Ce vendredi 11 février 2011, le Bureau exécutif national de la Coalition pour le changement (CPC) a tenu une réunion extraordinaire de 10 heures à 14 heures à Marcory. En l’absence du président Touré Mamadou qui est actuellement en mission en Europe, la réunion a été conjointement présidée par Constant Koffi, premier vice-président de la CPC et Sylvestre Da, président national des UTL.
Deux points étaient inscrits à l’ordre du jour :
1- Gestion de la crise postélectorale
2- Situation de la presse en Côte d’Ivoire
I- Gestion de la crise post-électorale
Le BEN de la CPC a noté avec satisfaction l’engagement plein et entier de la communauté internationale à rétablir la vérité sortie des urnes le 28 novembre 2010.
La CPC salue la reconnaissance par l’Union Africaine, la CEDEAO, l’ONU, et l’Union européenne du Dr Alassane Dramane Ouattara comme vainqueur de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire et président légitime de la République de Côte d’Ivoire.
La CPC dénonce l’attitude l’Angola et l’Afrique du Sud et les met en garde contre toutes tentatives visant à remettre en cause la volonté du peuple ivoirien clairement exprimée en faveur de S.E.M Alassane Ouattara.
Sur la question du Panel qui a été mis sur pied par le Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine, la CPC s’aligne derrière les positions déjà affirmées par le président la République et le RHDP et préviens qu’il n’ya pas d’alternative au départ de Laurent Gbagbo si ce n’est la guerre civile.
La CPC soutient la participation du président Blaise Compaoré à ce panel, car depuis trois ans, il s’est engagé pour la résolution de la crise ivoirienne à la demande de l’ex chef de l’état Laurent Gbagbo.
La CPC met fermement en garde quiconque se hasarderait à troubler le séjour du président Blaise Compaoré en terre ivoirienne, et invite la jeunesse à s’organiser pour lui réserver un accueil triomphale.
II- Situation de la presse en Côte d’Ivoire
C’est avec une vive consternation que la CPC a appris par voie de presse que l’ancien président, Laurent Gbagbo qui continue de s’accrocher au pouvoir a pris des décrets illégaux dégommant les dirigeants du Conseil national de la presse (CNP). Dans le même temps, la CPC a également appris que le Conseil national de la communication audiovisuelle (CNCA) a pris une mesure incompréhensible et injustifiable de retrait des fréquences attribuées à la radio ONUCI FM. Bien avant ces deux méfaits, deux journalistes de la station de télévision TV notre patrie basée à Bouaké ont été mis aux arrêts et continuent d’être torturés à la Brigade de recherche.
La CPC exprime sa vive préoccupation devant les atteintes répétées à la liberté de la presse de la part du clan Gbagbo.
Pour la CPC, ces manœuvres de l’ancien président ont pour seul but de bâillonner les journaux et médias proches du RHDP et la radio ONUCI FM qui œuvrent pour l’avènement d’une vraie démocratie en Côte d’Ivoire.
Face à cette interdiction programmée de parution des organes de presse proches du Rhdp, le Bureau exécutif national de la CPC a, au cours de cette réunion de crise, arrêté ce qui suit :
- La CPC condamne vigoureusement la révocation des dirigeants légaux du Conseil national de la presse (CNP)
- Dénonce la tentative de retrait des fréquences attribuées de la radio ONUCI FM
- Exprime sa profonde préoccupation sur la sécurité des journalistes dans l’exercice de leur fonction.
- Appelle les jeunes de Côte d’Ivoire en général et ceux de la CPC en particulier à assurer la sécurité des journalistes partout où ils se trouveront dans l’exercice de leur fonction et à empêcher par tous les moyens la parution et la vente des journaux dits bleus si d’aventure le régime moribond de Laurent Gbagbo se hasarde à fermer les journaux proches du RHDP.
- Encourage les journalistes de Côte d’Ivoire à continuer à informer le peuple ivoirien.
- Décide d’occuper à nouveau le terrain à travers des rencontres éclatées avec ses bases et les jeunes en général, dans le district d’Abidjan dès le Samedi 12 Février 2011.
Pour finir, le BEN de la CPC salut l’aboutissement de la révolution en Egypte et demande à ses membres de se tenir prêts et mobilisés pour exécuter tous les mots d’ordre qui seront lancés pour déloger Laurent Gbagbo du palais présidentiel afin d’installer le président élu, Son Excellence Monsieur Alassane Dramane Ouattara.
