Au quartier « Jean Foly », dans la commune de Port-Bouët, au domicile du vieux Koné Amara, chauffeur de son état, c’est la tristesse totale. L’amertume enveloppe complètement la concession. Et pour cause, l’un de ses fils, le nommé Koné Ali, footballeur, a trouvé la mort de façon dramatique. De fait, expliquent nos sources, le vendredi 4 mars 2011, une canicule frappe la ville d’Abidjan. Un temps chaud qui incite à une bonne partie de baignade. C’est tout à fait l’avis de Koné Ali. Ce vendredi là, loin des terrains à courir derrière un ballon, Koné Ali trouve donc là l’occasion bonne d’aller faire quelques brasses dans les eaux de la mer. Il est alors environ 16h lorsque le jeune homme part du domicile familial à « Jean Foly ». Notons qu’Ali, qui ne connaît pas encore vraiment la gloire et les sous que cela peut entraîner, vit pour l’heure, sous le toit de ses parents. Une fois en bordure de la mer, du
côté de son quartier, le footballeur se sangle dans son maillot de bain. Et sans plus perdre de temps, il se jette à l’eau. Mais Ali s’y connaît-il vraiment en nage ? Apparemment non. Vu qu’il perd rapidement pied. Entraîné par les eaux, on le voit par des gestes de la main, appeler à l’aide. Malheureusement, personne ne vient à son secours. Les eaux de la mer ont alors tout loisir de l’entraîner davantage dans ses profondeurs. Et puis, plus rien. Le malheureux n’est plus visible à la surface de l’eau. Il a disparu au fond de la mer. Le pire, on l’imagine donc. Les membres de sa famille sont alertés. Certains accourent sur les lieux, avec l’espoir de revoir Ali remonter à la surface de l’eau. Que nenni. Jusqu’à la tombée de la nuit, ce scénario tant espéré ne se présente guère. On se résout alors à comprendre que c’en est fini du jeune footballeur. A la maison, c’est déjà le deuil, malgré l’infime espoir que certains de ses proches veulent tout de même entretenir. Le lendemain samedi, on court encore à la mer. On se met, de nouveau, à scruter le dessus de cette énorme étendue d’eau. Hélas, aucun signe pouvant rassurer n’est perceptible. Les choses demeurent en l’état une fois de plus, jusqu’à la tombée de la nuit. C’est finalement le matin du dimanche 6 mars, peu après 6h, que l’énigme de la disparition du footballeur se laisse découvrir. Il s’agit, en effet, du corps sans vie de Koné Ali, rejeté sur la rive, par la mer qui l’avait englouti quelques jours avant. C’est la terrible image qui se présente à ses parents qui, depuis sa disparition, faisaient le guet en bordure de l’étendue d’eau. La police informée arrive sur les lieux et procède au constat d’usage. Puis, la dépouille est enlevée pour sa conservation à la morgue. Comment expliquer la mort de ce jeune footballeur ? L’enquête de la police
s’emploie à trouver une réponse à cette interrogation.
KIKIE Ahou Nazaire
côté de son quartier, le footballeur se sangle dans son maillot de bain. Et sans plus perdre de temps, il se jette à l’eau. Mais Ali s’y connaît-il vraiment en nage ? Apparemment non. Vu qu’il perd rapidement pied. Entraîné par les eaux, on le voit par des gestes de la main, appeler à l’aide. Malheureusement, personne ne vient à son secours. Les eaux de la mer ont alors tout loisir de l’entraîner davantage dans ses profondeurs. Et puis, plus rien. Le malheureux n’est plus visible à la surface de l’eau. Il a disparu au fond de la mer. Le pire, on l’imagine donc. Les membres de sa famille sont alertés. Certains accourent sur les lieux, avec l’espoir de revoir Ali remonter à la surface de l’eau. Que nenni. Jusqu’à la tombée de la nuit, ce scénario tant espéré ne se présente guère. On se résout alors à comprendre que c’en est fini du jeune footballeur. A la maison, c’est déjà le deuil, malgré l’infime espoir que certains de ses proches veulent tout de même entretenir. Le lendemain samedi, on court encore à la mer. On se met, de nouveau, à scruter le dessus de cette énorme étendue d’eau. Hélas, aucun signe pouvant rassurer n’est perceptible. Les choses demeurent en l’état une fois de plus, jusqu’à la tombée de la nuit. C’est finalement le matin du dimanche 6 mars, peu après 6h, que l’énigme de la disparition du footballeur se laisse découvrir. Il s’agit, en effet, du corps sans vie de Koné Ali, rejeté sur la rive, par la mer qui l’avait englouti quelques jours avant. C’est la terrible image qui se présente à ses parents qui, depuis sa disparition, faisaient le guet en bordure de l’étendue d’eau. La police informée arrive sur les lieux et procède au constat d’usage. Puis, la dépouille est enlevée pour sa conservation à la morgue. Comment expliquer la mort de ce jeune footballeur ? L’enquête de la police
s’emploie à trouver une réponse à cette interrogation.
KIKIE Ahou Nazaire