Le sélectionneur-entraîneur des Eléphants locaux, Kouadio Georges, n’est pas prêt à se prononcent sur l’élimination de la Côte d’Ivoire au Chan Soudan 2011.
Peut-on dire que cette élimination était prévisible ?
Je ne pense pas que notre élimination était prévisible. C’est vrai qu’il y avait des signes annonciateurs. Mais, nous croyions à un exploit de nos garçons qui étaient quand même gonflés à bloc. Vous savez, il y a parfois des équipes qui se préparent dans des conditions très difficiles et qui surprennent pendant des compétitions d’une telle envergure. A contrario, il y a aussi celles qui sont mises dans des conditions idéales de préparation et qui déçoivent énormément. Une chose est sûre, je suis très déçu. Et avec moi, tous les autres membres de la délégation.
Vous devez avoir beaucoup de regrets certainement…
Bien sûr. Nous sortons de cette compétition avec beaucoup de regrets. Mon cœur brûle. Parce qu’avec un minimum de préparation, nos joueurs auraient pu faire mieux. Ils ont été victimes du manque de conditions physiques à un moment donné des différents matches.
A vous entendre, on a l’impression que vous étiez venus à ce Chan dans l’espoir de faire un exploit…
Effectivement, nous étions venus pour un exploit. Car, nous savions que la mission allait être difficile. Sincèrement, j’ai beaucoup de regrets. Je ne sais pas comment vous expliquer le mal que je ressens. C’est difficile à vivre, cette élimination.
Peut-on dire que vos joueurs vous ont trahi ?
Pas du tout. Loin de moi cette idée saugrenue. Pourquoi mes joueurs pourraient-ils me trahir. Ils ont exploité au maximum leurs qualités faites de vitesses et de passes courtes. En gros, ils ont respecté nos consignes qui consistaient à tabler sur le collectif. Malheureusement, il leur a manqué ce petit quelque chose pour exploser.
Fif.ci
Peut-on dire que cette élimination était prévisible ?
Je ne pense pas que notre élimination était prévisible. C’est vrai qu’il y avait des signes annonciateurs. Mais, nous croyions à un exploit de nos garçons qui étaient quand même gonflés à bloc. Vous savez, il y a parfois des équipes qui se préparent dans des conditions très difficiles et qui surprennent pendant des compétitions d’une telle envergure. A contrario, il y a aussi celles qui sont mises dans des conditions idéales de préparation et qui déçoivent énormément. Une chose est sûre, je suis très déçu. Et avec moi, tous les autres membres de la délégation.
Vous devez avoir beaucoup de regrets certainement…
Bien sûr. Nous sortons de cette compétition avec beaucoup de regrets. Mon cœur brûle. Parce qu’avec un minimum de préparation, nos joueurs auraient pu faire mieux. Ils ont été victimes du manque de conditions physiques à un moment donné des différents matches.
A vous entendre, on a l’impression que vous étiez venus à ce Chan dans l’espoir de faire un exploit…
Effectivement, nous étions venus pour un exploit. Car, nous savions que la mission allait être difficile. Sincèrement, j’ai beaucoup de regrets. Je ne sais pas comment vous expliquer le mal que je ressens. C’est difficile à vivre, cette élimination.
Peut-on dire que vos joueurs vous ont trahi ?
Pas du tout. Loin de moi cette idée saugrenue. Pourquoi mes joueurs pourraient-ils me trahir. Ils ont exploité au maximum leurs qualités faites de vitesses et de passes courtes. En gros, ils ont respecté nos consignes qui consistaient à tabler sur le collectif. Malheureusement, il leur a manqué ce petit quelque chose pour exploser.
Fif.ci