Fait à Abidjan, le 11 février 2011
Pour la CPC,
DA SYLVESTRE, président des Universités des temps libres (UTL),
Deuxième vice-président de la Coalition pour le changement (CPC)
Contact : communicationcpc@yahoo.fr
Deux points étaient inscrits à l’ordre du jour :
1- Gestion de la crise postélectorale
2- Situation de la presse en Côte d’Ivoire
I- Gestion de la crise post-électorale
Le BEN de la CPC a noté avec satisfaction l’engagement plein et entier de la communauté internationale à rétablir la vérité sortie des urnes le 28 novembre 2010.
La CPC salue la reconnaissance par l’Union Africaine, la CEDEAO, l’ONU, et l’Union européenne du Dr Alassane Dramane Ouattara comme vainqueur de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire et président légitime de la République de Côte d’Ivoire.
La CPC dénonce l’attitude l’Angola et l’Afrique du Sud et les met en garde contre toutes tentatives visant à remettre en cause la volonté du peuple ivoirien clairement exprimée en faveur de S.E.M Alassane Ouattara.
Sur la question du Panel qui a été mis sur pied par le Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine, la CPC s’aligne derrière les positions déjà affirmées par le président la République et le RHDP et préviens qu’il n’ya pas d’alternative au départ de Laurent Gbagbo si ce n’est la guerre civile.
La CPC soutient la participation du président Blaise Compaoré à ce panel, car depuis trois ans, il s’est engagé pour la résolution de la crise ivoirienne à la demande de l’ex chef de l’état Laurent Gbagbo.
La CPC met fermement en garde quiconque se hasarderait à troubler le séjour du président Blaise Compaoré en terre ivoirienne, et invite la jeunesse à s’organiser pour lui réserver un accueil triomphale.
II- Situation de la presse en Côte d’Ivoire
C’est avec une vive consternation que la CPC a appris par voie de presse que l’ancien président, Laurent Gbagbo qui continue de s’accrocher au pouvoir a pris des décrets illégaux dégommant les dirigeants du Conseil national de la presse (CNP). Dans le même temps, la CPC a également appris que le Conseil national de la communication audiovisuelle (CNCA) a pris une mesure incompréhensible et injustifiable de retrait des fréquences attribuées à la radio ONUCI FM. Bien avant ces deux méfaits, deux journalistes de la station de télévision TV notre patrie basée à Bouaké ont été mis aux arrêts et continuent d’être torturés à la Brigade de recherche.
La CPC exprime sa vive préoccupation devant les atteintes répétées à la liberté de la presse de la part du clan Gbagbo.
Pour la CPC, ces manœuvres de l’ancien président ont pour seul but de bâillonner les journaux et médias proches du RHDP et la radio ONUCI FM qui œuvrent pour l’avènement d’une vraie démocratie en Côte d’Ivoire.
Face à cette interdiction programmée de parution des organes de presse proches du Rhdp, le Bureau exécutif national de la CPC a, au cours de cette réunion de crise, arrêté ce qui suit :
- La CPC condamne vigoureusement la révocation des dirigeants légaux du Conseil national de la presse (CNP)
- Dénonce la tentative de retrait des fréquences attribuées de la radio ONUCI FM
- Exprime sa profonde préoccupation sur la sécurité des journalistes dans l’exercice de leur fonction.
- Appelle les jeunes de Côte d’Ivoire en général et ceux de la CPC en particulier à assurer la sécurité des journalistes partout où ils se trouveront dans l’exercice de leur fonction et à empêcher par tous les moyens la parution et la vente des journaux dits bleus si d’aventure le régime moribond de Laurent Gbagbo se hasarde à fermer les journaux proches du RHDP.
- Encourage les journalistes de Côte d’Ivoire à continuer à informer le peuple ivoirien.
- Décide d’occuper à nouveau le terrain à travers des rencontres éclatées avec ses bases et les jeunes en général, dans le district d’Abidjan dès le Samedi 12 Février 2011.
Pour finir, le BEN de la CPC salut l’aboutissement de la révolution en Egypte et demande à ses membres de se tenir prêts et mobilisés pour exécuter tous les mots d’ordre qui seront lancés pour déloger Laurent Gbagbo du palais présidentiel afin d’installer le président élu, Son Excellence Monsieur Alassane Dramane Ouattara.
Fait à Abidjan, le 11 février 2011
Pour la CPC,
DA SYLVESTRE, président des Universités des temps libres (UTL),
Deuxième vice-président de la Coalition pour le changement (CPC)
Contact : communicationcpc@yahoo.fr