A quoi vise le Challenge presse que vous initiez à la faveur du Chan ?
C’est pour nous une occasion de permettre à nos amis journalistes de soutenir l’effort de mobilisation que nous faisons à propos des Eléphants locaux qui participent au Chan qui se déroulera du 4 au 25 février prochain, au Soudan. En plus de la mobilisation, nous incitons nos amis journalistes à faire preuve de créativité dans leurs articles tout au long du Chan. Une façon pour nous d’aider les Sportifs ivoiriens à soutenir les Eléphants.
Quelles sont les dispositions que vous avez prises à cet effet ?
Pour cette 2e édition du Chan, la situation actuelle nous impose beaucoup de prudence. C’est pourquoi, nous avons de nous limiter à un dispositif plus concis basé autour de la presse sportive dans toute son entièreté. Parce que c’est eux qui informeront les Ivoiriens au jour le jour. Les journalistes pourraient, par exemple, permettre aux Ivoiriens de mieux connaître les joueurs qui défendront le drapeau ivoirien à ce Chan et participeront aux prochains Jeux Olympiques.
Qu’est-ce qui est fait à l’endroit de la presse pour qu’elle puisse mieux travailler ?
Il y a d’abord le Challenge qui permettra aux 3 premiers de remporter d’excellents lots. Il y a surtout, aux II-Plateaux, non loin de l’Ena, le Centre de presse spécialisé équipé, d’un poste téléviseur, d’ordinateurs et de wifi pour leur permettre de faire leurs recherches. Ils pourront s’y rendre pour suivre les matchs comme ils y étaient.
Propos recueillis par
E. Djabia
C’est pour nous une occasion de permettre à nos amis journalistes de soutenir l’effort de mobilisation que nous faisons à propos des Eléphants locaux qui participent au Chan qui se déroulera du 4 au 25 février prochain, au Soudan. En plus de la mobilisation, nous incitons nos amis journalistes à faire preuve de créativité dans leurs articles tout au long du Chan. Une façon pour nous d’aider les Sportifs ivoiriens à soutenir les Eléphants.
Quelles sont les dispositions que vous avez prises à cet effet ?
Pour cette 2e édition du Chan, la situation actuelle nous impose beaucoup de prudence. C’est pourquoi, nous avons de nous limiter à un dispositif plus concis basé autour de la presse sportive dans toute son entièreté. Parce que c’est eux qui informeront les Ivoiriens au jour le jour. Les journalistes pourraient, par exemple, permettre aux Ivoiriens de mieux connaître les joueurs qui défendront le drapeau ivoirien à ce Chan et participeront aux prochains Jeux Olympiques.
Qu’est-ce qui est fait à l’endroit de la presse pour qu’elle puisse mieux travailler ?
Il y a d’abord le Challenge qui permettra aux 3 premiers de remporter d’excellents lots. Il y a surtout, aux II-Plateaux, non loin de l’Ena, le Centre de presse spécialisé équipé, d’un poste téléviseur, d’ordinateurs et de wifi pour leur permettre de faire leurs recherches. Ils pourront s’y rendre pour suivre les matchs comme ils y étaient.
Propos recueillis par
E. Djabia
