Le camp d`Alassane Ouattara, reconnu comme président ivoirien élu par la communauté internationale, a appelé mercredi les forces armées loyales au chef d`Etat sortant Laurent Gbagbo à le rejoindre, alors que les violences ont repris récemment dans le pays.
"Il est très impérieux et urgent" que les Forces de défense et de sécurité
(FDS) se rangent "derrière le choix du peuple, le président Alassane
Ouattara", affirment dans un communiqué la coalition qui le soutient, le
Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP), ainsi
que l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN).
Ils accusent M. Gbagbo de s`être engagé "dans une bataille stérile et
suicidaire pouvant aboutir à la destruction du pays" avec le soutien d`"un
quarteron d`officiers supérieurs".
"Certains éléments" FDS "zélés, des mercenaires libériens et des miliciens"
commettent "assassinats politiques, enlèvements, tortures" et "viols
collectifs", poursuivent le RHDP et les FN, faisant état de "plus de 500 tués"
et appelant les FDS à "protéger les populations".
Le camp Ouattara renouvelle son appel à "une mobilisation globale" des
Ivoiriens suivant le mot d`ordre: "Stop, trop c`est trop, Gbagbo dégage".
Les violences engendrées par la crise née de la présidentielle de novembre
ont fait au moins 315 morts depuis mi-décembre, selon le dernier bilan de
l`ONU.
Elles ont connu une nouvelle flambée avec surtout, la semaine dernière, des
combats à l`arme lourde à Abidjan dans un quartier pro-Ouattara entre FDS et
insurgés, accusés d`être des "rebelles" FN par le camp Gbagbo.
"Il est très impérieux et urgent" que les Forces de défense et de sécurité
(FDS) se rangent "derrière le choix du peuple, le président Alassane
Ouattara", affirment dans un communiqué la coalition qui le soutient, le
Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP), ainsi
que l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN).
Ils accusent M. Gbagbo de s`être engagé "dans une bataille stérile et
suicidaire pouvant aboutir à la destruction du pays" avec le soutien d`"un
quarteron d`officiers supérieurs".
"Certains éléments" FDS "zélés, des mercenaires libériens et des miliciens"
commettent "assassinats politiques, enlèvements, tortures" et "viols
collectifs", poursuivent le RHDP et les FN, faisant état de "plus de 500 tués"
et appelant les FDS à "protéger les populations".
Le camp Ouattara renouvelle son appel à "une mobilisation globale" des
Ivoiriens suivant le mot d`ordre: "Stop, trop c`est trop, Gbagbo dégage".
Les violences engendrées par la crise née de la présidentielle de novembre
ont fait au moins 315 morts depuis mi-décembre, selon le dernier bilan de
l`ONU.
Elles ont connu une nouvelle flambée avec surtout, la semaine dernière, des
combats à l`arme lourde à Abidjan dans un quartier pro-Ouattara entre FDS et
insurgés, accusés d`être des "rebelles" FN par le camp Gbagbo.