« On jouera contre un adversaire de la poule D pour les quarts de finale », croyaient dur comme fer certains joueurs ivoiriens. Hélas ! La prophétie n’a pu se réaliser. Convaincu de la méforme de ses poulains qu’il a toujours décriée d’ailleurs, le fervent chrétien sélectionneur de l’équipe nationale locale s’est confié à Dieu pour cette seconde édition du CHAN. Pourtant, les choses semblaient bien se dessiner pour les Eléphants après leur victoire contre le Mali. Les trois points d’avance sur les Léopards de la RD Congo qui avaient été défaits par les Lions indomptables du Cameroun à la première journée, sentaient le sacre à plein nez pour les Ivoiriens.
Malheureusement, Kouadio Georges n’a su mettre en place les stratégies idoines pour déboulonner la RDC jeudi dernier et tenir en échec les Camerounais le lundi 14 février. Encore une autre élimination précoce. Une équipe encore à la recherche de ses repères, une défense fébrile, une attaque en mal de lucidité, c’est le navrant tableau que les sélections nationales toutes catégories confondues, ont toujours présenté. « Aide-toi et le Ciel t’aidera » selon le dicton populaire. Tombés dans l’euphorie de la victoire après leur succès face au Mali, les hommes Kouadio Georges ont baissé les bras. Méritaient-ils vraiment le soutien de Dieu ? Pis, ils n’ont jamais été piqués au vif de leur orgueil. Tristesse et désolation chez le peuple ivoirien, telle est la métaphore récurrente des joueurs ivoiriens. Irrité contre ses coéquipiers, le portier et capitaine des Eléphants locaux, Yéboah Daniel n’a pu contenir ses larmes. Ce sont les oiseaux de mauvais augures qui ont eu finalement raison. Eux qui avaient soutenu qu’il ne fallait pas s’attendre à un miracle des pachydermes locaux eu égard à leur méforme. Pour dire vrai, Dieu a vraiment lâché Kouadio Georges et les siens au Soudan.
Koné Yaouba
Malheureusement, Kouadio Georges n’a su mettre en place les stratégies idoines pour déboulonner la RDC jeudi dernier et tenir en échec les Camerounais le lundi 14 février. Encore une autre élimination précoce. Une équipe encore à la recherche de ses repères, une défense fébrile, une attaque en mal de lucidité, c’est le navrant tableau que les sélections nationales toutes catégories confondues, ont toujours présenté. « Aide-toi et le Ciel t’aidera » selon le dicton populaire. Tombés dans l’euphorie de la victoire après leur succès face au Mali, les hommes Kouadio Georges ont baissé les bras. Méritaient-ils vraiment le soutien de Dieu ? Pis, ils n’ont jamais été piqués au vif de leur orgueil. Tristesse et désolation chez le peuple ivoirien, telle est la métaphore récurrente des joueurs ivoiriens. Irrité contre ses coéquipiers, le portier et capitaine des Eléphants locaux, Yéboah Daniel n’a pu contenir ses larmes. Ce sont les oiseaux de mauvais augures qui ont eu finalement raison. Eux qui avaient soutenu qu’il ne fallait pas s’attendre à un miracle des pachydermes locaux eu égard à leur méforme. Pour dire vrai, Dieu a vraiment lâché Kouadio Georges et les siens au Soudan.
Koné Yaouba