Dans le cadre du Forum Social Mondial Dakar 2011, un panel de haut niveau s’est tenu le 11 février 2011 dans la capitale sénégalaise (sous la tente de la CONGAD). Ce panel a permis aux intellectuels africains et particulièrement aux leaders des organisations de la société civile d’Afrique de débattre sur la crise ivoirienne en vue d`entrevoir des perspectives de sortie de crise. De retour du Sénégal où elle a pris part à ces assises, Mme Nathalie Koné Traoré, Présidente du Centre Féminin pour la démocratie et les droits humains en Côte d’Ivoire (CEFCI) et Vice Présidente du Comite Exécutif du FOSCAO Régional a livré à la presse le mercredi 16 février 2011 les conclusions des travaux de ce débat. A l’en croire, la rencontre a mis l’accent sur les principes démocratiques. Sur la crise ivoirienne, survenue à la suite du second tour du scrutin présidentiel, elle a souligné que les participants ont convenu qu’elle découle du refus de l’acceptation des résultats de la Commission Electorale Indépendante (CEI) par le candidat de La Majorité Présidentielle (LMP). Partant de ce constat, affirme Mme Traoré, ces pairs se sont unanimement accordés sur les points suivants dans tous les pays africains et en particulier en Côte d`Ivoire. Ce sont le respect de la vie quelque soit l`appartenance politique, ethnique et religieuse, le respect des libertés fondamentales, notamment la liberté d’association, de mouvement et d’expression, le respect des principes démocratiques qui est basée sur les résultats des urnes, le respect de la volonté du peuple, une solidarité plus forte de la société civile africaine à l’endroit de celle Ivoirienne, le comportement républicain de l’armée dans les mouvements des peuples vers la démocratie et la liberté. Notamment en Tunisie et en Egypte. « Le panel a recommandé également l’objectivité et la sincérité qui doivent caractériser les intellectuels africains pour soutenir la marche des peuples altermondialistes vers plus de démocratie et de liberté. A ce titre, les participants ont dénoncé l’implication négative de certains intellectuels sénégalais qui se déplacent de pays en pays pour distiller des contrevérités. C’est entre autres, le cas du Pr Malick Ndiaye qui s’est illustré de façon maladroite dans le contentieux postélectoral Ivoirien », a noté la présidente du Cefci. Les participants ont également lancé un appel à la Cedeao et à l`Union Africaine afin que les valeurs précitées soient prises en compte dans toutes les actions de médiation et de résolution durable de la crise ivoirienne. Modéré par le Président de la RADDHO (Rencontre Africaine des Droits de l`Homme), le Pr Alioune Tine, ce panel qui a réuni d’éminents leaders de la société civile africaine, a vu la participation de Traoré Wodjo Fini, Expert électoral, membre de l’ECOSOCC de l’UA et Coordonnateur de la COSOPCI (Côte d`Ivoire), Mathias Tankoano, président de la RADDHO (Burkina Faso), Me Assane Dioma N’Diaye, président de la Ligue sénégalaise des droits de l’Homme (Sénégal) Pr Oumar Ndongo, Secrétaire Exécutif du FOSCAO (Forum de la société civile de l’Afrique de l’Ouest).
M Tié Traoré
LA SOCIETE CIVILE AFRICAINE PREND POSITION ET SOUTIEN LES ONG DE DROITS HUMAINS EN COTE D’IVOIRE
Thème du panel : Où va la Côte d’Ivoire ?
Dans le cadre du Forum Social Mondial Dakar 2011, un panel de haut niveau modéré par le Président de la RADDHO (Rencontre Africaine des Droits de l`Homme), le Pr Alioune Tine, le 11 février 2011, qui a vu la participation de :
TRAORE Wodjo Fini, Expert électoral, membre de l’ECOSOCC de l’UA ET Coordonnateur de la COSOPCI, Côte d`Ivoire
Mathias TANKOANO Expert électoral et Président de la RADDHO Burkina Faso
Maître Assane DIoma NDIAYE, Président de la Ligue sénégalaise
Mme Nathalie KONE Traore , Présidente du Centre Féminin pour la démocratie et les droits humains en Côte d’Ivoire (CEFCI) et Vice Présidente du Comite Exécutif de FOSCAO Régional
Pr Oumar NDONGO, Secrétaire Exécutif du FOSCAO (Forum de la société civile de l’Afrique de l’Ouest)
Ce panel qui a drainé du monde a permis de débattre sur la crise ivoirienne en vue d`entrevoir des perspectives de sortie de crise.
