La Côte d’Ivoire, à l’appel du Premier ministre Guillaume Soro, a décidé de prendre son destin, celui de faire respecter son choix à l’élection présidentielle du 28 novembre en main. La ville de Daoukro, à l’instar des autres villes du pays, ne veut rester en marge de cet élan de démocratisation. Hier, les populations de la ville natale du président Henri Konan Bédié, se sont mobilisées dans toute la ville pour prendre leur place dans cette révolution qui se veut national.
Tout de rouge vêtues, plusieurs milliers de jeunes, d’hommes, de femmes de tout âge ont occupé toutes les rues de la ville simultanément, offrant une image sublime. Ces derniers, ont lancé des slogans hostiles à Laurent Gbagbo, qui usurpe le pouvoir depuis sa défaite. Les manifestants ont également réclamé le départ immédiat et sans condition de Laurent Gbagbo. Les Forces de l’ordre, quoi que visibles, sont restés à l’écart. Il n’y a par conséquent pas eu de heurt. Jusque dans la soirée, les manifestants dont les rangs se sont grossis, sont restés déterminés. Ces derniers ont indiqué qu’ils allaient rester dans le rue jusqu’à ce qu’ils aient gain de cause, c’est-à-dire le départ du pouvoir de Laurent Gbagbo.
Agnès Kouao (correspondant)
Tout de rouge vêtues, plusieurs milliers de jeunes, d’hommes, de femmes de tout âge ont occupé toutes les rues de la ville simultanément, offrant une image sublime. Ces derniers, ont lancé des slogans hostiles à Laurent Gbagbo, qui usurpe le pouvoir depuis sa défaite. Les manifestants ont également réclamé le départ immédiat et sans condition de Laurent Gbagbo. Les Forces de l’ordre, quoi que visibles, sont restés à l’écart. Il n’y a par conséquent pas eu de heurt. Jusque dans la soirée, les manifestants dont les rangs se sont grossis, sont restés déterminés. Ces derniers ont indiqué qu’ils allaient rester dans le rue jusqu’à ce qu’ils aient gain de cause, c’est-à-dire le départ du pouvoir de Laurent Gbagbo.
Agnès Kouao (correspondant)