Présenter sa structure, Aide et Démocratie en Afrique (ADA International) aux populations de Bouaké et réfléchir avec elles, sur les actions à mener pour libérer le pays du chaos, telles sont les motivations de la présence à Bouaké de Traoré Mariam, présidente de ladite l’ONG. Par ailleurs, elle est l’un des conseillers du « président de la République, Alassane Dramane Ouattara.
Echangeant avec les populations le jeudi 17 février dernier au Ran hôtel de Bouaké, Traoré Mariam a indiqué que « la révolution populaire est indispensable ». Et que l’heure a sonné pour le peuple ivoirien de prendre ses responsabilités. Selon la première responsable de ADA International, « la révolution (…) est la méthode la plus honorable pour les ivoiriens de faire respecter le verdict des urnes ». C’est pour cette raison, qu’elle invite tout ivoirien épris de paix et de justice à se réveiller et se préparer pour le 21 février prochain, date du début de la révolution population voulue par Guillaume Soro. Aux dires de Mariam Traoré, la révolution n’est pas l’œuvre des autres. « Il est inconcevable que nous attendions tout de l’extérieur. L’heure du réveil a sonné.
Levons-nous pour défendre notre démocratie et notre vote. C’est à ce prix que le peuple ivoirien retrouvera sa liberté ». Se prononçant sur les médias privés, la collaboratrice du Docteur Alassane Dramane Ouattara, s’est insurgée contre le dégommage du président du CNP Eugène Dié Kacou. Acte selon elle est « révélateur de la volonté de bâillonnement de la presse privée ».
Aussi, a-t-elle regretté que la RTI et Fraternité Matin qui soient « devenues des instruments de propagande au service du camp Gbagbo ». La présidente de ADA international reste cependant convaincue que « Laurent Gbagbo tombera les jours à venir ». Cette rencontre a été suivie par une projection de film sur les exactions et tueries perpétrées par les Fds contre les militants et sympathisants du RHDP. Une vidéo, que celle-ci entend faire visionner à la présidente du parti socialiste français Martine Aubry, et les amis socialistes en France afin que, des dispositions soient prises à l’encontre du front populaire ivoirien.
Bosco de Paré
Echangeant avec les populations le jeudi 17 février dernier au Ran hôtel de Bouaké, Traoré Mariam a indiqué que « la révolution populaire est indispensable ». Et que l’heure a sonné pour le peuple ivoirien de prendre ses responsabilités. Selon la première responsable de ADA International, « la révolution (…) est la méthode la plus honorable pour les ivoiriens de faire respecter le verdict des urnes ». C’est pour cette raison, qu’elle invite tout ivoirien épris de paix et de justice à se réveiller et se préparer pour le 21 février prochain, date du début de la révolution population voulue par Guillaume Soro. Aux dires de Mariam Traoré, la révolution n’est pas l’œuvre des autres. « Il est inconcevable que nous attendions tout de l’extérieur. L’heure du réveil a sonné.
Levons-nous pour défendre notre démocratie et notre vote. C’est à ce prix que le peuple ivoirien retrouvera sa liberté ». Se prononçant sur les médias privés, la collaboratrice du Docteur Alassane Dramane Ouattara, s’est insurgée contre le dégommage du président du CNP Eugène Dié Kacou. Acte selon elle est « révélateur de la volonté de bâillonnement de la presse privée ».
Aussi, a-t-elle regretté que la RTI et Fraternité Matin qui soient « devenues des instruments de propagande au service du camp Gbagbo ». La présidente de ADA international reste cependant convaincue que « Laurent Gbagbo tombera les jours à venir ». Cette rencontre a été suivie par une projection de film sur les exactions et tueries perpétrées par les Fds contre les militants et sympathisants du RHDP. Une vidéo, que celle-ci entend faire visionner à la présidente du parti socialiste français Martine Aubry, et les amis socialistes en France afin que, des dispositions soient prises à l’encontre du front populaire ivoirien.
Bosco de Paré