C’est connu, derrière un grand homme se trouve une grande dame. Ça ne l’est pas moins en ce qui concerne un Président de la République d’une certaine trempe, derrière qui ne peut que s’afficher une Première dame d’une carrure certaine.
Alassane Ouattara, valeureux Président de la République de Côte d’Ivoire, sa gracieuse épouse ne pouvait qu’arborer les habits – ou plutôt l’impeccable tailleur – de Première dame d’envergure.
On peut donc le dire aujourd’hui sans risquer de se tromper : la « blanche colombe » est bel et bien installée dans son rôle. L’éclatante preuve de cette réalité dont se réjouit déjà l’écrasante majorité des Ivoiriens, a été donnée récemment par l’épouse du chef de l’Etat élu, qui a participé mercredi dernier, à Bruxelles, au Forum de Crans Montana, du nom de la prestigieuse organisation internationale dont l’une des missions essentielles est de contribuer à la construction d’un monde plus humain.
Et savez-vous quelle place y a tenue Dominique Ouattara ? Eh bien, celle d’invitée d’honneur parmi un parterre d’homologues africains et de personnalités internationales de premier plan, et à qui le prix de cette fondation a été décerné !
Faut-il le souligner, le Forum de Crans Montana, porté sur les fonts baptismaux au lendemain de la fin de la guerre froide, se veut par ailleurs un formidable terreau pour le renforcement de la coopération internationale, la croissance globale, la stabilité et la sécurité. Des challenges qui s’inscrivent bien dans le champ d’action de la gouvernance d’un Etat moderne tel que l’envisage pour la Côte d’Ivoire le chef de l’Etat et dont son épouse entend bien être le relais.
Mais faut-il s’étonner de cette consécration aux allures de coup de maître pour les premiers pas de la toute nouvelle Première dame de notre pays ? Faut-il appréhender autrement cette distinction et l’immense honneur qu’elle fait rejaillir sur ce pays si durement éprouvé par une crise absurde, que comme la juste récompense du parcours d’une femme de foi et de conviction ? Une femme qui n’a jamais douté, aux côtés d’un époux lui-même résolu, voire intrépide, face aux innombrables obstacles dressés sur le pourtant noble chemin qu’il s’est tracé pour son pays, celui de la démocratie, de la justice, du progrès social et du développement économique. A la vérité non !
Dominique Ouattara Première dame de Côte d’Ivoire, c’est l’aboutissement d’une longue marche, d’un long combat, dont le visage le plus connu reste avant tout et sans conteste celui d’un investissement sans commune mesure, à travers son organisation caritative Children of Africa, dans la défense du droit de l’enfance africaine et des couches sociales les plus défavorisées. En Côte d’Ivoire, c’est presque chaque jour que cette dame au grand cœur vole au secours des enfants, à travers des programmes d’accès à la santé, à l’éducation, à l’alimentation, etc. Epouse d’opposant, elle n’en affichait pas moins, plus que celles qui en étaient légitimement fondées, l’engagement à se préoccuper de l’avenir de ses concitoyens. Dominique Ouattara, c’était un peu la Première dame avant la lettre. Nul doute que son nouveau statut de « Première dame accomplie » lui offrira le bonheur supplémentaire de sortir ses compatriotes de la pauvreté.
Mais l’autre face de cette « boule de générosité et d’altruisme », c’est la redoutable chef d’entreprise qu’elle a toujours été, à l’échelle quasi planétaire, et dont les succès dans les affaires lui ont valu une foule de distinctions, dont la dernière en date, femme d’affaire de l’année 2000, lui a été décernée en 2000. C’est donc une dame qui, dans un pays écrasé par un taux de chômage sans précédent, entend transmettre son sens de l’entrepreneuriat à ses compatriotes.
Mais l’un des traits définitoires les plus marquants de l’égérie du chef de l’Etat, c’est bien sa foi et une conviction à toute épreuve, en une cause embrassée par son époux : la cause de la démocratie, de la justice, de l’égalité, du développement. C’est fort de cela que l’actuelle Première dame ivoirienne a pris une part active au combat de son époux pour donner corps, dans l’épreuve, l’humiliation et les brimades de toutes sortes, à ces valeurs essentielles qui régissent toute nation digne de ce nom dont la mission essentielle et régalienne est d’offrir le bien-être à ses concitoyens.
