Les journalistes et animateurs des radios de proximité s’engagent, à travers une déclaration rendue publique vendredi à Abidjan, au maintien de la cohésion sociale et à la résolution des conflits locaux.
"Nous, journalistes et animateurs de radios de proximité, souhaitons travailler quotidiennement au développement local, au maintien de la cohésion sociale et à la résolution des conflits locaux dans l’ensemble d’une Côte d’Ivoire aujourd’hui déchirée par les conflits" et une crise postélectorale, a indiqué leur porte-parole, Kpan Doua Jean de la radio Man FM.
Au terme d’un atelier de formation et d’échanges tenu du 21 au 25 février à Accra, au Ghana, à l’initiative de l’organisation Electoral Reform international services (ERIS) Côte d’Ivoire et le financement du ministère britannique des Affaires étrangères, les professionnels des 22 radios de proximité ont exprimé leur volonté de "jouer un rôle central d’information des communautés dans le retour et le maintien de la paix et de la cohésion sociale" dans les régions ivoiriennes en étant davantage rigoureux dans l’exercice de leur métier, notamment avoir une bonne moralité, faire preuve d’impartialité et toujours vérifier l’information avant diffusion.
Les journalistes et animateurs des radios de proximité promettent de hiérarchiser et mettre l’accent sur les messages de paix et de cohésion sociale, réaliser des programmes dans lesquelles se retrouvent différents communautés, leaders d’opinions et simples citoyens et surtout mettre en lumière les questions citoyennes et sociales en se tenant le plus loin possible du débat politique et politicien.
Ils ont par ailleurs recommandé l’ouverture et la fermeture des antennes des radios de proximité avec l’hymne national de même que sa traduction en langues locales.
Pour atteindre ces objectifs, ces professionnels des médias de proximité demandent aux concessionnaires à veiller au bon fonctionnement des radios de proximité, notamment à la maintenance d’un matériel fiable, veiller à l’application scrupuleuse des lois en vigueur et préserver leur image.
Selon le loi de 1995 définissant leur mission, les radios de proximité ne sont pas autorisées à produire et diffuser des messages non politiques ou provenant de tout mouvement ou organisations politiques ou syndicales.
"Nous, journalistes et animateurs de radios de proximité, souhaitons travailler quotidiennement au développement local, au maintien de la cohésion sociale et à la résolution des conflits locaux dans l’ensemble d’une Côte d’Ivoire aujourd’hui déchirée par les conflits" et une crise postélectorale, a indiqué leur porte-parole, Kpan Doua Jean de la radio Man FM.
Au terme d’un atelier de formation et d’échanges tenu du 21 au 25 février à Accra, au Ghana, à l’initiative de l’organisation Electoral Reform international services (ERIS) Côte d’Ivoire et le financement du ministère britannique des Affaires étrangères, les professionnels des 22 radios de proximité ont exprimé leur volonté de "jouer un rôle central d’information des communautés dans le retour et le maintien de la paix et de la cohésion sociale" dans les régions ivoiriennes en étant davantage rigoureux dans l’exercice de leur métier, notamment avoir une bonne moralité, faire preuve d’impartialité et toujours vérifier l’information avant diffusion.
Les journalistes et animateurs des radios de proximité promettent de hiérarchiser et mettre l’accent sur les messages de paix et de cohésion sociale, réaliser des programmes dans lesquelles se retrouvent différents communautés, leaders d’opinions et simples citoyens et surtout mettre en lumière les questions citoyennes et sociales en se tenant le plus loin possible du débat politique et politicien.
Ils ont par ailleurs recommandé l’ouverture et la fermeture des antennes des radios de proximité avec l’hymne national de même que sa traduction en langues locales.
Pour atteindre ces objectifs, ces professionnels des médias de proximité demandent aux concessionnaires à veiller au bon fonctionnement des radios de proximité, notamment à la maintenance d’un matériel fiable, veiller à l’application scrupuleuse des lois en vigueur et préserver leur image.
Selon le loi de 1995 définissant leur mission, les radios de proximité ne sont pas autorisées à produire et diffuser des messages non politiques ou provenant de tout mouvement ou organisations politiques ou syndicales.
