendance, notre souveraineté totale. Le mouvement de libération de l`Afrique entière est en train de naître en Côte d`Ivoire », a indiqué Mme Simone Gbagbo. Les houphouétistes, conduits par le ministre Vincent Pierre Lokrou et l’honorable Noutoua Youdé Célestin, au nom des gouverneurs de districts et présidents de conseils généraux, ont réaffirmé leur soutien aux institutions de la République de Côte d’Ivoire, personnalités qui les incarnent, surtout le président Laurent Gbagbo, proclamé élu par le Conseil constitutionnel, ainsi qu’aux éléments des Forces de défense et de sécurité tombés depuis le jeudi 16 janvier 2011, date à laquelle les affrontements entre FDS et FN ont commencé. Ils en ont profité pour demander à nouveau le départ de l’ONUCI et de la force Licorne qui sert de force de réaction rapide de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI).
Olivier Dion
Mme Simone Gbagbo a trouvé l’astuce idéale pour qualifier le président Français, Nicolas Sarkozy et le Dr Alassane Ouattara, président du Rassemblement des républicains, dans la crise que traverse en ce moment la Côte d’Ivoire. « Je vais les identifier avec un nom bien clair : Sarkozy sera le diable, et Ouattara sera le chef bandit. Le temps des débats sur les élections entre Gbagbo et le chef bandit est passé. Notre président Laurent Gbagbo est vigoureusement installé au pouvoir et il travaille», a estimé le député d’Abobo. Selon elle, l’année jubilaire en Côte d’Ivoire sera une réussite, car Dieu lui-même est au contrôle dans tout ce qui se passe actuellement. «Le diable est persévérant dans la défaite. C`est parce que le diable est persévérant que notre pays est dans la tourmente. Aujourd`hui encore, ce diable persiste», a-t-elle constaté, ajoutant que la Côte d’Ivoire va recouvrer son indépendance et sa liberté totale. « Nous allons retrouver notre indépendance, notre souveraineté totale. Le mouvement de libération de l`Afrique entière est en train de naître en Côte d`Ivoire », a indiqué Mme Simone Gbagbo. Les houphouétistes, conduits par le ministre Vincent Pierre Lokrou et l’honorable Noutoua Youdé Célestin, au nom des gouverneurs de districts et présidents de conseils généraux, ont réaffirmé leur soutien aux institutions de la République de Côte d’Ivoire, personnalités qui les incarnent, surtout le président Laurent Gbagbo, proclamé élu par le Conseil constitutionnel, ainsi qu’aux éléments des Forces de défense et de sécurité tombés depuis le jeudi 16 janvier 2011, date à laquelle les affrontements entre FDS et FN ont commencé. Ils en ont profité pour demander à nouveau le départ de l’ONUCI et de la force Licorne qui sert de force de réaction rapide de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI).
Olivier Dion
