Grosse frayeur de la délégation ivoirienne dans la nuit du mercredi 16 au jeudi 17 février à Khartoum. Au moment où tout le monde dormait, le Dr Kouakou Pierre Lacroix (médecin de l’équipe nationale locale) est réveillé par, Kouamé Magloire, voisin de chambre de Koné Bakary. Ce dernier, souffrant d’une douleur abdominale, est conduit d’urgence dans une clinique vers 4h du matin.
Après des soins intensifs, il retrouve ses esprits dans la journée du jeudi. Mais, le mal reprend dans la nuit du jeudi 17 au vendredi 18 février. Même scénario. Cette fois, il est conduit d’urgence à l’hôpital national Al-Amal. Après examens, le diagnostic révèle que le joueur souffre
d’une crise aigue d’appendicite. Pour éviter le pire et sur proposition du médecin de cet hôpital, Koné Bakary a été opéré vendredi avec succès. Après deux jours d’observation, « Bakus » est sorti d’hôpital hier. « Après une souffrance intense, je me sens maintenant libéré et soulagé », nous a-t-il confié, samedi, dans sa chambre d’hôpital.
Il quitte la capitale soudanaise mardi 22 février en compagnie du Dr Lacroix et du secrétaire administratif de l’équipe nationale locale, Kéita Mamadou.
Jean-Claude Djakus à Khartoum
Après des soins intensifs, il retrouve ses esprits dans la journée du jeudi. Mais, le mal reprend dans la nuit du jeudi 17 au vendredi 18 février. Même scénario. Cette fois, il est conduit d’urgence à l’hôpital national Al-Amal. Après examens, le diagnostic révèle que le joueur souffre
d’une crise aigue d’appendicite. Pour éviter le pire et sur proposition du médecin de cet hôpital, Koné Bakary a été opéré vendredi avec succès. Après deux jours d’observation, « Bakus » est sorti d’hôpital hier. « Après une souffrance intense, je me sens maintenant libéré et soulagé », nous a-t-il confié, samedi, dans sa chambre d’hôpital.
Il quitte la capitale soudanaise mardi 22 février en compagnie du Dr Lacroix et du secrétaire administratif de l’équipe nationale locale, Kéita Mamadou.
Jean-Claude Djakus à Khartoum