Koré Emmanuel
Alassane Ouattara, valeureux Président de la République de Côte d’Ivoire, sa gracieuse épouse ne pouvait qu’arborer les habits – ou plutôt l’impeccable tailleur – de Première dame d’envergure.
On peut donc le dire aujourd’hui sans risquer de se tromper : la « blanche colombe » est bel et bien installée dans son rôle. L’éclatante preuve de cette réalité dont se réjouit déjà l’écrasante majorité des Ivoiriens, a été donnée récemment par l’épouse du chef de l’Etat élu, qui a participé mercredi dernier, à Bruxelles, au Forum de Crans Montana, du nom de la prestigieuse organisation internationale dont l’une des missions essentielles est de contribuer à la construction d’un monde plus humain.
Et savez-vous quelle place y a tenue Dominique Ouattara ? Eh bien, celle d’invitée d’honneur parmi un parterre d’homologues africains et de personnalités internationales de premier plan, et à qui le prix de cette fondation a été décerné !
Faut-il le souligner, le Forum de Crans Montana, porté sur les fonts baptismaux au lendemain de la fin de la guerre froide, se veut par ailleurs un formidable terreau pour le renforcement de la coopération internationale, la croissance globale, la stabilité et la sécurité. Des challenges qui s’inscrivent bien dans le champ d’action de la gouvernance d’un Etat moderne tel que l’envisage pour la Côte d’Ivoire le chef de l’Etat et dont son épouse entend bien être le relais.
Mais faut-il s’étonner de cette consécration aux allures de coup de maître pour les premiers pas de la toute nouvelle Première dame de notre pays ? Faut-il appréhender autrement cette distinction et l’immense honneur qu’elle fait rejaillir sur ce pays si durement éprouvé par une crise absurde, que comme la juste récompense du parcours d’une femme de foi et de conviction ? Une femme qui n’a jamais douté, aux côtés d’un époux lui-même résolu, voire intrépide, face aux innombrables obstacles dressés sur le pourtant noble chemin qu’il s’est tracé pour son pays, celui de la démocratie, de la justice, du progrès social et du développement économique. A la vérité non !
Dominique Ouattara Première dame de Côte d’Ivoire, c’est l’aboutissement d’une longue marche, d’un long combat, dont le visage le plus connu reste avant tout et sans conteste celui d’un investissement sans commune mesure, à travers son organisation caritative Children of Africa, dans la défense du droit de l’enfance africaine et des couches sociales les plus défavorisées. En Côte d’Ivoire, c’est presque chaque jour que cette dame au grand cœur vole au secours des enfants, à travers des programmes d’accès à la santé, à l’éducation, à l’alimentation, etc. Epouse d’opposant, elle n’en affichait pas moins, plus que celles qui en étaient légitimement fondées, l’engagement à se préoccuper de l’avenir de ses concitoyens. Dominique Ouattara, c’était un peu la Première dame avant la lettre. Nul doute que son nouveau statut de « Première dame accomplie » lui offrira le bonheur supplémentaire de sortir ses compatriotes de la pauvreté.
Mais l’autre face de cette « boule de générosité et d’altruisme », c’est la redoutable chef d’entreprise qu’elle a toujours été, à l’échelle quasi planétaire, et dont les succès dans les affaires lui ont valu une foule de distinctions, dont la dernière en date, femme d’affaire de l’année 2000, lui a été décernée en 2000. C’est donc une dame qui, dans un pays écrasé par un taux de chômage sans précédent, entend transmettre son sens de l’entrepreneuriat à ses compatriotes.
Mais l’un des traits définitoires les plus marquants de l’égérie du chef de l’Etat, c’est bien sa foi et une conviction à toute épreuve, en une cause embrassée par son époux : la cause de la démocratie, de la justice, de l’égalité, du développement. C’est fort de cela que l’actuelle Première dame ivoirienne a pris une part active au combat de son époux pour donner corps, dans l’épreuve, l’humiliation et les brimades de toutes sortes, à ces valeurs essentielles qui régissent toute nation digne de ce nom dont la mission essentielle et régalienne est d’offrir le bien-être à ses concitoyens.
Koré Emmanuel