Dans le cadre du Forum Social Mondial Dakar 2011, un panel de haut niveau modéré par le Président de la RADDHO (Rencontre Africaine des Droits de l`Homme), le Pr Alioune Tine, le 11 février 2011, qui a vu la participation de :
TRAORE Wodjo Fini, Expert électoral, membre de l’ECOSOCC de l’UA ET Coordonnateur de la COSOPCI, Côte d`Ivoire
Mathias TANKOANO Expert électoral et Président de la RADDHO Burkina Faso
Maître Assane DIoma NDIAYE, Président de la Ligue sénégalaise
Mme Nathalie KONE Traore , Présidente du Centre Féminin pour la démocratie et les droits humains en Côte d’Ivoire (CEFCI) et Vice Présidente du Comite Exécutif de FOSCAO Régional
Pr Oumar NDONGO, Secrétaire Exécutif du FOSCAO (Forum de la société civile de l’Afrique de l’Ouest)
Ce panel qui a drainé du monde a permis de débattre sur la crise ivoirienne en vue d`entrevoir des perspectives de sortie de crise.
Des responsables de la société civile sénégalaise, des représentants du gouvernement sénégalais et de l’opposition, des responsables d’organisations féminines et de nombreux autres participants issus de l’Afrique, de l’Europe et de l’Amérique ont pris part A ce panel de haut niveau qui s’est tenu sous la tente de la CONGAD
Cette rencontre, organisée par la société civile par la RADDHO a mis l’accent sur les principes démocratiques et réaffirmé que la crise ivoirienne est survenue à la suite du 2nd tour de élection présidentielle et sont les conséquences du refus de l’acceptation des résultats de la Commission Electorale Indépendante par le candidat de La Majorité Présidentielle,
Après les échanges fructueux qui se sont déroulés, les participants se sont unanimement accordés sur les points suivants dans tous les pays africains et en particulier en Côte d`Ivoire :
le respect de la vie quelque soit l`appartenance politique, ethnique et religieuse
le respect des libertés fondamentales, notamment la liberté d’association, de mouvement et d’expression,
le respect des principes démocratiques qui est basée sur les résultats des urnes.
le respect de la volonté du peuple
Une solidarité plus forte entre la societé civile africaine à l’endroit de la societé civile ivoirienne
Le comportement républicain de l’armée dans les mouvements des peuples vers la démocratie et la liberté, notamment en Tunisie et en Egypte
L’objectivité et la sincérité qui doivent caractériser les intellectuels africains pour soutenir la marche des peuples altermondialistes vers plus de démocratie et de liberté
Les participants ont par la même occasion dénoncée l’implication négative de certains intellectuels sénégalais qui disent des contrevérités et se déplacent de pays en pays , notamment le Professeur Malick Ndiaye qui s’est illustrée de façon négative dans la gestion de la crise post électorale en CI
Les participants ont par la même occasion lancé un appel à la CEDEAO et à l`Union Africaine afin que les valeurs précitées soient prises en compte dans toutes les démarches de médiation et de résolution durable de la crise ivoirienne.
TRAORE Wodjo Fini, Expert électoral, membre de l’ECOSOCC de l’UA ET Coordonnateur de la COSOPCI, Côte d`Ivoire
Mathias TANKOANO Expert électoral et Président de la RADDHO Burkina Faso
Maître Assane DIoma NDIAYE, Président de la Ligue sénégalaise
Mme Nathalie KONE Traore , Présidente du Centre Féminin pour la démocratie et les droits humains en Côte d’Ivoire (CEFCI) et Vice Présidente du Comite Exécutif de FOSCAO Régional
Pr Oumar NDONGO, Secrétaire Exécutif du FOSCAO (Forum de la société civile de l’Afrique de l’Ouest)
Ce panel qui a drainé du monde a permis de débattre sur la crise ivoirienne en vue d`entrevoir des perspectives de sortie de crise.
Des responsables de la société civile sénégalaise, des représentants du gouvernement sénégalais et de l’opposition, des responsables d’organisations féminines et de nombreux autres participants issus de l’Afrique, de l’Europe et de l’Amérique ont pris part A ce panel de haut niveau qui s’est tenu sous la tente de la CONGAD
Cette rencontre, organisée par la société civile par la RADDHO a mis l’accent sur les principes démocratiques et réaffirmé que la crise ivoirienne est survenue à la suite du 2nd tour de élection présidentielle et sont les conséquences du refus de l’acceptation des résultats de la Commission Electorale Indépendante par le candidat de La Majorité Présidentielle,
Après les échanges fructueux qui se sont déroulés, les participants se sont unanimement accordés sur les points suivants dans tous les pays africains et en particulier en Côte d`Ivoire :
le respect de la vie quelque soit l`appartenance politique, ethnique et religieuse
le respect des libertés fondamentales, notamment la liberté d’association, de mouvement et d’expression,
le respect des principes démocratiques qui est basée sur les résultats des urnes.
le respect de la volonté du peuple
Une solidarité plus forte entre la societé civile africaine à l’endroit de la societé civile ivoirienne
Le comportement républicain de l’armée dans les mouvements des peuples vers la démocratie et la liberté, notamment en Tunisie et en Egypte
L’objectivité et la sincérité qui doivent caractériser les intellectuels africains pour soutenir la marche des peuples altermondialistes vers plus de démocratie et de liberté
Les participants ont par la même occasion dénoncée l’implication négative de certains intellectuels sénégalais qui disent des contrevérités et se déplacent de pays en pays , notamment le Professeur Malick Ndiaye qui s’est illustrée de façon négative dans la gestion de la crise post électorale en CI
Les participants ont par la même occasion lancé un appel à la CEDEAO et à l`Union Africaine afin que les valeurs précitées soient prises en compte dans toutes les démarches de médiation et de résolution durable de la crise ivoirienne.