Si le ridicule tuait, Gbagbo et ses obligés ne seraient plus de ce monde. Depuis le début de la crise postélectorale, ils ne font que donner dans l'irrationnel qui frise la comédie. C'est une autre farce que le Gouvernement illégitime de l'ex-chef de l'Etat vient d'offrir aux Ivoiriens dont il peut encore exploiter la naïveté et l'inculture politique. En disant qu'il retirait à l'Ambassadeur de France en Côte d'Ivoire son accréditation, le Gouvernement putschiste de Gbagbo se rend très ridicule. En effet, comment renvoyer l'Ambassadeur d'un pays qui ne reconnait pas ton pouvoir ? Cela ne produit que l'effet d'un coup d'épée dans l'eau. Par conséquent, une telle déclaration apparait comme une vraie comédie pour amuser la galerie de courtisans naïfs et manipulables à souhait. En vérité, le camp Gbagbo veut paraitre et faire croire encore qu'il détient les manettes du pouvoir. Occupant un Palais sans légitimité, avec l'appui d'une soldatesque à sa solde, l'ancien président de la République donne l'illusion qu'il peut toujours décider pour la Côte d'Ivoire. En début du mois de janvier, son Gouvernement illégitime a dit la même chose en disant qu'il renvoyait l'Ambassadeur du Canada dans son pays. Or, jusqu'à présent, au moment où nous mettons sous presse, S.E.
Mme Isabelle Massip est encore à son poste à Abidjan. Quant à celui de la Grande Bretagne, il est en poste à Accra. La vérité, c'est que le Gouvernement Gbagbo est frappé d'une illégitimité chronique du fait qu'il ait perdu lamentablement l'élection présidentielle du 28 novembre 2010. Et depuis, il tente par des subterfuges juridico-politiques de se maintenir au Palais au grand dam du tollé général de la communauté internationale condamnant sa forfaiture. Partant de là, aucune action de Laurent Gbagbo n'a de la valeur aux yeux de l'opinion nationale et internationale. C'est une véritable perte de temps que de chercher à s'agripper à un pouvoir aussi illusoire.
IBK
Mme Isabelle Massip est encore à son poste à Abidjan. Quant à celui de la Grande Bretagne, il est en poste à Accra. La vérité, c'est que le Gouvernement Gbagbo est frappé d'une illégitimité chronique du fait qu'il ait perdu lamentablement l'élection présidentielle du 28 novembre 2010. Et depuis, il tente par des subterfuges juridico-politiques de se maintenir au Palais au grand dam du tollé général de la communauté internationale condamnant sa forfaiture. Partant de là, aucune action de Laurent Gbagbo n'a de la valeur aux yeux de l'opinion nationale et internationale. C'est une véritable perte de temps que de chercher à s'agripper à un pouvoir aussi illusoire.
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