Le conseil national de la presse illégal dirige par Deby Dally et les prédateurs de la liberté de la presse se sont encore tristement signalés en suspendant pour un mois depuis le vendredi 18 mars les quotidiens Le jour plus et le Mandat. Le collectif des journaux pour la défense des acquis d 28 novembre 2010, constate que des menaces lourdes et sérieuses continuent de planer sur la presse privée, libre et indépendante. En effet, huit journaux privés sont toujours menacés de fermeture, tout simplement parce qu`ils refusent d`accompagner les actes illégaux du gouvernement illégitime de Laurent Gbagbo.
Le Nouveau Réveil, après avoir écopé auparavant d`une sanction pécuniaire, avait été suspendu pour six parutions à compter du samedi 26 février 2011.
Le quotidien le Jour plus avait été condamné à payer d`abord une amende illégale d`un million de FCFA et ensuite une autre amende de deux millions de FCFA. Le quotidien Nord Sud avait été condamné à payer un million de FCFA. Le chauffeur du même Quotidien, Ouattara Yacouba, enlevé par des inconnus, reste introuvable jusqu`à ce jour,tandis que le quotidien le Patriote avait été condamné à payer un million de FCFA.
Les rédactions sont régulièrement menacées d`attaques et d`actes de vandalisme. Face a cette situation,le collectif avait suspendu sa parution pour quelques jours. De ce qui précède et par solidarité aux deux journaux illégalement suspendus, Le Jour Plus et Le Mandat, le collectif des journaux pour la défense des acquis du 28 novembre 2010 décide, à compter du Jeudi 24 Mars 2011, et ce pour 72 heures, de suspendre la parution de leurs journaux : Le Nouveau Réveil, le Patriote, Le Jour Plus, Le Mandat, L`Intelligent d`Abidjan, Le Démocrate, L`Expression et Nord-Sud Quotidien. Le collectif rejette vigoureusement les décisions illégales du CNP, organe de régulation renouvelé par un gouvernement illégitime.
Le collectif des journaux pour la sauvegarde des acquis du 28 novembre reste déterminé et mobilisé, pour dire Non ! à la dictature et à la barbarie du régime sortant de Laurent Gbagbo et de ses sinistres exécutants, Ouattara Gnonzié, Deby Dalli Gbalawoulou et les 9 autres prédateurs et assassins de la liberté de presse (Amos Béhonao, Lahoua Souanga Etienne(Cesar Etou), Poblé Chantal épouse Gohi, Bohui Komé Armand, Kokoré Kouassi, Gaudet Saturnin, Alliali N`Goran, Adjehi Atayé, Brou Comoé Marius).
La liberté de presse est un droit constitutionnel pour tous les Ivoiriens et les populations de Cote d`Ivoire. Il n`est donc pas question de laisser la pensée unique prospérer dans notre pays.
C`est pourquoi le collectif invite les journalistes démocrates et les médias libres à rester mobilisés, engagé et surtout à le rejoindre dans le combat pour la démocratie et la liberté de presse. Le collectif interpelle instamment le gouvernement légitime sur les responsabilités a prendre pour garantir la liberté de la presse. Il attire surtout l`attention de tous sur la volonté du gouvernement illégal de Laurent Gbagbo de réduire au silence la presse indépendante pour réaliser sa guerre civile et son génocide programmes. Le temps est a l`action pour sauver la presse libre et empêcher l`exécution des horreurs planifiées. Outre la présente suspension de parution, le collectif se réserve le droit de mener d`autres actions pour faire respecter et garantir la sécurité des journalistes et la liberté de la presse dans notre pays.
Fait à Abidjan, le 21 Mars 2011
Le Nouveau Réveil, après avoir écopé auparavant d`une sanction pécuniaire, avait été suspendu pour six parutions à compter du samedi 26 février 2011.
Le quotidien le Jour plus avait été condamné à payer d`abord une amende illégale d`un million de FCFA et ensuite une autre amende de deux millions de FCFA. Le quotidien Nord Sud avait été condamné à payer un million de FCFA. Le chauffeur du même Quotidien, Ouattara Yacouba, enlevé par des inconnus, reste introuvable jusqu`à ce jour,tandis que le quotidien le Patriote avait été condamné à payer un million de FCFA.
Les rédactions sont régulièrement menacées d`attaques et d`actes de vandalisme. Face a cette situation,le collectif avait suspendu sa parution pour quelques jours. De ce qui précède et par solidarité aux deux journaux illégalement suspendus, Le Jour Plus et Le Mandat, le collectif des journaux pour la défense des acquis du 28 novembre 2010 décide, à compter du Jeudi 24 Mars 2011, et ce pour 72 heures, de suspendre la parution de leurs journaux : Le Nouveau Réveil, le Patriote, Le Jour Plus, Le Mandat, L`Intelligent d`Abidjan, Le Démocrate, L`Expression et Nord-Sud Quotidien. Le collectif rejette vigoureusement les décisions illégales du CNP, organe de régulation renouvelé par un gouvernement illégitime.
Le collectif des journaux pour la sauvegarde des acquis du 28 novembre reste déterminé et mobilisé, pour dire Non ! à la dictature et à la barbarie du régime sortant de Laurent Gbagbo et de ses sinistres exécutants, Ouattara Gnonzié, Deby Dalli Gbalawoulou et les 9 autres prédateurs et assassins de la liberté de presse (Amos Béhonao, Lahoua Souanga Etienne(Cesar Etou), Poblé Chantal épouse Gohi, Bohui Komé Armand, Kokoré Kouassi, Gaudet Saturnin, Alliali N`Goran, Adjehi Atayé, Brou Comoé Marius).
La liberté de presse est un droit constitutionnel pour tous les Ivoiriens et les populations de Cote d`Ivoire. Il n`est donc pas question de laisser la pensée unique prospérer dans notre pays.
C`est pourquoi le collectif invite les journalistes démocrates et les médias libres à rester mobilisés, engagé et surtout à le rejoindre dans le combat pour la démocratie et la liberté de presse. Le collectif interpelle instamment le gouvernement légitime sur les responsabilités a prendre pour garantir la liberté de la presse. Il attire surtout l`attention de tous sur la volonté du gouvernement illégal de Laurent Gbagbo de réduire au silence la presse indépendante pour réaliser sa guerre civile et son génocide programmes. Le temps est a l`action pour sauver la presse libre et empêcher l`exécution des horreurs planifiées. Outre la présente suspension de parution, le collectif se réserve le droit de mener d`autres actions pour faire respecter et garantir la sécurité des journalistes et la liberté de la presse dans notre pays.
Fait à Abidjan, le 21 Mars 2011