L'ex-président de la République de Côte d'Ivoire ne cessera de surprendre le monde entier, par ses techniques sataniques de guerre. Pendant qu'il utilise des armes non conventionnelles, telles que des lance-roquettes… à Abidjan pour assassiner des manifestants aux mains nues, dans la zone CNO (Centre-Nord-Ouest), il use d'une technique que seul un disciple de Lucifer peut utiliser. Cette méthode machiavélique consiste à priver plus de 2 millions d'habitants que compte cette zone, de la source de vie qu'est l'eau potable ! Ce plan démoniaque est en marche depuis le lundi 28 Février dernier avec l'interruption de la fourniture de l'électricité, qui a automatiquement entraîné l'arrêt de l'approvisionnement en eau potable, exposant du coup ces populations à un grand risque d'épidémie, donc à la mort !
Le secteur le plus touché par ce projet funeste est le secteur de la santé.
A Bouaké, le point de la situation sanitaire est tout simplement alarmant. L'offre des services est quasiment réduite aux activités rudimentaires manuelles d'examen physique des patients. " Aucun examen complémentaire ne peut se faire pour la confirmation des diagnostics. " disent en chœur les praticiens. Tous les laboratoires sont inopérationnels. "Le problème se pose à tous les niveaux du CHU. Aussi, bien au niveau de la chaîne de froid (congélateur, réfrigérateur…) qui permet de conserver la plupart des médicaments, les poches de sang, les vaccins…, qu'au niveau des services d'urgences que sont le bloc opératoire, la pédiatrie, la maternité, le laboratoire d'analyse, la radiographie. Sans oublier la buanderie où est traité le linge opératoire (lavage, repassage et stérilisation.). Le service administratif où nous utilisons l'outil informatique n'est pas épargné " nous a confié le directeur général qui, avec ses collaborateurs, font des mains et des pieds pour sauver des vies humaines. " Pour sauver la situation, nous sommes dans l'obligation de nous endetter pour acheter du carburant afin de faire tourner durant 6 heures au moins, notre groupe électrogène qui consomme en moyenne 100 litres de gasoil par heure. " confesse le pr. Boa Yapo. Et comme si cela ne suffisait pas, un autre problème non moins important fait passer des nuits blanches à ce professeur agrégé en neurologie : la non perception de salaire depuis le mois de janvier, de bon nombre de ses collaborateurs, fonctionnaires.
Il faut dire aussi que la rupture de l'électricité ayant entraîné l'interruption de l'approvisionnement en eau, tous les centres de santé et en particulier le CHU de Bouaké souffrent du manque d'eau pour soutenir les activités sanitaires.
Les populations ont actuellement recours, à leur corps défendant, à l'eau non potable des puits avec un risque très élevé des maladies diarrhéiques.
Adjanin
Le secteur le plus touché par ce projet funeste est le secteur de la santé.
A Bouaké, le point de la situation sanitaire est tout simplement alarmant. L'offre des services est quasiment réduite aux activités rudimentaires manuelles d'examen physique des patients. " Aucun examen complémentaire ne peut se faire pour la confirmation des diagnostics. " disent en chœur les praticiens. Tous les laboratoires sont inopérationnels. "Le problème se pose à tous les niveaux du CHU. Aussi, bien au niveau de la chaîne de froid (congélateur, réfrigérateur…) qui permet de conserver la plupart des médicaments, les poches de sang, les vaccins…, qu'au niveau des services d'urgences que sont le bloc opératoire, la pédiatrie, la maternité, le laboratoire d'analyse, la radiographie. Sans oublier la buanderie où est traité le linge opératoire (lavage, repassage et stérilisation.). Le service administratif où nous utilisons l'outil informatique n'est pas épargné " nous a confié le directeur général qui, avec ses collaborateurs, font des mains et des pieds pour sauver des vies humaines. " Pour sauver la situation, nous sommes dans l'obligation de nous endetter pour acheter du carburant afin de faire tourner durant 6 heures au moins, notre groupe électrogène qui consomme en moyenne 100 litres de gasoil par heure. " confesse le pr. Boa Yapo. Et comme si cela ne suffisait pas, un autre problème non moins important fait passer des nuits blanches à ce professeur agrégé en neurologie : la non perception de salaire depuis le mois de janvier, de bon nombre de ses collaborateurs, fonctionnaires.
Il faut dire aussi que la rupture de l'électricité ayant entraîné l'interruption de l'approvisionnement en eau, tous les centres de santé et en particulier le CHU de Bouaké souffrent du manque d'eau pour soutenir les activités sanitaires.
Les populations ont actuellement recours, à leur corps défendant, à l'eau non potable des puits avec un risque très élevé des maladies diarrhéiques.
Adjanin