A l’instar des autres secteurs d’activités, la reprise du travail a été effective au Ministère de la Production Animale et des Ressources Halieutiques et celui de la Santé et de l’Hygiène Publique. Les agents de ces deux départements ministériels ont répondu présents à l’appel du gouvernement ivoirien, pour que chaque fonctionnaire et agents de l’Etat, sur toute l’étendue du territoire national, regagne son post.
Le Ministre ALLAH-KOUDIO, a entamé à cette fin, une série de séances de travail, en recevant tour à tour, les Directeurs et chefs de services du Ministère de la Production Animale et des Ressources Halieutiques, avant de faire le point de la reprise avec ceux de la Santé et de l’Hygiène Publique.
L’état des lieux et surtout, les mesures à arrêter dans l’urgence pour faciliter la vie des citoyens, ont été la substance des échanges.
Pour le Ministre Rémi ALLAH-KOUADIO, il est question de ramener le prix du kilogramme de viande, de la volaille et du poisson, à leur niveau d’avant la crise postélectorale, c'est-à-dire de 3500 F à 1600 F CFA. Des échanges avec les opérateurs privés, tout comme avec le personnel, l’ont retiendra la nécessité de ramener la sécurité et la fluidité routière à un niveau qui facilite le transfert du bétail des zones nord vers Abidjan.
Selon le porte-parole des agents, Dr KOUAKOU Dénis, environ 22 000 tonnes de bétail ont déjà franchi la frontière nord et sont au niveau de la ville de Niakara. Il est question d’activer la SITARAIL pour faciliter le transport de cette importante quantité de bétail sur Abidjan. Selon eux, 600 000 tonnes de volaille sont également disponibles dans les fermes avicoles de l’est du pays, particulièrement à Agnibilékrou. Ici aussi, les importateurs, les dirigeants de la fédération de la filière bétail ainsi que l’organisation professionnelle des bouchers et charcutiers, ont soulevé le lancinant problème des tracasseries routières, qui provoquent un surcoût sur le kilogramme de la viande au niveau des ménages.
Ils ont chargé leur ministre de tutelle d’intervenir auprès du gouvernement, en vue de lever les nombreux barrages et taxes perçues sur le trajet, depuis le nord jusqu’à Abidjan.
Concernant le domaine de la santé, outre le Représentant résident de l’OMS avec qui la collaboration avec l’ensemble des organismes du système des Nations Unies présent en Côte d’Ivoire a été évoquée, le ministre ALLAH-KOUADIO s’est retrouvé avec l’Ordre national des Pharmaciens, les directeurs des EPN et les directeurs et chefs de service, au cours de deux réunions successives.
Au menu des échanges, l’évaluation de la situation de l’ouverture effective des formations sanitaires aux usagers, avec en ligne de mire, la disponibilité des médicaments, par rapport à la gratuité décidé par le gouvernement. Il ressort des rapports des Directions régionales Lagune I et II, que la reprise n’est pas effective à Yopougon du fait de la présence des miliciens, quand la situation est encours de normalisation partout ailleurs.
Après avoir écouté les exposées et rapports des uns et des autres, le Ministre a instruit chacun des acteurs du système sanitaire de redoubler d’effort, afin que le quotidien des ivoiriens s’améliore rapidement, du point de vue de leur santé. Dans cette optique, plusieurs autres rencontres avec les partenaires et les organisations professionnelles ont été programmées au terme de cette première journée de reprise.
Le Ministre ALLAH-KOUDIO, a entamé à cette fin, une série de séances de travail, en recevant tour à tour, les Directeurs et chefs de services du Ministère de la Production Animale et des Ressources Halieutiques, avant de faire le point de la reprise avec ceux de la Santé et de l’Hygiène Publique.
L’état des lieux et surtout, les mesures à arrêter dans l’urgence pour faciliter la vie des citoyens, ont été la substance des échanges.
Pour le Ministre Rémi ALLAH-KOUADIO, il est question de ramener le prix du kilogramme de viande, de la volaille et du poisson, à leur niveau d’avant la crise postélectorale, c'est-à-dire de 3500 F à 1600 F CFA. Des échanges avec les opérateurs privés, tout comme avec le personnel, l’ont retiendra la nécessité de ramener la sécurité et la fluidité routière à un niveau qui facilite le transfert du bétail des zones nord vers Abidjan.
Selon le porte-parole des agents, Dr KOUAKOU Dénis, environ 22 000 tonnes de bétail ont déjà franchi la frontière nord et sont au niveau de la ville de Niakara. Il est question d’activer la SITARAIL pour faciliter le transport de cette importante quantité de bétail sur Abidjan. Selon eux, 600 000 tonnes de volaille sont également disponibles dans les fermes avicoles de l’est du pays, particulièrement à Agnibilékrou. Ici aussi, les importateurs, les dirigeants de la fédération de la filière bétail ainsi que l’organisation professionnelle des bouchers et charcutiers, ont soulevé le lancinant problème des tracasseries routières, qui provoquent un surcoût sur le kilogramme de la viande au niveau des ménages.
Ils ont chargé leur ministre de tutelle d’intervenir auprès du gouvernement, en vue de lever les nombreux barrages et taxes perçues sur le trajet, depuis le nord jusqu’à Abidjan.
Concernant le domaine de la santé, outre le Représentant résident de l’OMS avec qui la collaboration avec l’ensemble des organismes du système des Nations Unies présent en Côte d’Ivoire a été évoquée, le ministre ALLAH-KOUADIO s’est retrouvé avec l’Ordre national des Pharmaciens, les directeurs des EPN et les directeurs et chefs de service, au cours de deux réunions successives.
Au menu des échanges, l’évaluation de la situation de l’ouverture effective des formations sanitaires aux usagers, avec en ligne de mire, la disponibilité des médicaments, par rapport à la gratuité décidé par le gouvernement. Il ressort des rapports des Directions régionales Lagune I et II, que la reprise n’est pas effective à Yopougon du fait de la présence des miliciens, quand la situation est encours de normalisation partout ailleurs.
Après avoir écouté les exposées et rapports des uns et des autres, le Ministre a instruit chacun des acteurs du système sanitaire de redoubler d’effort, afin que le quotidien des ivoiriens s’améliore rapidement, du point de vue de leur santé. Dans cette optique, plusieurs autres rencontres avec les partenaires et les organisations professionnelles ont été programmées au terme de cette première journée de reprise.