L'entraîneur de l'Olympique Lyonnais, Claude Puel, qui était l'an dernier encore, l'intouchable plus gros salaire des entraîneurs de Ligue 1, s'est fait détrôner par Didier Deschamps, cette saison.
À l'été 2008, au moment de sa signature à Lyon, Claude Puel jouissait alors d'une cote de popularité au plus haut. Le technicien tarnais sortait de six saisons à Lille, club qu'il avait installé durablement parmi les écuries majeures du championnat. Un statut qui avait permis à l'ancien Monégasque de décrocher un contrat en or, étalé sur quatre ans et un salaire brut annuel de 2,9 millions d'euros. Des émoluments qui l'ont propulsé entraîneur le mieux payé du championnat de France. Et autour de 250.000 euros brut mensuels, difficile de trouver un concurrent. Du moins jusqu'au retour au premier plan de l'Om et de Didier Deschamps, en 2009-2010. Courtisé par Liverpool l'été dernier, DD a parfaitement négocié sa prolongation d'un an, jusqu'en juin 2012. De 2,1 millions brut annuels, l'entraîneur phocéen est passé à 3,3 millions d'euros, selon le chiffre annoncé hier mardi, par France Football.
Deschamps et Puel dans le top 20 du monde
Avec cette augmentation Didier Deschamps a ravi, bien sûr, la place d'entraîneur le mieux payé de L1 à Puel, mais aussi de grimper sur la 18e marche mondiale. Maigre consolation, le coach lyonnais intègre lui aussi le top 20, à la faveur d'un plafond en baisse. En 2009-2010, le top 20 ne descendait pas au-dessous des 3,5 millions d'euros. Et le number one, qui est-ce ? Sans surprise, le Madrilène José Mourinho (13 millions) qui devance le Barcelonais Pep Guardiola (10,5 millions) et Rafael Benitez (10,2 millions). Deschamps n'est pas le premier Français, puisqu'Arsène Wenger est sixième avec un salaire estimé à 6,3 millions d'euros brut annuels. Près du double des émoluments du technicien marseillais…Deschamps, lui, est bien le nouveau patron en L1, et intéresse de nombreux présidents à commencer par Jean-Michel Aulas. Acceptera-t-il les avances d’Aulas ? Wait and see, comme le disent les Anglais.
Eugène Djabia
À l'été 2008, au moment de sa signature à Lyon, Claude Puel jouissait alors d'une cote de popularité au plus haut. Le technicien tarnais sortait de six saisons à Lille, club qu'il avait installé durablement parmi les écuries majeures du championnat. Un statut qui avait permis à l'ancien Monégasque de décrocher un contrat en or, étalé sur quatre ans et un salaire brut annuel de 2,9 millions d'euros. Des émoluments qui l'ont propulsé entraîneur le mieux payé du championnat de France. Et autour de 250.000 euros brut mensuels, difficile de trouver un concurrent. Du moins jusqu'au retour au premier plan de l'Om et de Didier Deschamps, en 2009-2010. Courtisé par Liverpool l'été dernier, DD a parfaitement négocié sa prolongation d'un an, jusqu'en juin 2012. De 2,1 millions brut annuels, l'entraîneur phocéen est passé à 3,3 millions d'euros, selon le chiffre annoncé hier mardi, par France Football.
Deschamps et Puel dans le top 20 du monde
Avec cette augmentation Didier Deschamps a ravi, bien sûr, la place d'entraîneur le mieux payé de L1 à Puel, mais aussi de grimper sur la 18e marche mondiale. Maigre consolation, le coach lyonnais intègre lui aussi le top 20, à la faveur d'un plafond en baisse. En 2009-2010, le top 20 ne descendait pas au-dessous des 3,5 millions d'euros. Et le number one, qui est-ce ? Sans surprise, le Madrilène José Mourinho (13 millions) qui devance le Barcelonais Pep Guardiola (10,5 millions) et Rafael Benitez (10,2 millions). Deschamps n'est pas le premier Français, puisqu'Arsène Wenger est sixième avec un salaire estimé à 6,3 millions d'euros brut annuels. Près du double des émoluments du technicien marseillais…Deschamps, lui, est bien le nouveau patron en L1, et intéresse de nombreux présidents à commencer par Jean-Michel Aulas. Acceptera-t-il les avances d’Aulas ? Wait and see, comme le disent les Anglais.
Eugène Djabia