A l’instar du monde entier, la Fondation pour la Transparence en Côte d’Ivoire (FTCI) vient d’apprendre l’ouverture d’une enquête sur les crimes de Gbagbo et de son clan.
La FTCI note sa satisfaction pour l'ouverture de cette enquête et adresse ses encouragements au chef de l’Etat, SEM OUATTARA Alassane ainsi qu’à l’ensemble de son gouvernement.
Elle note cependant qu’une enquête sur les crimes du clan Gbagbo ne doit pas se limiter aux tueries, les mis en causes s’étant également rendus coupables de crimes économiques, de viol, de pillages sur les bien d'autrui et autres.
La FTCI souhaite par ailleurs qu’une lumière soit faite sur tous les crimes perpétrés en Côte d’Ivoire pendant la crise postélectorale, que ces crimes aient été commis par les forces pro-Gbagbo, par les FRCI ou par le commando invisible. Les enquêteurs doivent donc prendre en compte tant les crimes commis à Abidjan que ceux commis à l’intérieur, notamment à Duékoué, Blolequin et Toulepleu.
De même, la FTCI demande-t-elle au chef de l’Etat et au gouvernement d’étendre les enquêtes aux événements ayant marqué la Côte d’Ivoire depuis le coup d’état de 1999 en passant par l’assassinat de l’ex chef d’Etat Robert GUEI et la guerre déclenchée en 2002.
La FTCI rappelle qu’à cet effet, elle a déjà adressé une lettre au secrétaire général de l’ONU et saisi la CPI afin de porter plainte contre Gbagbo et demander une enquête internationale. Elle espère donc que, pour l’éclatement de la vérité et la manifestation de la justice, la CPI s'impliquera dans ce dossier.
Enfin, la FTCI exhorte-t-elle le gouvernement à plus de fermeté afin d’établir rapidement la sécurité à Abidjan et à l’intérieur de la Côte d’Ivoire.
Pour la FTCI
Le Président
Sylvain KEAN ZOH
email: transparenceci@hotmail.fr
La FTCI note sa satisfaction pour l'ouverture de cette enquête et adresse ses encouragements au chef de l’Etat, SEM OUATTARA Alassane ainsi qu’à l’ensemble de son gouvernement.
Elle note cependant qu’une enquête sur les crimes du clan Gbagbo ne doit pas se limiter aux tueries, les mis en causes s’étant également rendus coupables de crimes économiques, de viol, de pillages sur les bien d'autrui et autres.
La FTCI souhaite par ailleurs qu’une lumière soit faite sur tous les crimes perpétrés en Côte d’Ivoire pendant la crise postélectorale, que ces crimes aient été commis par les forces pro-Gbagbo, par les FRCI ou par le commando invisible. Les enquêteurs doivent donc prendre en compte tant les crimes commis à Abidjan que ceux commis à l’intérieur, notamment à Duékoué, Blolequin et Toulepleu.
De même, la FTCI demande-t-elle au chef de l’Etat et au gouvernement d’étendre les enquêtes aux événements ayant marqué la Côte d’Ivoire depuis le coup d’état de 1999 en passant par l’assassinat de l’ex chef d’Etat Robert GUEI et la guerre déclenchée en 2002.
La FTCI rappelle qu’à cet effet, elle a déjà adressé une lettre au secrétaire général de l’ONU et saisi la CPI afin de porter plainte contre Gbagbo et demander une enquête internationale. Elle espère donc que, pour l’éclatement de la vérité et la manifestation de la justice, la CPI s'impliquera dans ce dossier.
Enfin, la FTCI exhorte-t-elle le gouvernement à plus de fermeté afin d’établir rapidement la sécurité à Abidjan et à l’intérieur de la Côte d’Ivoire.
Pour la FTCI
Le Président
Sylvain KEAN ZOH
email: transparenceci@hotmail.fr