Issa Malick Coulibaly, ministre de l’Agriculture a invité le jeudi 13 janvier 2010 au 23ème étage de la Caistab Charles Blé Goudé, ministre de la Jeunesse et de l’Emploi pour lui présenter les opportunités d’emploi dans le secteur agricole.
Souhaitant la bienvenue à Charles blé Goudé, Issa Malick Coulibaly, sans détour a précisé l’objectif de cette rencontre. Il s’est agi pour lui d’aborder la question relative à l’emploi des jeunes dans le mode rural. « Le président lors de sa campagne avait annoncé la question essentielle de l’emploi des jeunes. Plus de 4000 jeunes n’ont pas d’emploi. Ce chiffre est très élevé », a-t-il déploré. Avant d’ajouter que la jeunesse et l’emploi forment une même entité. C’est la raison pour laquelle, il a initié cette rencontre pour présenter les opportunités d’emplois qu’offre le secteur agricole aux jeunes. Pour Issa Malick, c’est un signe fort pour le président Laurent Gbagbo de mettre en place une politique de l’emploi. Pour sa part Charles Blé Goudé s’est réjoui d’être associé à cette rencontre. «Nous sommes venus en prospection », a-t-il dit. Avant de déclarer qu’un pays en crise doit redoubler d’effort au travail. « Quand on est issue d’un pays en voie de développement qui vit une crise, on est obligé de travailler doublement », a poursuivi le leader de la galaxie patriotique : « Nous avons la terre, la forêt et l’eau. Ce que les autres recherchent. Combien sont-ils les jeunes qui sont prêts à aller en brousse ? », s’est-il interrogé. Pour relever ce défi, Blé Goudé préconise de sensibiliser la jeunesse à la formation avant d’arriver au second volet qu’est l’emploi. « De la résistance politique de la rue, on peut résister économiquement », a fait remarquer le ministre de la jeunesse et de l’emploi. Avant lui, les responsables des structures sous tutelle du ministre de l’agriculture se sont prononcés sur le volet formation et le besoin de recrutement d’agents techniques. Il s’agit entre autres de l’INFPA (institut national de formation professionnelle et agricole), l’ARECA (Autorité de régulation du coton et l’anacarde), l’Anader (agence nationale d’appui au développement rural), le Firca (fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole), le CFGCC (Comité de gestion de la filière Café-cacao), la Cidt (Compagnie ivoirienne pour le développement de textiles) et le secteur hévéicole.
Armand Kouamé
Souhaitant la bienvenue à Charles blé Goudé, Issa Malick Coulibaly, sans détour a précisé l’objectif de cette rencontre. Il s’est agi pour lui d’aborder la question relative à l’emploi des jeunes dans le mode rural. « Le président lors de sa campagne avait annoncé la question essentielle de l’emploi des jeunes. Plus de 4000 jeunes n’ont pas d’emploi. Ce chiffre est très élevé », a-t-il déploré. Avant d’ajouter que la jeunesse et l’emploi forment une même entité. C’est la raison pour laquelle, il a initié cette rencontre pour présenter les opportunités d’emplois qu’offre le secteur agricole aux jeunes. Pour Issa Malick, c’est un signe fort pour le président Laurent Gbagbo de mettre en place une politique de l’emploi. Pour sa part Charles Blé Goudé s’est réjoui d’être associé à cette rencontre. «Nous sommes venus en prospection », a-t-il dit. Avant de déclarer qu’un pays en crise doit redoubler d’effort au travail. « Quand on est issue d’un pays en voie de développement qui vit une crise, on est obligé de travailler doublement », a poursuivi le leader de la galaxie patriotique : « Nous avons la terre, la forêt et l’eau. Ce que les autres recherchent. Combien sont-ils les jeunes qui sont prêts à aller en brousse ? », s’est-il interrogé. Pour relever ce défi, Blé Goudé préconise de sensibiliser la jeunesse à la formation avant d’arriver au second volet qu’est l’emploi. « De la résistance politique de la rue, on peut résister économiquement », a fait remarquer le ministre de la jeunesse et de l’emploi. Avant lui, les responsables des structures sous tutelle du ministre de l’agriculture se sont prononcés sur le volet formation et le besoin de recrutement d’agents techniques. Il s’agit entre autres de l’INFPA (institut national de formation professionnelle et agricole), l’ARECA (Autorité de régulation du coton et l’anacarde), l’Anader (agence nationale d’appui au développement rural), le Firca (fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole), le CFGCC (Comité de gestion de la filière Café-cacao), la Cidt (Compagnie ivoirienne pour le développement de textiles) et le secteur hévéicole.
Armand Kouamé