Dans la nuit du vendredi 28 au samedi dernier 29 janvier 2011, aux 2 Plateaux dans la commune de Cocody, le cabinet de Me Hamza Attéa Patricia, avocate à la Cour, a été attaqué. Et au regard de certains indices, on peut avancer que les auteurs du coup, sont bien loin d’être des malfaiteurs ordinaires. Leur acte, en effet, laisse croire qu’ils étaient investis d’une autre mission que celle de voler des biens quelconques. Eu égard à ce qui s’est passé, on pourrait se permettre ces affirmations. En effet, les renseignements qui nous sont fournis indiquent que c’est aux alentours de 4h du matin que des malfaiteurs, au nombre de deux, accèdent à la cour du cabinet. Aussi défoncent-ils l’une des fenêtres du bureau de L.J.P, collaborateur direct de la patronne des lieux. Et c’est par cette fenêtre cassée qu’ils se glissent, pour descendre directement dans le bureau de L.J.P. Sortis de là discrètement, les malfrats cherchent
et localisent l’un des obstacles très importants et qu’il faut absolument neutraliser. Il s’agit de D.D.W. C’est le jeune homme habituellement en charge du ménage, mais qui, cette nuit-là, faisait office de gardien. L’infortuné qui dort tranquillement dans les bureaux des archives est brutalement tiré de son sommeil et maîtrisé. Ne pouvant guère apporter une quelconque réplique aux cambrioleurs, au risque de mettre en péril sa vie, il n’a d’autre choix que de se laisser faire. D.D.W est donc solidement ligoté comme un saucisson. Ayant alors le parfait contrôle des lieux, les deux gangsters, qui ne sont certainement pas seuls à mener l’expédition, s’emploient à autre chose. A savoir, défoncer les portes de tous les bureaux et passer ceux-ci au crible. Après un bon moment d’occupation des lieux, le gardien, toujours bien ligoté, voit les bandits ressortir du cabinet. Les bras chargés d’importants biens, tant en
quantité qu’en qualité. Un vrai pillage, qui laisse un visage triste au cabinet. Informés tôt le matin, Me Hamza Attéa et ses collaborateurs se déportent immédiatement sur les lieux. Et ce sont eux qui établissent le préjudice. Ainsi, on sait que les hommes armés ont emporté quatre unités centrales d’ordinateurs renfermant d’importantes bases de données, autant d’écrans, la somme de 275.000 F.Cfa et un groupe électrogène. Jusque-là, on pense que l’acte est le fait de bandits de bas étage, juste à la recherche de biens ordinaires. Mais, Me Hamza et ses collaborateurs révisent cette position, lorsqu’ils se rendent compte d’une autre composante du butin emporté. Une composante bien plus importante, avance-t-on. Il s’agit de documents relatifs, selon nos sources, à la conférence de presse que devrait animer la patronne du cabinet. Mais aussi et surtout, des documents hautement politiques, concernant une haute
personnalité du pays. Ces documents, faut-il le signaler, toujours selon nos sources, ont été confiés au cabinet de Me Hamza par un autre homme politique. Une documentation classée « Top secret » et assimilée à une « bombe », pour la haute personnalité qu’elle met en cause. Un butin qui amène, en effet, les victimes à se convaincre que ceux qui ont mené l’assaut étaient investis d’une mission particulière. Celle de faire disparaître ces documents qui seraient compromettants. La police est tout de suite informée. Des agents des forces de sécurité se déportent donc sur les lieux pour le constat d’usage. Des investigations sont en cours pour éclairer, au mieux, sur la forfaiture.
KIKIE Ahou Nazaire
et localisent l’un des obstacles très importants et qu’il faut absolument neutraliser. Il s’agit de D.D.W. C’est le jeune homme habituellement en charge du ménage, mais qui, cette nuit-là, faisait office de gardien. L’infortuné qui dort tranquillement dans les bureaux des archives est brutalement tiré de son sommeil et maîtrisé. Ne pouvant guère apporter une quelconque réplique aux cambrioleurs, au risque de mettre en péril sa vie, il n’a d’autre choix que de se laisser faire. D.D.W est donc solidement ligoté comme un saucisson. Ayant alors le parfait contrôle des lieux, les deux gangsters, qui ne sont certainement pas seuls à mener l’expédition, s’emploient à autre chose. A savoir, défoncer les portes de tous les bureaux et passer ceux-ci au crible. Après un bon moment d’occupation des lieux, le gardien, toujours bien ligoté, voit les bandits ressortir du cabinet. Les bras chargés d’importants biens, tant en
quantité qu’en qualité. Un vrai pillage, qui laisse un visage triste au cabinet. Informés tôt le matin, Me Hamza Attéa et ses collaborateurs se déportent immédiatement sur les lieux. Et ce sont eux qui établissent le préjudice. Ainsi, on sait que les hommes armés ont emporté quatre unités centrales d’ordinateurs renfermant d’importantes bases de données, autant d’écrans, la somme de 275.000 F.Cfa et un groupe électrogène. Jusque-là, on pense que l’acte est le fait de bandits de bas étage, juste à la recherche de biens ordinaires. Mais, Me Hamza et ses collaborateurs révisent cette position, lorsqu’ils se rendent compte d’une autre composante du butin emporté. Une composante bien plus importante, avance-t-on. Il s’agit de documents relatifs, selon nos sources, à la conférence de presse que devrait animer la patronne du cabinet. Mais aussi et surtout, des documents hautement politiques, concernant une haute
personnalité du pays. Ces documents, faut-il le signaler, toujours selon nos sources, ont été confiés au cabinet de Me Hamza par un autre homme politique. Une documentation classée « Top secret » et assimilée à une « bombe », pour la haute personnalité qu’elle met en cause. Un butin qui amène, en effet, les victimes à se convaincre que ceux qui ont mené l’assaut étaient investis d’une mission particulière. Celle de faire disparaître ces documents qui seraient compromettants. La police est tout de suite informée. Des agents des forces de sécurité se déportent donc sur les lieux pour le constat d’usage. Des investigations sont en cours pour éclairer, au mieux, sur la forfaiture.
KIKIE Ahou Nazaire