Le Fonds monétaire international a indiqué jeudi qu`il espérait une issue à la crise politique en Côte d`Ivoire et qu`en attendant il se tenait prêt à aider les pays voisins qui seraient touchés par ses conséquences économiques.
"Nous déplorons les violences, et avons hâte assurément que soit trouvée une solution", a affirmé la directrice des relations extérieures du FMI, Caroline Atkinson, lors d`un point de presse à Washington.
Mme Atkinson n`a pas pris parti entre les deux camps qui s`affrontent, celui du président sortant, Laurent Gbagbo, et celui du président reconnu par la communauté internationale, Alassane Ouattara. Tous deux clament avoir remporté l`élection présidentielle qui s`est tenue en novembre.
Le directeur général du FMI, Dominique Strauss-Kahn, avait affirmé en décembre que "la pratique du FMI" était de travailler "avec les gouvernements reconnus, c`est-à-dire reconnus par l`ONU", prenant ainsi parti pour M. Ouattara. Depuis, le FMI est resté à l`écart de la crise ivoirienne, et a arrêté de fait le versement d`un prêt de quelque 330 millions d`euros accordé en 2009.
Mme Atkinson a estimé que la crise aurait des répercussions économiques sur l`Afrique de l`Ouest.
"Manifestement la Côte d`Ivoire est un pays assez grand pour que cela ait des implications pour la région", a-t-elle expliqué, citant des conséquences "financières", ainsi que pour "l`immigration" et pour "les liens commerciaux".
"Bien sûr, nous nous tenons prêts à aider les pays qui ont des besoins pour leur balance des paiements", a ajouté la porte-parole du FMI.
"Nous déplorons les violences, et avons hâte assurément que soit trouvée une solution", a affirmé la directrice des relations extérieures du FMI, Caroline Atkinson, lors d`un point de presse à Washington.
Mme Atkinson n`a pas pris parti entre les deux camps qui s`affrontent, celui du président sortant, Laurent Gbagbo, et celui du président reconnu par la communauté internationale, Alassane Ouattara. Tous deux clament avoir remporté l`élection présidentielle qui s`est tenue en novembre.
Le directeur général du FMI, Dominique Strauss-Kahn, avait affirmé en décembre que "la pratique du FMI" était de travailler "avec les gouvernements reconnus, c`est-à-dire reconnus par l`ONU", prenant ainsi parti pour M. Ouattara. Depuis, le FMI est resté à l`écart de la crise ivoirienne, et a arrêté de fait le versement d`un prêt de quelque 330 millions d`euros accordé en 2009.
Mme Atkinson a estimé que la crise aurait des répercussions économiques sur l`Afrique de l`Ouest.
"Manifestement la Côte d`Ivoire est un pays assez grand pour que cela ait des implications pour la région", a-t-elle expliqué, citant des conséquences "financières", ainsi que pour "l`immigration" et pour "les liens commerciaux".
"Bien sûr, nous nous tenons prêts à aider les pays qui ont des besoins pour leur balance des paiements", a ajouté la porte-parole du FMI.