Lors d’une rencontre avec les chefs traditionnels, religieux et des responsables de communautés de la capitale de la paix, samedi, au secrétariat des Forces nouvelles (FN), à Bouaké, Guillaume Soro a souligné que l’essentiel pour les ivoiriens, c’est la Côte d’Ivoire
"Nous ne pouvons pas laisser le pays se divisé parce que les hommes, ils vont, ils viennent, mais ce qui est essentiel, c’est notre pays", a-t-il déclaré.
Il a demandé à ses interlocuteurs de s’organiser partout dans les villages, campements et hameau, pour faire la "révolution ivoirienne", "une tâche importante de longue haleine qui demande beaucoup d’endurance et beaucoup de courage", a-t-il fait savoir.
Guillaume Soro a, pour finir, exprimé sa gratitude aux populations de Côte d’Ivoire pour leur patience et demandé au peuple de ivoirien de rester solidaire dans le combat pour la démocratie en Côte d’Ivoire.
"Nous ne pouvons pas laisser le pays se divisé parce que les hommes, ils vont, ils viennent, mais ce qui est essentiel, c’est notre pays", a-t-il déclaré.
Il a demandé à ses interlocuteurs de s’organiser partout dans les villages, campements et hameau, pour faire la "révolution ivoirienne", "une tâche importante de longue haleine qui demande beaucoup d’endurance et beaucoup de courage", a-t-il fait savoir.
Guillaume Soro a, pour finir, exprimé sa gratitude aux populations de Côte d’Ivoire pour leur patience et demandé au peuple de ivoirien de rester solidaire dans le combat pour la démocratie en Côte d’Ivoire.