L’élection au Comité exécutif de la Fifa, c’est tout à l’heure, à Khartoum au Soudan. L’Afrique va élire ses deux représentants au sein de l’instance mondiale du football. Cela, en marge de la 33ème assemblée générale de la Confédération africaine de football(CAF).
L’Ivoirien Jacques Anouma, président de la Fédération ivoirienne de football (Fif) fait partie des six prétendants, au départ, ayant fait acte de candidature. Pour le jeu électoral qui s’ouvre dans quelques heures, ils sont cinq sur le pont. Danny Jordan (Afrique du Sud), Mohamed Raouraoua (Algérie), Ibrahim Galadima (Nigeria), Seketu Patel (Iles Seychelles), Jacques Anouma (Côte d’Ivoire). La Zambien, Kalusha Bwalya ayant désisté. Après un premier mandat de quatre ans au comité exécutif de la Fifa, si le patron du football ivoirien est réélu une seconde fois d’affilée dans cette instance, il en devient un membre permanent. Il sera le premier Ivoirien à y siéger avec un tel statut. Le défi est donc de taille et l’enjeu énormissime. Car être « embauché » à la Fifa n’est pas donné. Ça facilite voire garantit certaines choses, donc aide à faire progresser le football des membres qui y sont. C’est clair que ce n’est pas systématique, mais d’une manière ou d’une autre, être dans les secrets du gouvernement du football mondial procure beaucoup d’avantages.
Malgré ces temps difficiles, Amouma a fait ce qu’il pouvait pour faire campagne. Où les plus musclés dévorent, sans sourciller, les plus faibles. Le président de la Fif, humainement, a donc fait sa part.
D’autres Ivoiriens, journalistes, membres de la Fif, présidents de clubs, sont à ses côtés à Khartoum. Pour ses compatriotes restés au pays, que peuvent-ils faire d’autre si ce n’est prier pour lui. Seules les prières de ses frères musulmans, chrétiens, bossonistes peuvent l’aider à décrocher ce second mandat au sein du comité exécutif de la Fifa. En tout cas, Anouma qui est en même temps confiant et prudent en a grand besoin pour le scrutin de ce mercredi à Khartoum. Croisons donc les doigts.
Tibet Kipré
L’Ivoirien Jacques Anouma, président de la Fédération ivoirienne de football (Fif) fait partie des six prétendants, au départ, ayant fait acte de candidature. Pour le jeu électoral qui s’ouvre dans quelques heures, ils sont cinq sur le pont. Danny Jordan (Afrique du Sud), Mohamed Raouraoua (Algérie), Ibrahim Galadima (Nigeria), Seketu Patel (Iles Seychelles), Jacques Anouma (Côte d’Ivoire). La Zambien, Kalusha Bwalya ayant désisté. Après un premier mandat de quatre ans au comité exécutif de la Fifa, si le patron du football ivoirien est réélu une seconde fois d’affilée dans cette instance, il en devient un membre permanent. Il sera le premier Ivoirien à y siéger avec un tel statut. Le défi est donc de taille et l’enjeu énormissime. Car être « embauché » à la Fifa n’est pas donné. Ça facilite voire garantit certaines choses, donc aide à faire progresser le football des membres qui y sont. C’est clair que ce n’est pas systématique, mais d’une manière ou d’une autre, être dans les secrets du gouvernement du football mondial procure beaucoup d’avantages.
Malgré ces temps difficiles, Amouma a fait ce qu’il pouvait pour faire campagne. Où les plus musclés dévorent, sans sourciller, les plus faibles. Le président de la Fif, humainement, a donc fait sa part.
D’autres Ivoiriens, journalistes, membres de la Fif, présidents de clubs, sont à ses côtés à Khartoum. Pour ses compatriotes restés au pays, que peuvent-ils faire d’autre si ce n’est prier pour lui. Seules les prières de ses frères musulmans, chrétiens, bossonistes peuvent l’aider à décrocher ce second mandat au sein du comité exécutif de la Fifa. En tout cas, Anouma qui est en même temps confiant et prudent en a grand besoin pour le scrutin de ce mercredi à Khartoum. Croisons donc les doigts.
Tibet Kipré