Des responsables de la société civile sénégalaise, des représentants du gouvernement sénégalais et de l’opposition, des responsables d’organisations féminines et de nombreux autres participants issus de l’Afrique, de l’Europe et de l’Amérique ont pris part A ce panel de haut niveau qui s’est tenu sous la tente de la CONGAD
Cette rencontre, organisée par la société civile par la RADDHO a mis l’accent sur les principes démocratiques et réaffirmé que la crise ivoirienne est survenue à la suite du 2nd tour de élection présidentielle et sont les conséquences du refus de l’acceptation des résultats de la Commission Electorale Indépendante par le candidat de La Majorité Présidentielle,
Après les échanges fructueux qui se sont déroulés, les participants se sont unanimement accordés sur les points suivants dans tous les pays africains et en particulier en Côte d`Ivoire :
le respect de la vie quelque soit l`appartenance politique, ethnique et religieuse
le respect des libertés fondamentales, notamment la liberté d’association, de mouvement et d’expression,
le respect des principes démocratiques qui est basée sur les résultats des urnes.
le respect de la volonté du peuple
Une solidarité plus forte entre la societé civile africaine à l’endroit de la societé civile ivoirienne
Le comportement républicain de l’armée dans les mouvements des peuples vers la démocratie et la liberté, notamment en Tunisie et en Egypte
L’objectivité et la sincérité qui doivent caractériser les intellectuels africains pour soutenir la marche des peuples altermondialistes vers plus de démocratie et de liberté
Les participants ont par la même occasion dénoncée l’implication négative de certains intellectuels sénégalais qui disent des contrevérités et se déplacent de pays en pays , notamment le Professeur Malick Ndiaye qui s’est illustrée de façon négative dans la gestion de la crise post électorale en CI
Les participants ont par la même occasion lancé un appel à la CEDEAO et à l`Union Africaine afin que les valeurs précitées soient prises en compte dans toutes les démarches de médiation et de résolution durable de la crise ivoirienne.
M Tié Traoré
LA SOCIETE CIVILE AFRICAINE PREND POSITION ET SOUTIEN LES ONG DE DROITS HUMAINS EN COTE D’IVOIRE
Thème du panel : Où va la Côte d’Ivoire ?
Dans le cadre du Forum Social Mondial Dakar 2011, un panel de haut niveau modéré par le Président de la RADDHO (Rencontre Africaine des Droits de l`Homme), le Pr Alioune Tine, le 11 février 2011, qui a vu la participation de :
TRAORE Wodjo Fini, Expert électoral, membre de l’ECOSOCC de l’UA ET Coordonnateur de la COSOPCI, Côte d`Ivoire
Mathias TANKOANO Expert électoral et Président de la RADDHO Burkina Faso
Maître Assane DIoma NDIAYE, Président de la Ligue sénégalaise
Mme Nathalie KONE Traore , Présidente du Centre Féminin pour la démocratie et les droits humains en Côte d’Ivoire (CEFCI) et Vice Présidente du Comite Exécutif de FOSCAO Régional
Pr Oumar NDONGO, Secrétaire Exécutif du FOSCAO (Forum de la société civile de l’Afrique de l’Ouest)
Ce panel qui a drainé du monde a permis de débattre sur la crise ivoirienne en vue d`entrevoir des perspectives de sortie de crise.
Des responsables de la société civile sénégalaise, des représentants du gouvernement sénégalais et de l’opposition, des responsables d’organisations féminines et de nombreux autres participants issus de l’Afrique, de l’Europe et de l’Amérique ont pris part A ce panel de haut niveau qui s’est tenu sous la tente de la CONGAD
Cette rencontre, organisée par la société civile par la RADDHO a mis l’accent sur les principes démocratiques et réaffirmé que la crise ivoirienne est survenue à la suite du 2nd tour de élection présidentielle et sont les conséquences du refus de l’acceptation des résultats de la Commission Electorale Indépendante par le candidat de La Majorité Présidentielle,
Après les échanges fructueux qui se sont déroulés, les participants se sont unanimement accordés sur les points suivants dans tous les pays africains et en particulier en Côte d`Ivoire :
le respect de la vie quelque soit l`appartenance politique, ethnique et religieuse
le respect des libertés fondamentales, notamment la liberté d’association, de mouvement et d’expression,
le respect des principes démocratiques qui est basée sur les résultats des urnes.
le respect de la volonté du peuple
Une solidarité plus forte entre la societé civile africaine à l’endroit de la societé civile ivoirienne
Le comportement républicain de l’armée dans les mouvements des peuples vers la démocratie et la liberté, notamment en Tunisie et en Egypte
L’objectivité et la sincérité qui doivent caractériser les intellectuels africains pour soutenir la marche des peuples altermondialistes vers plus de démocratie et de liberté
Les participants ont par la même occasion dénoncée l’implication négative de certains intellectuels sénégalais qui disent des contrevérités et se déplacent de pays en pays , notamment le Professeur Malick Ndiaye qui s’est illustrée de façon négative dans la gestion de la crise post électorale en CI
Les participants ont par la même occasion lancé un appel à la CEDEAO et à l`Union Africaine afin que les valeurs précitées soient prises en compte dans toutes les démarches de médiation et de résolution durable de la crise ivoirienne.