Depuis mercredi dernier 2 mars, Soir Info a un nouveau Directeur de publication (D.P) : Coulibaly Vamara. Il a été nommé à ce poste en remplacement d’Amos Béhonao. Dans cet entretien, le nouveau D.P nous livre ses sentiments et lève un coin du voile sur sa mission.
Coulibaly Vamara, quels sont les sentiments qui vous animent au moment où vous prenez fonction en qualité de Directeur de publication de Soir Info ?
Comme toute promotion, cette nomination nous réjouit profondément. C’est en tout cas un sentiment de satisfaction qui nous anime. Nous voulons donc rendre hommage au Pdg qui nous a fait confiance. Mais en même temps, nous ne perdons pas de vue l’immensité de la mission qui est la nôtre. Succéder à des sommités comme Ferro Bally et Amos Béhonao ne doit pas être chose aisée, mais nous comptons sur le soutien de Dieu, des responsables du Groupe Olympe et de tous nos collaborateurs.
Après Ferro Bali Maurice et Amos Béonaho, vous êtes désormais à la barre. Dans le cadre donc de la mission qui vous a été assignée, quelles innovations comptez-vous apporter dans la gestion du journal ?
Vous savez que Soir Info est un journal qui a été fondé sur le défi. C’est dire que tous les jours que Dieu fait, depuis 1994, les journalistes sont appelés à faire face à cette gageure qui fait de Soir Info un journal de référence. Ensemble, avec le Rédacteur en chef nous allons élaborer une politique de motivation qui sied à la situation afin de remettre nos collaborateurs en confiance, au regard de la situation que connait notre pays. Il est clair que les innovations, il y en aura et elles seront fonction des situations.
D’un camp politique comme dans l’autre, la ligne éditoriale de Soir info est sujette à polémique. Face à cette situation, que répondez-vous aux différentes attaques dont est victime le quotidien ?
Pouvait-on avoir meilleure preuve de neutralité et d’impartialité que d’être tiraillé entre deux camps opposés ? Je pense franchement que ce que vous appelez attaques ne sont en réalité que la conséquence du choix que nous avons opéré. C’est-à-dire, informer sans parti pris. Et nous n’entendons pas varier d’un seul pouce notre ligne éditoriale. Elle est et restera incolore et inodore.
Ceux qui pensent que nous sommes de tel ou tel camp nous font un mauvais procès. A nos lecteurs je voudrais demander de continuer à nous faire confiance car notre souci a toujours été de les informer sans aucune manipulation de l’information. C’est un pari que nous nous ferons toujours le devoir de tenir.
Propos recueillis par
Claude Dassé
Coulibaly Vamara, quels sont les sentiments qui vous animent au moment où vous prenez fonction en qualité de Directeur de publication de Soir Info ?
Comme toute promotion, cette nomination nous réjouit profondément. C’est en tout cas un sentiment de satisfaction qui nous anime. Nous voulons donc rendre hommage au Pdg qui nous a fait confiance. Mais en même temps, nous ne perdons pas de vue l’immensité de la mission qui est la nôtre. Succéder à des sommités comme Ferro Bally et Amos Béhonao ne doit pas être chose aisée, mais nous comptons sur le soutien de Dieu, des responsables du Groupe Olympe et de tous nos collaborateurs.
Après Ferro Bali Maurice et Amos Béonaho, vous êtes désormais à la barre. Dans le cadre donc de la mission qui vous a été assignée, quelles innovations comptez-vous apporter dans la gestion du journal ?
Vous savez que Soir Info est un journal qui a été fondé sur le défi. C’est dire que tous les jours que Dieu fait, depuis 1994, les journalistes sont appelés à faire face à cette gageure qui fait de Soir Info un journal de référence. Ensemble, avec le Rédacteur en chef nous allons élaborer une politique de motivation qui sied à la situation afin de remettre nos collaborateurs en confiance, au regard de la situation que connait notre pays. Il est clair que les innovations, il y en aura et elles seront fonction des situations.
D’un camp politique comme dans l’autre, la ligne éditoriale de Soir info est sujette à polémique. Face à cette situation, que répondez-vous aux différentes attaques dont est victime le quotidien ?
Pouvait-on avoir meilleure preuve de neutralité et d’impartialité que d’être tiraillé entre deux camps opposés ? Je pense franchement que ce que vous appelez attaques ne sont en réalité que la conséquence du choix que nous avons opéré. C’est-à-dire, informer sans parti pris. Et nous n’entendons pas varier d’un seul pouce notre ligne éditoriale. Elle est et restera incolore et inodore.
Ceux qui pensent que nous sommes de tel ou tel camp nous font un mauvais procès. A nos lecteurs je voudrais demander de continuer à nous faire confiance car notre souci a toujours été de les informer sans aucune manipulation de l’information. C’est un pari que nous nous ferons toujours le devoir de tenir.
Propos recueillis par
Claude Dassé
