La suppression de la vignette au titre de l’année 2011 fait déjà couler beaucoup d’encre et de salive dans le milieu du transport. M. Konaté Lanciné, Président de l’association BEATCI s’est prononcé au cours d’un point de presse, le vendredi 21 janvier dernier à son siège sur cette mesure.
«La situation est actuellement confuse. Il y a deux décisions. L’application de l’une d’entre elles, met l’opérateur économique en danger. Il peut être l’objet de représailles de la part des militants et sympathisants de l’autre bord. Nous estimons qu’il faut d’abord régler la crise postélectorale. Une fois qu’on passera à un climat de paix, de stabilité alors, chacun pourra accomplir son devoir civique parce que l’activité économique se serait en ce moment là, normalisée », a pour le président de BEATCI (Association pour le bien-être ses employés et Auxiliaires de transport), investir dans le transport, c’est d’abord se mettre au service des populations. Avec cette crise, les employés et auxiliaires du transport (Chauffeurs, bagagistes, convoyeurs… ) paient un lourd tribut. En plus des rackets imposés par les syndicats sur les routes, ils sont tiraillés entre les décisions des leaders syndicaux de part et d’autres à la suite des hommes politiques. Dans cette situation, il leur est difficile de gagner convenablement leur pain quotidien». Avant de fustiger l’immixtion de certains leaders dans la politique politicienne : «aujourd’hui, on se rend compte que certains leaders syndicaux naviguent entre les deux blocs pour mettre de l’huile sur le feu. Parce qu’en faisant simplement de la délation et s’en tirent les poches pleines.
En agissant de la sorte, ils mettent des vies en danger, jettent le discrédit sur notre secteur ».
Appelant de tous ses vœux à une normalisation de l’activité économique, il a réitéré son engagement au service des adhérents de sa structure. « Pour nous, ce qui importe, c’est d’abord le bien-être des chauffeurs, des opérateurs économiques du secteur et des auxiliaires du transport. Ceux-ci travaillent dans des conditions difficiles sans sécurité sociale, sans bénéficier véritablement des fruits de leur labeur. En attendant une normalisation, qu’on nous laisse vaquer à nos occupations pour sauvegarder l’essentiel, c’est-à-dire : la vie»!
K. Hyacinthe
«La situation est actuellement confuse. Il y a deux décisions. L’application de l’une d’entre elles, met l’opérateur économique en danger. Il peut être l’objet de représailles de la part des militants et sympathisants de l’autre bord. Nous estimons qu’il faut d’abord régler la crise postélectorale. Une fois qu’on passera à un climat de paix, de stabilité alors, chacun pourra accomplir son devoir civique parce que l’activité économique se serait en ce moment là, normalisée », a pour le président de BEATCI (Association pour le bien-être ses employés et Auxiliaires de transport), investir dans le transport, c’est d’abord se mettre au service des populations. Avec cette crise, les employés et auxiliaires du transport (Chauffeurs, bagagistes, convoyeurs… ) paient un lourd tribut. En plus des rackets imposés par les syndicats sur les routes, ils sont tiraillés entre les décisions des leaders syndicaux de part et d’autres à la suite des hommes politiques. Dans cette situation, il leur est difficile de gagner convenablement leur pain quotidien». Avant de fustiger l’immixtion de certains leaders dans la politique politicienne : «aujourd’hui, on se rend compte que certains leaders syndicaux naviguent entre les deux blocs pour mettre de l’huile sur le feu. Parce qu’en faisant simplement de la délation et s’en tirent les poches pleines.
En agissant de la sorte, ils mettent des vies en danger, jettent le discrédit sur notre secteur ».
Appelant de tous ses vœux à une normalisation de l’activité économique, il a réitéré son engagement au service des adhérents de sa structure. « Pour nous, ce qui importe, c’est d’abord le bien-être des chauffeurs, des opérateurs économiques du secteur et des auxiliaires du transport. Ceux-ci travaillent dans des conditions difficiles sans sécurité sociale, sans bénéficier véritablement des fruits de leur labeur. En attendant une normalisation, qu’on nous laisse vaquer à nos occupations pour sauvegarder l’essentiel, c’est-à-dire : la vie»!
K. Hyacinthe