BRAZZAVILLE - Le président congolais Denis Sassou Nguesso a espéré que les Ivoiriens se relèvent par un "sursaut" après l'arrestation de Laurent Gabgbo, mardi soir lors d'un point de presse à l'aéroport de Brazzaville.
"Il faut espérer qu'en Côte d'Ivoire il y ait un sursaut. C'est le vrai
combat", a déclaré le président congolais qui revenait de Libye et d'Algérie
où il faisait partie d'une délégation de l'Union africaine (UA),
s'interrogeant: "Le peuple ivoirien peut-il se relever par un sursaut et
lancer le mot d'ordre de la réconciliation nationale ?"
"Tout ceci est douloureux à évoquer à la limite humiliant pour l'Afrique,
mais c'est dramatique et c'est triste", a-t-il regretté, jugeant qu'"on avait
la possibilité de trouver un autre dénouement après plusieurs tentatives qui
ont duré de longues années".
"Je ne peux pas dire avec précision quel a été le rôle des uns et des
autres sur le terrain. Ce qui est sûr, chacun a joué un rôle sous le mandat
des Nations unies. Si c'est le retour du colonialisme ? je n'en sais rien", a
dit le président interrogé sur le rôle joué par la France dans l'arrestation
de Laurent Gbagbo lundi.
"Il faut espérer qu'en Côte d'Ivoire il y ait un sursaut. C'est le vrai
combat", a déclaré le président congolais qui revenait de Libye et d'Algérie
où il faisait partie d'une délégation de l'Union africaine (UA),
s'interrogeant: "Le peuple ivoirien peut-il se relever par un sursaut et
lancer le mot d'ordre de la réconciliation nationale ?"
"Tout ceci est douloureux à évoquer à la limite humiliant pour l'Afrique,
mais c'est dramatique et c'est triste", a-t-il regretté, jugeant qu'"on avait
la possibilité de trouver un autre dénouement après plusieurs tentatives qui
ont duré de longues années".
"Je ne peux pas dire avec précision quel a été le rôle des uns et des
autres sur le terrain. Ce qui est sûr, chacun a joué un rôle sous le mandat
des Nations unies. Si c'est le retour du colonialisme ? je n'en sais rien", a
dit le président interrogé sur le rôle joué par la France dans l'arrestation
de Laurent Gbagbo lundi.
