Nicolas Sarkozy, le grand perdant d’Addis-Abeba, est de plus en plus ridicule. Après avoir subi un échec cuisant dans tous ses efforts de lobbying qu’il a tentés auprès des chefs d`État africains, le bloc des États d’Afrique australe mené par Jacob Zuma a fermement rejeté toutes ses tentatives de manipulation et l’a acculé à soutenir aujourd’hui le contraire de ce qu’il a toujours demandé en Côte d’Ivoire, à savoir l’éviction du Président Laurent Gbagbo par la force. Après la désignation de ce panel de chefs d`État par l’Ua pour trouver une solution pacifique à la crise, nous nous acheminons actuellement vers la phase que Laurent Gbagbo a demandée dès les premiers jours de décembre 2010. A savoir que des personnes indépendantes viennent enquêter sur place. La phase justement où la question incontournable sera de savoir si Alassane Ouattara a vraiment été le choix du peuple ivoirien.
Rien d`étonnant donc que le trio des vampires de la Cedeao (Jonathan-Compaoré-Wade) vocifère déjà sa déception en ces termes il est ”hors de question” de reconnaître en Laurent Gbagbo le président de la Côte d`Ivoire ou que Ban Ki-moon, dont le représentant Choi Young-Jin en Côte d’Ivoire a commencé cette crise, dit aujourd’hui que reprendre le décompte des votes est « une grave injustice ». Comme quoi, lorsque Choi insultait la justice ivoirienne en rejetant un arrêt du Conseil constitutionnel déboutant le camp Ouattara des résultats fabriqués par un certain Youssouf Bakayoko et ses trois complices occidentaux, c’était de la justice…
On se demande donc pourquoi les États-Unis, champion mondial de la démocratie et des libertés se gênaient en 2000 à ordonner le recomptage des votes pour départager les candidats Georges W Bush et Al Gore, après que ce dernier (tout comme Laurent Gbagbo l’a fait en fin novembre 2010) ait introduit une plainte pour fraudes auprès de la Cour suprême (l’équivalent du Conseil constitutionnel ivoirien)…
African Independant (Cameroun)
Rien d`étonnant donc que le trio des vampires de la Cedeao (Jonathan-Compaoré-Wade) vocifère déjà sa déception en ces termes il est ”hors de question” de reconnaître en Laurent Gbagbo le président de la Côte d`Ivoire ou que Ban Ki-moon, dont le représentant Choi Young-Jin en Côte d’Ivoire a commencé cette crise, dit aujourd’hui que reprendre le décompte des votes est « une grave injustice ». Comme quoi, lorsque Choi insultait la justice ivoirienne en rejetant un arrêt du Conseil constitutionnel déboutant le camp Ouattara des résultats fabriqués par un certain Youssouf Bakayoko et ses trois complices occidentaux, c’était de la justice…
On se demande donc pourquoi les États-Unis, champion mondial de la démocratie et des libertés se gênaient en 2000 à ordonner le recomptage des votes pour départager les candidats Georges W Bush et Al Gore, après que ce dernier (tout comme Laurent Gbagbo l’a fait en fin novembre 2010) ait introduit une plainte pour fraudes auprès de la Cour suprême (l’équivalent du Conseil constitutionnel ivoirien)…
African Independant (Cameroun)