Le Groupement des Editeurs de Presse de Côte d'Ivoire (GEPCI) a appris, par voie de presse le lundi 07 mars 2011, que « des inconnus » ont tiré « une roquette sur Fraternité Matin », quotidien public édité par la Société Nouvelle de Presse et d'Edition de Côte d'Ivoire (SNPECI), le samedi 05 mars 2011 aux environs de 21H25.
Cet incident survient après l'enlèvement, le lundi 21février, par des hommes armés, d'un chauffeur de Nord Sud Quotidien, Yacouba Ouattara, et l'assassinat, une semaine plus tard, à la machette par des manifestants à Koumassi, d'un employé de la Refondation, Marcel Légré.
Le Groupement des Editeurs de Presse de Côte d'Ivoire condamne avec la dernière énergie les actes ci-dessus mentionnés et élève la plus vive protestation contre les menaces de tous ordre, qui planent depuis le déclenchement de la crise post électorale sur l'activité de presse en général et les patrons de presse, les journalistes, les divers employés et les rédactions en particulier.
Il exprime, par ailleurs, sa solidarité agissante aux dirigeants de la SNPECI, Nord Sud Communication et la Refondation ainsi qu'à leurs employés.
Le GEPCI lance un appel pressant aux forces de sécurité et aux populations afin qu'elles assurent la sécurité des entreprises de presse et de l'ensemble de leur personnel, condition sine qua none du plein exercice de la liberté de la presse.
Fait à Abidjan, le 08 Mars 2011
Pour le Bureau Exécutif du GEPCI
Le 1er Vice Président
ASSI ADON Amédée
Cet incident survient après l'enlèvement, le lundi 21février, par des hommes armés, d'un chauffeur de Nord Sud Quotidien, Yacouba Ouattara, et l'assassinat, une semaine plus tard, à la machette par des manifestants à Koumassi, d'un employé de la Refondation, Marcel Légré.
Le Groupement des Editeurs de Presse de Côte d'Ivoire condamne avec la dernière énergie les actes ci-dessus mentionnés et élève la plus vive protestation contre les menaces de tous ordre, qui planent depuis le déclenchement de la crise post électorale sur l'activité de presse en général et les patrons de presse, les journalistes, les divers employés et les rédactions en particulier.
Il exprime, par ailleurs, sa solidarité agissante aux dirigeants de la SNPECI, Nord Sud Communication et la Refondation ainsi qu'à leurs employés.
Le GEPCI lance un appel pressant aux forces de sécurité et aux populations afin qu'elles assurent la sécurité des entreprises de presse et de l'ensemble de leur personnel, condition sine qua none du plein exercice de la liberté de la presse.
Fait à Abidjan, le 08 Mars 2011
Pour le Bureau Exécutif du GEPCI
Le 1er Vice Président
ASSI ADON Amédée
