Des Ivoiriens vivant au Mali ont manifesté avant le sommet de l’Uemoa à Bamako pour réclamer le départ de Gbagbo du pouvoir, à travers des pancartes affichant des messages hostiles au président sortant. Cela, bien avant la réunion des Chefs d’Etat de l’Uemoa. Il s’est agi d’un défilé dans l’enceinte du Centre international de conférence de Bamako (Cicb), lieu de la Conférence des Chefs d’Etat de l’Uemoa. Cette manifestation a eu lieu au moment où les présidents commençaient à faire leur entrée au Cicb.
Les présidents des Organes de l’Uemoa ont également honoré de leur présence ce sommet. Il s’agit de Soumaïla Cissé, Président de la Commission de l’Uemoa, Philippe-Henri Dacoury-Tabley de la Bceao, Abdoulaye Bio-Tchané, président de la Boad, Léné Sebgo, président du Conseil régional de l’épargne publique et des marchés financiers (Crepmf).
Pour une ouverture prévue à 10h, c’est finalement à 11h 55mn que celle-ci est intervenue. On a enregistré au cours de cette rencontre, les présences de quelques membres du Gouvernement d’Alassane Ouattara, à savoir Charles Koffi Diby, Mabri Toikeusse et Kandia Camara. Ils ont pris place dans la salle à 11h15mn.
Le Gouverneur Dacoury-Tabley était tout sourire lorsqu’il a fait son entrée dans l’auditorium du Cicb, à 11h40mn. Mais à la fin du sommet, autour de 18h30mn, il portait le masque, car il venait de donner sa démission sous la pression de la Conférence des Chefs d’Etat de l’Uemoa.
C’est à 11h55mn que les Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Uemoa ont fait leur entrée dans la salle du Cicb, accueillis par l’Orchestre instrumental du Mali qui a agrémenté la cérémonie d’ouverture.
Le Premier ministre Guillaume Soro, assis à côté du Président Abdoulaye Wade, était régulièrement taquiné par le président sénégalais qui le couvait régulièrement de toute son affection.
De nombreux Ivoiriens vivant au Mali n’ont pas voulu manquer cette conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement où la crise ivoirienne figurait en bonne place. Ils ont investi très tôt la salle du Cicb.
La presse accréditée à ce 15ème sommet a été durement éprouvée. En effet, après l’ouverture de la cérémonie, c’est aux alentours de 18h30mn que la rencontre a finalement pris fin. Ce fut pénible pour les journalistes qui tantôt se tenaient débout, tantôt s’asseyaient sur les escaliers situés non loin de la salle du huis clos pour ne rien rater de l’évènement.
Les présidents des Organes de l’Uemoa ont également honoré de leur présence ce sommet. Il s’agit de Soumaïla Cissé, Président de la Commission de l’Uemoa, Philippe-Henri Dacoury-Tabley de la Bceao, Abdoulaye Bio-Tchané, président de la Boad, Léné Sebgo, président du Conseil régional de l’épargne publique et des marchés financiers (Crepmf).
Pour une ouverture prévue à 10h, c’est finalement à 11h 55mn que celle-ci est intervenue. On a enregistré au cours de cette rencontre, les présences de quelques membres du Gouvernement d’Alassane Ouattara, à savoir Charles Koffi Diby, Mabri Toikeusse et Kandia Camara. Ils ont pris place dans la salle à 11h15mn.
Le Gouverneur Dacoury-Tabley était tout sourire lorsqu’il a fait son entrée dans l’auditorium du Cicb, à 11h40mn. Mais à la fin du sommet, autour de 18h30mn, il portait le masque, car il venait de donner sa démission sous la pression de la Conférence des Chefs d’Etat de l’Uemoa.
C’est à 11h55mn que les Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Uemoa ont fait leur entrée dans la salle du Cicb, accueillis par l’Orchestre instrumental du Mali qui a agrémenté la cérémonie d’ouverture.
Le Premier ministre Guillaume Soro, assis à côté du Président Abdoulaye Wade, était régulièrement taquiné par le président sénégalais qui le couvait régulièrement de toute son affection.
De nombreux Ivoiriens vivant au Mali n’ont pas voulu manquer cette conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement où la crise ivoirienne figurait en bonne place. Ils ont investi très tôt la salle du Cicb.
La presse accréditée à ce 15ème sommet a été durement éprouvée. En effet, après l’ouverture de la cérémonie, c’est aux alentours de 18h30mn que la rencontre a finalement pris fin. Ce fut pénible pour les journalistes qui tantôt se tenaient débout, tantôt s’asseyaient sur les escaliers situés non loin de la salle du huis clos pour ne rien rater de l’évènement.
