L’appel du gouvernement à la reprise effective du travail a été entendu par l’ensemble des Ivoiriens. Nous avons parcouru hier les grandes artères du quartier des affaires d’Abidjan, le Plateau, pour constater cela. Le premier constat qui saute à l’œil est que les forces impartiales ont décidé de s’impliquer activement dans la sécurisation. Dès la descente du pont Houphouët Boigny, on aperçoit des bérets verts de l’armée française, armes au poing, veiller au grain. Aux abords du palais présidentiel, ils ont positionné des chars prêts à intervenir à tout moment. Au niveau de la direction de la Police nationale, les chars de l’Onuci et des détachements des casques bleus ont été déployés sur le boulevard de la République.
Devant les grandes banques des patrouilles mixtes sont visibles. Ces établissements financiers sont ouverts mais uniquement pour le personnel qui doit faire l’état des lieux et auditer le travail de filou fait par les hommes de Gbagbo qui occupaient illégalement les locaux.
Même décor au siège de la Bceao où les forces impartiales ont véritablement bandé les muscles. La mine serrée et l’humeur gravissime, les militaires en faction à côté de la « mère » des banques ne donnent point le sentiment de vouloir plaisanter avec quiconque. On a en mémoire que c’est par le hold-up de Gbagbo à la Bceao qu’a commencé la crise financière qui a abouti à la fermeture de toutes les banques commerciales. Dans la sécurisation du Plateau, les Frci ne se sont mises en marge du mouvement, dans tous les recoins du centre des affaires, elles font visibles. Devant la présidence, l’Assemblée nationale, le Conseil économique et social. Elles sont également présentes à l’état-major de l’armée, au ministère de la Défense et commissariat du 1er arrondissement. A la Sorbonne, les vagabonds, désœuvrés et faux pasteurs ont disparu. L’espace a été proprement nettoyé par les hommes du maire Akossi Benjo. Des éléments du Premier ministre Guillaume Soro ont pris position sur le site et veillent au grain. Gare au premier patriotard qui serait tenté de revenir sur ce haut lieu du crime et de la dépravation des mœurs sous Gbagbo !
On peut le dire, à l’image de tout Abidjan, à l’exception de l’enclave de Yopougon, la cité est sous contrôle.
Devant les grandes banques des patrouilles mixtes sont visibles. Ces établissements financiers sont ouverts mais uniquement pour le personnel qui doit faire l’état des lieux et auditer le travail de filou fait par les hommes de Gbagbo qui occupaient illégalement les locaux.
Même décor au siège de la Bceao où les forces impartiales ont véritablement bandé les muscles. La mine serrée et l’humeur gravissime, les militaires en faction à côté de la « mère » des banques ne donnent point le sentiment de vouloir plaisanter avec quiconque. On a en mémoire que c’est par le hold-up de Gbagbo à la Bceao qu’a commencé la crise financière qui a abouti à la fermeture de toutes les banques commerciales. Dans la sécurisation du Plateau, les Frci ne se sont mises en marge du mouvement, dans tous les recoins du centre des affaires, elles font visibles. Devant la présidence, l’Assemblée nationale, le Conseil économique et social. Elles sont également présentes à l’état-major de l’armée, au ministère de la Défense et commissariat du 1er arrondissement. A la Sorbonne, les vagabonds, désœuvrés et faux pasteurs ont disparu. L’espace a été proprement nettoyé par les hommes du maire Akossi Benjo. Des éléments du Premier ministre Guillaume Soro ont pris position sur le site et veillent au grain. Gare au premier patriotard qui serait tenté de revenir sur ce haut lieu du crime et de la dépravation des mœurs sous Gbagbo !
On peut le dire, à l’image de tout Abidjan, à l’exception de l’enclave de Yopougon, la cité est sous contrôle.