Le CNI a décidé de semer le trouble au sein de la communauté musulmane de Côte d'Ivoire. Ce, en décidant de célébrer le Maoulid dans la nuit d'aujourd'hui, contrairement à la date arrêtée par le COSIM (dans la nuit du 15 au 16 février). A la vérité, le président du CNI n'a aucune responsabilité spirituelle à organiser une telle cérémonie. Il aurait dû s'aligner sur la décision du COSIM, et après s'il le désire il pouvait organiser sa cérémonie dans sa mosquée. Le président du CNI est toujours dans sa logique : Régner ''en maître absolu'' à la tête de la communauté musulmane. Le guide spirituel vit mal le leadership du Cheick Fofana, président du COSIM. En tout cas, son action ressemble fort à un sabotage qui a pour objectif de semer la zizanie au sein de la communauté.
Laquelle est en quête perpétuelle d'une unité. Pour la nuit du Maoulid, il a pu obtenir de ses amis Frontistes la nuit du lundi à mardi au lieu de celle du mardi à mercredi arrêté par le COSIM.
Vraisemblablement, cet énième acte de Koudouss démontre bien qu'il a décidé de travailler contre sa communauté au profit de l'ex -chef de l'Etat, Laurent Gbagbo. En contrepartie, Koudouss a obtenu de lui l'initiative de certaines décisions pour les musulmans dont il se veut le seul interlocuteur auprès du gouvernement illégitime de Laurent Gbagbo. En tout cas, si tant est-il que Koudouss est écouté par Gbagbo qu'il ait le courage de lui dire.
A Cissé
Laquelle est en quête perpétuelle d'une unité. Pour la nuit du Maoulid, il a pu obtenir de ses amis Frontistes la nuit du lundi à mardi au lieu de celle du mardi à mercredi arrêté par le COSIM.
Vraisemblablement, cet énième acte de Koudouss démontre bien qu'il a décidé de travailler contre sa communauté au profit de l'ex -chef de l'Etat, Laurent Gbagbo. En contrepartie, Koudouss a obtenu de lui l'initiative de certaines décisions pour les musulmans dont il se veut le seul interlocuteur auprès du gouvernement illégitime de Laurent Gbagbo. En tout cas, si tant est-il que Koudouss est écouté par Gbagbo qu'il ait le courage de lui dire.
A Cissé