Les puissances occidentales et leurs instruments, s’illustrent de plus en plus comme des instruments de diabolisation des dirigeants et d’avilissement des peuples qui ne dansent pas au rythme de leur musique.
La France et son Président Nicolas Sarkozy, avec à sa suite une partie de la communauté européenne et certains pays occidentaux ont décidé de ne reculer devant rien pour placer leur «poulain chéri» Alassane Ouattara à la tête de la Côte d'Ivoire. Tels des colons esclavagistes du 18ème siècle, ils ont décidé de traiter le peuple ivoirien comme des animaux: «affamons-les, ils vont devenir nerveux», «terrorisons-les, ils vont sortir dans la rue», «privons-les de leurs biens, ils vont se révolter».... «On n'a pas réussi à le faire partir par les pressions, les menaces, les sanctions et la force, donc on va «bestialiser» la population pour la conduire à la révolte...» Au 21ème siècle, 50 ans après les indépendances, c'est indigne, c'est honteux, c'est cruel.... Indignés, les Ivoiriens n'entrent pas dans ce jeu cruel et malsain. Le plan de Nicolas Sarkozy et de Alassane Ouattara est une fois de plus voué à l'échec... Tout ce qu'ils obtiennent, c'est un rejet de plus en plus marqué de la population, une scission au sein même des rangs du RHDP et une révolte indignée des peuples solidaires des autres pays africains. Ouattara, s'il arrive un jour, grâce à cette stratégie vandale et inhumaine, à occuper le fauteuil présidentiel, sera un homme vomi par le peuple: valet de l'Occident, bourreau des Ivoiriens, synonyme d'opprobre des Africains... Et la population ivoirienne qui continue de résister malgré tous ces coups de boutoir n'en revient pas. Que toute cette «communauté internationale» soi-disant éprise de justice et de droits de l'homme s'adonne à de telles pratiques est tout simplement monstrueux. Face à l'indignation, aux cris de souffrance, à la colère des Ivoiriens, ils se comportent comme les trois singes: «je ne vois rien, je n'entends rien, je ne dis rien». Ils infligent les pires souffrances à un peuple souverain, dans l'hypocrisie la plus totale. Honneur et dignité du pays bafoués: on ignore royalement la Constitution et les lois souveraines de la Côte d'Ivoire, on les foule aux pieds, et on humilie gravement une République indépendante aux mépris de toutes les règles internationales. Institutions et entreprises sanctionnées sans fondement: la farandole des sanctions est si grotesque qu'on pourrait en rire, si ce n'était pas aussi dramatique. Plusieurs milliers de personnes et d'entreprises privées, n'ayant rien à voir avec l'Etat sont sanctionnées sans aucune logique compréhensible.... Gouvernement légitime sanctionné dans sa totalité, avoirs du Port Autonome d'Abidjan (entreprise privée) gelés, avoirs de la PETROCI, de la GESTOCI, de la RTI gelés, fonctionnaires menacés de sanctions, 90 personnes soi-disant proches de Laurent Gbagbo (!!!) sanctionnés, paysans et entreprises privées producteurs de caoutchouc menacés, producteurs de café cacao sanctionnés, banques privées sanctionnées, opérateurs économiques privés sanctionnés... jusqu'où ira cette cohorte de sanctions absurdes et ridicules??? Des Ivoiriens en grand nombre viennent de lancer une pétition demandant aussi à ce que tout Ivoirien soit sanctionné pour le simple fait d'être originaire de ce pays... Ainsi on comprendra mieux!!! Quelle honte! Population asphyxiée et affamée: on prive les Ivoiriens de leur revenu légitimement gagné à la sueur de leur front en bloquant tout le système financier national (résultat, l'État souverain n'a d'autre choix que de réquisitionner les agences de la BCEAO pour que toutes les banques puissent continuer à fonctionner), en interdisant les exportations de de cacao qui font vivre plus de la moitié des familles ivoiriennes, en empêchant les navires immatriculés en Europe de venir charger au Port d'Abidjan (des milliers de tonnes de biens périssables sont ainsi