l Les étudiants
en vacances
prolongées
La fermeture des universités de Cocody et d’Abobo Adjamé a quelque peu prolongé les vacances des étudiants. Plusieurs d’entre eux ont quitté la capitale économique après le déclenchement des affrontements. Beaucoup estiment qu’ils ne seront pas de retour à Abidjan tant qu’une date de l’ouverture des universités n’est pas fixée. Il faut compter plusieurs semaines.
l Man : les
déplacés incités
à revenir
Le secrétaire à l’organisation et à la mobilisation des Forces nouvelles (FN, ex-rébellion), Konaté Sidiki a invité, mercredi à Man, les cadres et autres ressortissants de la localité proches de l’ancien régime à rentrer chez eux et à prendre leur place dans la vie économique et sociale de la région des Montagnes. « Man va donner l’exemple de la réconciliation en Côte d’Ivoire. Demandez à tous les cadres de revenir. Personne ne doit craindre pour sa sécurité », a déclaré Konaté Sidiki au cours d’une rencontre initiée par la société civile locale sur le retour à la normalité dans le pays.
l Cocody : la
sécurité est
devenue un gombo
Depuis les scènes de pillage, plusieurs personnes ont décidé de s’allouer les services des Forces républicaines pour assurer la sécurité de leurs biens. A Angré, le phénomène est devenu récurrent. Ces jeunes armés acceptent de sécuriser les quartiers avec en contrepartie des sommes que les habitants se cotisent pour leur donner. Ces sommes atteignent souvent 100.000 Fcfa la semaine. De quoi faire rêver certains !
l Bouaké : 1766
déplacés de
guerre soulagés
Le week en pascal s’annonce bien pour les 1766 déplacés de guerre qui ont trouvé refuge à la cathédrale de la ville de Bouaké. Le conseil général présidé par Jean Claude Kouassi qui les accueille, leur a offert une tonne de riz et divers autres dons non vivres. La cérémonie s’est déroulée dans l’enceinte du diocèse de la capitale de la paix. «Je suis venu au nom du président du conseil général de Bouaké, Jean Claude Kouassi, remettre cette modeste contribution d’une tonne de riz et divers autres dons non vivres à nos parents déplacés qui ont fui la guerre pour d’autres zones plus paisibles », a déclaré Mme Kouakou Virginie, 4ème vice-présidente du conseil général.
en vacances
prolongées
La fermeture des universités de Cocody et d’Abobo Adjamé a quelque peu prolongé les vacances des étudiants. Plusieurs d’entre eux ont quitté la capitale économique après le déclenchement des affrontements. Beaucoup estiment qu’ils ne seront pas de retour à Abidjan tant qu’une date de l’ouverture des universités n’est pas fixée. Il faut compter plusieurs semaines.
l Man : les
déplacés incités
à revenir
Le secrétaire à l’organisation et à la mobilisation des Forces nouvelles (FN, ex-rébellion), Konaté Sidiki a invité, mercredi à Man, les cadres et autres ressortissants de la localité proches de l’ancien régime à rentrer chez eux et à prendre leur place dans la vie économique et sociale de la région des Montagnes. « Man va donner l’exemple de la réconciliation en Côte d’Ivoire. Demandez à tous les cadres de revenir. Personne ne doit craindre pour sa sécurité », a déclaré Konaté Sidiki au cours d’une rencontre initiée par la société civile locale sur le retour à la normalité dans le pays.
l Cocody : la
sécurité est
devenue un gombo
Depuis les scènes de pillage, plusieurs personnes ont décidé de s’allouer les services des Forces républicaines pour assurer la sécurité de leurs biens. A Angré, le phénomène est devenu récurrent. Ces jeunes armés acceptent de sécuriser les quartiers avec en contrepartie des sommes que les habitants se cotisent pour leur donner. Ces sommes atteignent souvent 100.000 Fcfa la semaine. De quoi faire rêver certains !
l Bouaké : 1766
déplacés de
guerre soulagés
Le week en pascal s’annonce bien pour les 1766 déplacés de guerre qui ont trouvé refuge à la cathédrale de la ville de Bouaké. Le conseil général présidé par Jean Claude Kouassi qui les accueille, leur a offert une tonne de riz et divers autres dons non vivres. La cérémonie s’est déroulée dans l’enceinte du diocèse de la capitale de la paix. «Je suis venu au nom du président du conseil général de Bouaké, Jean Claude Kouassi, remettre cette modeste contribution d’une tonne de riz et divers autres dons non vivres à nos parents déplacés qui ont fui la guerre pour d’autres zones plus paisibles », a déclaré Mme Kouakou Virginie, 4ème vice-présidente du conseil général.