avariés) privant ainsi des millions de pères de familles des gains de leurs récoltes et de leurs travaux,... Là aussi, hypocritement, les médias français chantonnent «asphyxie financière de Laurent Gbagbo» alors qu'il s'agit bien d'affamer et de mettre à genoux des millions de personnes... et les pays membres de la CEDEAO se sont laissé prendre aux chants de sirènes de Nicolas Sarkozy, pour précipiter toute l'Afrique de l'Ouest dans un gouffre financier! Le franc CFA est menacé et les populations de tous les pays commencent à sentir les répercussions de cet aveuglement de Nicolas Sarkozy et Alassane Ouattara... Pire qu'une attaque armée brutale, c'est un génocide qui est opéré à petit feu... Une telle bassesse est inqualifiable ! Hommes, femmes et enfants terrorisés: on opère, grâce à des commandos de rebelles embusqués et des jeunes drogués surexcités, des actions d'attaque barbares des biens privés et publics, d'établissements scolaires remplis d'élèves, des bâtiments municipaux, dans plusieurs villes de l'intérieur du pays (Lakota, Duékoué, Abengourou, Anyama, etc.) et dans des quartiers d'Abidjan (notamment Abobo) – pour faire croire à un désordre dans le pays et effrayer les innocents civils. Pire encore, dans les zones Centre, Nord et Ouest (CNO), les rebelles armés de Ouattara se livrent à des exactions qui font fuir des milliers de personnes vers le Sud du Pays et le Liberia. Pays agressé: le clan Ouattara continue d'en appeler à une intervention armée contre la Côte d'Ivoire, malgré la mise en place par l'Union Africaine d'un panel composé de cinq chefs d'Etat! Il annonce déjà l'échec de ce panel.. Son «ambassadeur» à Paris, M. Ali Coulibaly, décidément très volubile, parle froidement du meurtre de plusieurs personnes et de perpétrer un coup d'Etat sans aucun état d'âme. Il minimise de façon tout à fait irresponsable la guerre civile très sanglante qui s'ensuivrait. Il ment éhontément à la face du monde entier. C'est la rébellion sanguinaire au vu et au su de tous. Mais que craint donc le clan Ouattara?? Que la vérité éclate enfin??? M. Jacob ZUMA a déjà menacé: les membres du panel revisiteront bel et bien le second tour des élections, et aucune position partisane ne sera tolérée. Déjà, lors de sa venue en Côte d'Ivoire, aux premières heures de la crise, M. Thabo MBEKI avait souligné plusieurs faits troublants quant à l'issue du second tour de l'élection présidentielle. Au vu des faits, plusieurs chefs d'Etat africains et d'autres pays ont déclaré pour certains que M. Gbagbo a raison (M. Yayi BONI du Bénin), que le président élu est bel et bien M. Gbagbo (M. DOS SANTOS de l'Angola), qu'il fallait impérativement revisiter les résultats du second tour (Guinée Bissau, Cap Vert, Malawi, Afrique du Sud, etc.). Tous ont opposé une fin de non recevoir claire à l'intervention armée tant réclamée par M. Ouattara et M. Sarkozy qui voulaient utiliser les Africains pour faire la sale besogne meurtrière à leur place. Mais, que l'on laisse une bonne fois pour toutes les Ivoiriens en paix! La Côte d'Ivoire, à cette allure, n'aura plus aucune raison de faire partie d'un cirque qui sert uniquement les intérêts de la mourante Françafrique. Locomotive économique et financière de l'Afrique de l'Ouest, 1er producteur de cacao au monde, plaque tournante des échanges boursiers, de biens et de services de la sous-région, la Côte d'Ivoire a les moyens et la capacité de créer sa propre monnaie et de développer son propre système financier. Des pays plus petits et largement moins puissants économiquement possèdent leur propre monnaie: le Ghana, le Liberia, Guinée, Mauritanie, Botswana, Cap-Vert, Gambie, Éthiopie, etc. Les spécialistes financiers africains travaillent déjà dessus. Cela représente la pire crainte de la France de M. Sarkozy et de son Ministre des Affaires Étrangères, l'incompétente Michèle Alliot-Marie. Ils ont décidé de mettre ce pays à feu et à sang, sous le regard hypocrite de l'Occident. Les Ivoiriens disent encore et toujours NON. L'Afrique digne et fière les soutient.
La France et son Président Nicolas Sarkozy, avec à sa suite une partie de la communauté européenne et certains pays occidentaux ont décidé de ne reculer devant rien pour placer leur «poulain chéri» Alassane Ouattara à la tête de la Côte d'Ivoire. Tels des colons esclavagistes du 18ème siècle, ils ont décidé de traiter le peuple ivoirien comme des animaux: «affamons-les, ils vont devenir nerveux», «terrorisons-les, ils vont sortir dans la rue», «privons-les de leurs biens, ils vont se révolter».... «On n'a pas réussi à le faire partir par les pressions, les menaces, les sanctions et la force, donc on va «bestialiser» la population pour la conduire à la révolte...» Au 21ème siècle, 50 ans après les indépendances, c'est indigne, c'est honteux, c'est cruel.... Indignés, les Ivoiriens n'entrent pas dans ce jeu cruel et malsain. Le plan de Nicolas Sarkozy et de Alassane Ouattara est une fois de plus voué à l'échec... Tout ce qu'ils obtiennent, c'est un rejet de plus en plus marqué de la population, une scission au sein même des rangs du RHDP et une révolte indignée des peuples solidaires des autres pays africains. Ouattara, s'il arrive un jour, grâce à cette stratégie vandale et inhumaine, à occuper le fauteuil présidentiel, sera un homme vomi par le peuple: valet de l'Occident, bourreau des Ivoiriens, synonyme d'opprobre des Africains... Et la population ivoirienne qui continue de résister malgré tous ces coups de boutoir n'en revient pas. Que toute cette «communauté internationale» soi-disant éprise de justice et de droits de l'homme s'adonne à de telles pratiques est tout simplement monstrueux. Face à l'indignation, aux cris de souffrance, à la colère des Ivoiriens, ils se comportent comme les trois singes: «je ne vois rien, je n'entends rien, je ne dis rien». Ils infligent les pires souffrances à un peuple souverain, dans l'hypocrisie la plus totale. Honneur et dignité du pays bafoués: on ignore royalement la Constitution et les lois souveraines de la Côte d'Ivoire, on les foule aux pieds, et on humilie gravement une République indépendante aux mépris de toutes les règles internationales. Institutions et entreprises sanctionnées sans fondement: la farandole des sanctions est si grotesque qu'on pourrait en rire, si ce n'était pas aussi dramatique. Plusieurs milliers de personnes et d'entreprises privées, n'ayant rien à voir avec l'Etat sont sanctionnées sans aucune logique compréhensible.... Gouvernement légitime sanctionné dans sa totalité, avoirs du Port Autonome d'Abidjan (entreprise privée) gelés, avoirs de la PETROCI, de la GESTOCI, de la RTI gelés, fonctionnaires menacés de sanctions, 90 personnes soi-disant proches de Laurent Gbagbo (!!!) sanctionnés, paysans et entreprises privées producteurs de caoutchouc menacés, producteurs de café cacao sanctionnés, banques privées sanctionnées, opérateurs économiques privés sanctionnés... jusqu'où ira cette cohorte de sanctions absurdes et ridicules??? Des Ivoiriens en grand nombre viennent de lancer une pétition demandant aussi à ce que tout Ivoirien soit sanctionné pour le simple fait d'être originaire de ce pays... Ainsi on comprendra mieux!!! Quelle honte! Population asphyxiée et affamée: on prive les Ivoiriens de leur revenu légitimement gagné à la sueur de leur front en bloquant tout le système financier national (résultat, l'État souverain n'a d'autre choix que de réquisitionner les agences de la BCEAO pour que toutes les banques puissent continuer à fonctionner), en interdisant les exportations de de cacao qui font vivre plus de la moitié des familles ivoiriennes, en empêchant les navires immatriculés en Europe de venir charger au Port d'Abidjan (des milliers de tonnes de biens périssables sont ainsi avariés) privant ainsi des millions de pères de familles des gains de leurs récoltes et de leurs travaux,... Là aussi, hypocritement, les médias français chantonnent «asphyxie financière de Laurent Gbagbo» alors qu'il s'agit bien d'affamer et de mettre à genoux des millions de personnes... et les pays membres de la CEDEAO se sont laissé prendre aux chants de sirènes de Nicolas Sarkozy, pour précipiter toute l'Afrique de l'Ouest dans un gouffre financier! Le franc CFA est menacé et les populations de tous les pays commencent à sentir les répercussions de cet aveuglement de Nicolas Sarkozy et Alassane Ouattara... Pire qu'une attaque armée brutale, c'est un génocide qui est opéré à petit feu... Une telle bassesse est inqualifiable ! Hommes, femmes et enfants terrorisés: on opère, grâce à des commandos de rebelles embusqués et des jeunes drogués surexcités, des actions d'attaque barbares des biens privés et publics, d'établissements scolaires remplis d'élèves, des bâtiments municipaux, dans plusieurs villes de l'intérieur du pays (Lakota, Duékoué, Abengourou, Anyama, etc.) et dans des quartiers d'Abidjan (notamment Abobo) – pour faire croire à un désordre dans le pays et effrayer les innocents civils. Pire encore, dans les zones Centre, Nord et Ouest (CNO), les rebelles armés de Ouattara se livrent à des exactions qui font fuir des milliers de personnes vers le Sud du Pays et le Liberia. Pays agressé: le clan Ouattara continue d'en appeler à une intervention armée contre la Côte d'Ivoire, malgré la mise en place par l'Union Africaine d'un panel composé de cinq chefs d'Etat! Il annonce déjà l'échec de ce panel.. Son «ambassadeur» à Paris, M. Ali Coulibaly, décidément très volubile, parle froidement du meurtre de plusieurs personnes et de perpétrer un coup d'Etat sans aucun état d'âme. Il minimise de façon tout à fait irresponsable la guerre civile très sanglante qui s'ensuivrait. Il ment éhontément à la face du monde entier. C'est la rébellion sanguinaire au vu et au su de tous. Mais que craint donc le clan Ouattara?? Que la vérité éclate enfin??? M. Jacob ZUMA a déjà menacé: les membres du panel revisiteront bel et bien le second tour des élections, et aucune position partisane ne sera tolérée. Déjà, lors de sa venue en Côte d'Ivoire, aux premières heures de la crise, M. Thabo MBEKI avait souligné plusieurs faits troublants quant à l'issue du second tour de l'élection présidentielle. Au vu des faits, plusieurs chefs d'Etat africains et d'autres pays ont déclaré pour certains que M. Gbagbo a raison (M. Yayi BONI du Bénin), que le président élu est bel et bien M. Gbagbo (M. DOS SANTOS de l'Angola), qu'il fallait impérativement revisiter les résultats du second tour (Guinée Bissau, Cap Vert, Malawi, Afrique du Sud, etc.). Tous ont opposé une fin de non recevoir claire à l'intervention armée tant réclamée par M. Ouattara et M. Sarkozy qui voulaient utiliser les Africains pour faire la sale besogne meurtrière à leur place. Mais, que l'on laisse une bonne fois pour toutes les Ivoiriens en paix! La Côte d'Ivoire, à cette allure, n'aura plus aucune raison de faire partie d'un cirque qui sert uniquement les intérêts de la mourante Françafrique. Locomotive économique et financière de l'Afrique de l'Ouest, 1er producteur de cacao au monde, plaque tournante des échanges boursiers, de biens et de services de la sous-région, la Côte d'Ivoire a les moyens et la capacité de créer sa propre monnaie et de développer son propre système financier. Des pays plus petits et largement moins puissants économiquement possèdent leur propre monnaie: le Ghana, le Liberia, Guinée, Mauritanie, Botswana, Cap-Vert, Gambie, Éthiopie, etc. Les spécialistes financiers africains travaillent déjà dessus. Cela représente la pire crainte de la France de M. Sarkozy et de son Ministre des Affaires Étrangères, l'incompétente Michèle Alliot-Marie. Ils ont décidé de mettre ce pays à feu et à sang, sous le regard hypocrite de l'Occident. Les Ivoiriens disent encore et toujours NON. L'Afrique digne et fière les soutient.